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Les g�lules sont les liens. Genre.

Un contre tous
17/10/2002 @ 17:27

J'ai un h�ro! J'ai un h�ro! Ce h�ro est bien-s�r mon Prince des Ghoules, j'ai nomm�, M-A... Et je sens que vous mourrez d'envie de savoir quel exploit lui a valu ce titre h�ro�que.

La relation de ceci demanderait une longue et extensive entr�e, mais je suis �puis�e, morte, paresseuse, press�e, affam�e. Je vais quand m�me essayer de m'y mettre. Pour vous faire plaisir, bien-s�r. (Me semble)...

Alors, aujourd'hui se tennait "l'assembl�e g�n�rale des �l�ves", qui est une farce pour dire que l'on pr�sente le r�gne monarchique du conseil � la masse �tudiante. On parle, bien-s�r, d'un conseil du m�me type (�tudiant). Soyons bien s�r de remarquer qu'ils se sont entre-�lus, sans aucun choix de notre part, et par cons�quent il ne nous repr�sente pas d�mocratiquement. Ceci dit, ajoutons � la chose qu'ils ont le culot de simuler un vote de notre part, qui consiste en une acclamation orale, c'est-�-dire que tous ceux �tant d'accord gueulent leur approbation et que ceux ayant une objection, d'ordre d�mocratique, qui sait!, se voient ignor�s et m�pris�s. Pr�cisons, ils sont d�j� au pouvoir et, peut-�tre pour se gongler l'orgueil, ils simulent un vote qui n'a rien de l�gitime.

C'est alors que M-A entre en sc�ne. M-A, coeur vaillant, bravant une masse lui �tant oppos�e sans plus de de pensivit� dans leur opposition, la rendant d'autant plus terrible. M-A, qui par principe, par opinion personelle, s'empare du micro et r�clame un vote secret. M-A qui se fait presque huer mais qui se tient, fier sous l'opprobe publique, et pers�v�re, et trouble ces petits aristocrates de popularit�.

Quelle gloire! Quelle �motion! Quel courage! Courage v�ritable, en tant qu'humain, de, par principe, par pure id�e, se tenir contre une foule, malgr� l'instinct gr�gaire, malgr� la malfaisance de celle-ci. Quelle profonde beaut� spirituelle!

Oh, l'opinion publique, qu'elle fut laide, qu'elle fut cruelle, mal r�fl�chie et �bauch�e de ce qu'on leur a impos�, comme � l'habitude... On accuse les trois qui se sont insurg�s de manquer de courage, de n'�tre pas actif, de ne pas s'impliquer, de ne "pas avoir � chi�ler quand y'en font m�me pas partie". On reconna�t bien la le manque d'information chronique dont les foules souffrent. R�pliquons � chacun de ces injustes jugements: Manquer de courage? Mais quelle aberration ! Comment osent-ils, ces sc�l�rats, traiter de l�che des �tres qui ont �t� � contre-courrant, la plus terrible des croisades humaines, des �tres qui se sont tenu droit sous le d�saccord g�n�ral, des �tres superbes qui ont r�sist� � l'hostilit� unie, m� par la force de leurs pens�e! Ils ne sont pas actifs? Mais ils disent tout haut leurs pens�e, eux, c'est d�j� bien plus actif que de se laisser int�grer dans le confort populaire et ne pas r�fl�chir plus qu'il ne faut. M�me chose quant au fait qu'ils ne s'impliquent suppos�ment pas. Et quant � leurs innapropri�t� de se soulever contre le pouvoir, c'est ridicule, tout cheftariat se doit d'avoir une opposition, sinon on assiste � une dictature en bonne et d�e forme.

C'est une chose profond�mment belle qu'un acte comme celui-l�. La confrontation d'un individu face � un groupe! La pens�e marginale, contrariante, s'opposant au raccourci mentale facile, accomodant et superficiel. Quelle merveille!

