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Les g�lules sont les liens. Genre.

Questionnement sur la D�pression et autre
29/09/2002 @ 18:01

J'ai essay� d'appeller T. Peine perdue.

Il y a de ces gens qui se prennent pour mieux qu'ils ne sont. Si vous pensez que je fais r�f�rence � moi-m�me, vous prof�rez un euph�misme, car je parle de bien plus pire que moi. Je parle de gens qui osent se comparer dans toute leurs petitesse et manque �vident de talent au grand, � l'authentique, au seul Disco the kid.

Je parle de ce m�me vaut-rien qui, �tant plus jeune, m'a fait fuir mon tout premier journal, avec ses injures immatures qui n'avaient porutant rien d'impressionnant, tant il s'appuyait sur la masse de ses supporters comme d'un argument plausible. Meurt, Genghis Jon, meurt. M�me son nom d'emprunt exsude la pr�tention et l'innappropri�t�. (On pense bien-s�r ici � Genghis Kan, empereur des Mongols (bon, du peuple des Huns) qui, il y a au moins un bon mill�naire, envahit un bonne totalit� de la Chine.)

Mais qu'importe.

La raison d'�tre de mon journal n'est pas de r�fl�ter les torpitudes de ce monde �lectronique, mais bien plut�t les petites intrigues insignifiantes de ma propre vie, int�rieure et ext�rieure. Lequel des deux est le plus path�tique, de toute fa�on? Je vous donne le choix.

Il fait bien froid aujourd'hui. J'ai les mains gel�es, de cette sensation humide et p�n�trantede froid, qui s'impr�gne et s'imbibe dans votre hair � un point tel que les gants les plus chauds ne rem�dient � rien. Quelle piti�.

Je pensais � ma d�pression, surtout � ses causes. L'an pass�, comme on se souvient (or maybe not, Preciouss, maybe we do not, my Preciouss, nice Preciouss!), j'avais essay� d'en reporter l'enti�re responsabilit� sur Brett (il a le droit � son nom entier, puisqu'il est, comme j'aime � les nommber, une Entit�e Internaute), l'accusant, de par son obsessivit� �motionelle, son chantage �motif et l'imposition de mon temps, de m'avoir priv� l'�me du pr�cieux oxyg�ne de la solitude, du ressourcement,de la libert� et de l'expression. On sait qu'il ne m'aimait pas moi, la petite folle pleines d'opinions contradictories, mais sa eptite princesse id�ale, et que lentement, asservie par lui, il commen�ait � me p�trir et m'�craser dans le but de me faire entrer dans le moule d'Angela (l'incarnation de moi qu'il voulait).

En m�me temps, j'essayais de l'en excuser en me disant que ma d�pression venait d'une autre part, bien moins influen�able, celle d'une tarre h�r�ditaire et de substances chimiques d�balanc�es dans mon cerveau. je serais la "malheureuse" victime de cycle d�pressif.

Je suis un esprit qui aime avoir plusieurs eprspectives d'une m�me chose, et pour cette raison me d�nomme-t-on "contradictoire". Mais toujours est-ils que ces paradoxales propositions me satisfiaient et que je laissai l'affaire dormire quelques temps, me croyant, malgr� l'anxieux doute, d�barass� une fois pour toute de la terrible noriceure et gu�rie d�finitivement de ce mal de vivre.

Cependant, maintenant que je suis m�dicament�e, c'est avec effroi que je mesure le gouffre plongeant abruptement � mes pieds, et que je peux sentir, malgr� moi, les quelques pouss�es vaine des d�mons vers l'ab�me. Mes m�decins l'ont vue avant moi, cette d�pression qui allait me prendre par surprise. Ils m'ont mis en guarde juste � temps. N'aurait-il �t� de cela, quelle belle plonge aurais-je prise ici-bas.

Tous les facteurs �taient r�unis: la d�sobligeance de T, le temps qui se fait maussade, le travail qui se fait vapide... Et les r�actions automatiques s'enclenchaient et s'enclenchent encore, malgr� tout: la d�motivation, la perte de l'espoir, la parano�a, la panique, l'hostilit�, les flash impuslifs de frapper ceux � qui je parlent, dans ma t�te, l'arr�t des consultations avec mon psychologue...

Ainsi, je me pose des questions.

De quoi suis-je afflict�e? Quel est mon probl�me? Devrai-je le tra�ner comme un boulet qui grossit jusqu,� la fin de mes jours? Ajoutera-t-on des poids � cette terrible halt�re, jusqu'� ce que je m'effronde, que je m'�croule sous une masse trop �norme pour mes fr�les bras?

Je n'ose y penser.

Et n'est-ce pas lamentable, de devoir avoir recour � un support chimique pour me faire sourire?

Point du tout. Ce n'est l� qu'une fiert� b�gueule et mal inform�e qui me fait parler. En effet, si nous philosophons un peu sur mon cas, nous nous rendrons compte que ma perceptions des choses est d�j� distordue par rapport � la normale, s'il en est une, ou du moins qu'elle n'est pas fonctionelle par rapport au monde et � la vie. Changer d'illusion pour une autre, o� est la diff�rence, o� est le mal? Je suis pervertie d'avance. Je ne vois pas qu'est-ce qui m'emp�cherais avec justesse de reccourir � ce support "artificiel" de mon humeur, qui est d�j� toute aussi artifici�e par la distortion de ma chimie c�r�brale.

Passons � autre chose.

Comment est le nouvel album de Beck?

Pas mal du tout. C'est beaucoup plus vuln�rable, d�licat et �motionnel que son travail pr�c�dent. La vari�t� y est moins grande, tandis que la sensibilit� est bien accrue. On remarque un usage plus marqu� du "you" et l'exposition moins masqu�e du sentiment personel. C'est intellectuellement moins auto-int�ress� et plus directement expressif. C�t� musique, c'est tr�s beau, m�lodieux, symphonnique, moins �lectronique ou rock. J'aime bien. Mais j'ai plus de mis�re avec celui-l� que ces autres albums. Et personnellement, ce ne sera jamais mon pr�f�rr�. Disons que c'est le disque id�al � mettre lorsque l'on veut se complaire docuement dans sa tristesse. Un dsique qui, comme je l'avais justemment devin�, est fortement influenc� par la rupture de l'artiste en cause avec son amoureuse, une liaison qui avait dur�e neuf ans. Mais enfin, je crois que c'�tait une pi�ce n�cessaire dans la collectiion de cet artiste. Et s'l y a une chise que l'on peut dire, c'est que c'est unique, comme toujours avec Beck, et la preuve d'une recherche v�ritable et d�sint�ress�e de plaire.

Bon, faut qu'j'aille pisser. � plus tard.

-L


N'importe quoi.

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