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Les g�lules sont les liens. Genre.

Le Suicide
13/10/2002 @ 15:35

Quelqu'un n'a rien � faire, de toutes �vidences. J'ai soumis ce journal � un site d'�valuation de journaux internet. Je vous gage qu'ils ne comprennent pas le fran�ais. Et ceci n'�tait pas dit ironiquement.

Comme ils vont probablement passer mes entr�es � travers un traducteur automatique (ce qui est un crime de la langue, notez bien) j'ai int�r�t � faire tout sp�cialement attention � mon orthographe et grammaire. Quel d�fi. Et au contenu �galement. Par exemple, point de lamentations au sujet de T. Ni de d�blat�rations au sujet de M-A.

Et pour prouver que ma cervelle n'est pas simplement une grande caverne vide r�sonnant du seul �cho de ma tendance socialement obsessive, je vais d�dier cette entr�e � un sujet plus profond. Oui je vais d�battre aujourd'hui, avec vous, de quelque chose qui me trotte dans la t�te depuis des ann�es, et sur laquelle chose j'ai accumul� moult opinions, arguments et pens�es diverses.

Je vous parle bien-s�r du suicide.

Ah, le suicide. Acte de folie selon certains, de l�chet�e pour d'autres. Mais tr�s rarement semble-t-on vouloir consid�rer ce ph�nom�ne sous un angle objectif, impartial, d�nu� de sentiments. C'est compr�hensible, bien-s�r, la vie �tant un sujet tr�s �motif pour tout le monde, �tant dans le coeur de nos... vies. (J'admet que la derni�re phrase laissait � d�sirer.)

Mais je vais aujourd'hui essayer de le faire.

Peut-�tre vous demandez-vous, "pourquoi accorderais-je aucune cr�dulit� � ces soit-disant paroles "objectives" sur le suicide? On la conna�t, L, c'est une crack-pot bipolaire hors de tout espoirs." Mais je vous ferai remarquer que cette bipolarit� m'a justement permis de voir la chose sous les angles les plus oppos�s possible. Et j'ai la pr�somption de me croire intelligente.

Mais revennons-en au fait: �tant impartiale, je voudrais d�finir le suicide sous une perspective un peu inacoutumm�e. Je vous demandrais, pendant un instant, de consid�rer le suicide comme un choix. Oui, un choix d�finitif, le choix de la mort par rapport � la vie, du n�ant par rapport aux �v�nements, dont la teneur en souffrance exc�de parfois les d�savantages d'une fin inexorable... Vous voulez me confronter sur la viabilit� d'une telle solution, mais il n'est pas ici question de cela. Ou plut�t, puisque c'est moi qui parle, je d�cide que je ne prend pas compte de vos objections. Que je ne fais que supposer de toute fa�on. Ah! Erm. Enfin.

Nous disions donc, le suicide est un choix. Est-il l�che, ce choix? Pas n�cessairement. Consid�rons la chose ainsi: il est reconnu que l'un de nos instinct le plus fort, un instinct d'ailleurs partag� avec tous les �tre vivants de cette plan�te, est l'instinct de survie. Et bien, si l'on est macabrement romantique, notre conscience n'est-elle pas grandiose d'aller � l'encontre d'une telle force, de braver le courant naturel des choses qui voudrait que l'on se batte pour l'existence, de provoquer en duel ce qui devrait �tre � la base m�me de notre �tre? Moi, je trouve cela sublime.

L'on dira, que pour ces raisons m�mes, c'est alors de la maladie mentale. Mais je vous montrerai quelques statistiques actuelles comparant le taux d'affection de d�r�glements mentaux et de suicide. Bien des gens "normaux" se suicident.

Pourquoi? La souffrance peut-�tre. Je vois accourir le vieil argument clich� de la l�chet�. Tout abandonner au lieu de s'accrocher, et vaincre. Mais, encore une fois, essayons de varier notre perspective: quelqu'un qui souffre, et souffre irr�m�diablement, est-il plus l�che d'endurer et de continuer � souffrir, ou de poser la derni�re action qui soit, la mort volontaire? Faisons une petite �chelle de la vie. Au milieu, il y a la routine. En haut, le bonheur. En bas, le malheur. Le bonheur est positif , la routine neutre, et le malheur n�gatif. Comparons avec une �chelle de la mort. Une �chelle � un seul degr�: le n�ant (je vous rappelle que je suis ath�e). Ce degr� est �videmment neutre. Bien-s�r, qu'il faut toujours essayer de monter les �chelles, au lieu de les contempler stupidement ou de rester clou� dedans, paresseusement. L'effort est prim�. Mais supposons que l'on a cass� tous les degr�s de votre �chelle de vie? Voulez-vous rester mis�rablement sur le dernier �chelon, qui s'enfonce dans la boue et les immondices, ou changer d'�chelle et fermer une lumi�re qui vous est devenue atroce?

Vous voila que vous vous insurgez, vous vous dite "Quelle Monstre! Au lieu de nous pousser � toujours chercher une issue, elle veut nous pr�cipiter dans les abysses du s�pulcre!" Mais je n'ai pas dit cela. �videmment, je crois qu'il faut toujours chercher � s'en tirer.

Mais contrairement � d'autre, je ne me fais pas d'illusions. Je n'essaie pas de fausser la vie. Je crois qu'il y a des situations o� les solutions n'existent pas.

O� dans lesquelles vous avez absolument besoin de secours ext�rieur.

O� face auxquelles vos perceptions sont trop distordues pour y voir clair.

Et supposons que vous n'avez acc�s ni aux autres, ni � des perceptions fonctionnelles, et bien...

Mais le d�bat reste ouvert: la m�diocrit� ou la mort?

J'ai tendance � m'illusionner positivement, moi aussi, � croire que la solution existe toujours... Mais ma rationnalit� voudrait me convaincre que non.

Enfin il y aurait beaucoup d'autres choses � dire sur le sujet, mais un coup de t�l�phonne m'attend.

Finalement, j'aimerais citer John Lennon sur la troisi�me Antologie des Beatles, et dire: "Well thank you very much, and i hope we passed the auditions" *hint, hint*.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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