Honn�tement, c'eut �t� mon r�le, en tant qu'avocate du diable, d'accomplir ce que M-A fit. Mais je suis fragile mentalement, tr�s fragile, je ne peux plus jouer � la protestataire contre la masse. Pourtant, je suis all� l'appuyer. Subtilement. Tr�s sarcastiquement. Personne n'a saisi mon allusion d'ailleurs, mais j'ai r�ussi, malgr� la d�n�gation g�n�rale, � lancer une pol�mique de cinq minutes. Je demandais � cet auto-suffisant petit groupe s'ils s'engageait formellement � repr�senter tous les �l�ves de l'�cole. Question en apparence anodine, mais qui se rapporte � l'auto-�lection b�tarde du conseil, au manque de d�mocratie, � la diversit� mutil�e dans cette union qui ressemblent � un cartel, faite de gens se connaissant et s'appuyant, avilissant le principe du progr�s, qui se fait dans la discussion et l'opposition. Fortes protestations dans les rangs de l'adversaire! Mais le doute fut bien implant�.

Et voil�... Fin de la phase pamphl�taire. Passons au personnel:

Vous ne savez pas l'intense �moi qui me souleva quand il prit la parole... Le visage me br�lait, les membres me tremblaient, tant je vibrais avec lui! Quel accomplissement, tout de m�me! Aussi, � la sortie de cette assembl�e parodique, je suis all� le voir, et, avec mes yeux de poup�e, lui ai d�clar� qu'il est mon h�ro. Et je crois que cela lui a fait plaisir. Il me regardait de ses yeux d�vorants, qui l'�taient encore plus � cet instant-l�, et je ne savais ou me mettre. Ah! Intense moment. Nous all�mes alors, J et moi, au caf� �tudiant, rencontr�mes T, lui racont�rent l'�v�nnement, et je lui dis que M-A �tait mon h�ro. � ce moment, T nous quitte, nous quittons par apr�s, allons les rejoindre dehors, et M-A me demande si c'�tait vrai qu'il �tait mon h�ro. Je r�it�re, ajoutant le lui avoir d�j� dit. J'apprend que T lui avait dit et qu'ainsi cela le prouve, et encore il me fixe de ses yeux de chats, et la vapeur s'accumule en moi...

Et tout cela m'am�ne � une r�alisation, et � des questionnements successif. M-A a prouv� pour de bon qu'il n'�tait pas un conformiste, et de mani�re flamboyante. Cela le place bien-s�r tr�s haut dans mon estime, mais s�me l'inqui�tude en moi: je risque de tomber en amour avec lui. Il a tout pour me plaire: il m'attire sexuellement, il a les cheveux longs, joue de la guitarre, aime Led Zeppelin, habite � deux pas de chez moi, est artistique, est un prince, et n'a m�me pas le d�sagr�ment d'�tre insignifiant. Cette combinaison , r�agissant avec mon �motivit�, pourrait bien donner naissance � de l'amour. Or, la derni�re chose que j'aurais envie qu'il arrive, c'est cela. Pourquoi?... Et � ce moment, les r�ponses s'embrouillent dans mon cerveau. Ce n'est qu'un vague pressentiment, une impression confuse de malheur... Et elle est probablement motiv�e par le fait que ce soit trop beau, trop vrai, trop possible, et que de ce fait je ne puisse me r�fugier derri�re ces excuses pour ne pas agir. Et j'ai aussi peur qu'il ne veuille rien savoir.... Et pourtant! Les �v�nements se tuent � me d�montrer qu'il n'est pas totalement indiff�rent � mon endroit... Ces regards! Ces sourires! Ce trouble int�rieur, insensible.... Que faire...

Parlons de T, maintenant. Il semble avoir remarqu� mon �vitement de lui, et a agit en cons�quence aujourd'hui. Il �tait gentil malgr� ma froideur. �a m'a fait du bien.

Et sinon c'est tout.

-L


N'importe quoi.

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