new old contact g-b D-land

| free stats |blogonautistes |
bottleofbluz [arobas] diaryland.com

avant | apr�s |au hasard

Les g�lules sont les liens. Genre.

Tranches d'insignifiances d�sorganis�es
22/01/2005 @ 20:52

L'op�ration de ma m�re s'est bien d�roul�e. Je suis soulag�e. Elle n'a pas tr�s mal, peut marcher ais�ment, son ventre est beaucoup moins gros qu'il ne l'�tait, et elle a h�te de voir mes photos de voyage.

� l'h�pital de Valleyfield, au 7 ou 8 i�me �tage, il y a une porte sur laquelle une feuille de papier porte l'expression ainsi orthographi�e:
"toillettes".
Les gens qui travaillent l� on fait leur c�gep et souvent leur universit�.
Ouais.

Il fait encore tr�s froid, le pernicieux petit souffle de la bise glac�e fait l'effet d'une gifle, ou d'un pincement. Mon p�re dit que dans sa jeunesse, tous les hivers �taient comme cela. Peut-�tre que le fait de porter des jupes m'indispose particuli�rement face � cette temp�rature, qui, selon moi, devrait �tre mise hors-la-loi ou quelque chose comme �a.

Mon p�re dit aussi que s'il devait apporter deux sortes de bi�re sur une �le d�serte, ce serait probablement la Dow et la Grolsch. Dans mon cas, �a serait sans doute de la blanche et de la Beck's. Mais je manque de culture en ces mati�res. Les subtilit�s de la bi�re me semblent plus accessibles que celles du vin.

Ce matin en me r�veillant chez L-P, j'ai hallucin� ce dernier sous la forme de I, que j'�tais quelque peu surprise de voir allong�e nue � c�t� de moi. Je n'y ai pas pris garde, pensant, "Ah tiens, L-P a exerc� son influence ici." Je me suis rendormie, puis r�veill�e encore, ai encore vu I dans L-P. Encore rendormie, encore r�veill�e, cette fois c'�tais L-P. J'�tais un peu confuse mais pas vraiment perplexe, je trouvais surtout que �a faisait beaucoup de personnes nues dans la m�me matin�e.
En me levant, la compr�hension s'est insinu�e en moi, mais j'ai quand m�me demand� � L-P si I avait dormi l�. Il s'est av�r� que non. Eh bien, et bien. C'est pas la premi�re fois que ce genre d'inversion mentale de personnes se produit dans des conditions semblables. En effet, en mai dernier, alors que je me prennais pour une d�linquante, je me sovuiens m'�tre �veill�e au petit matin, et voir en face de moi J-N dans les bras de K et moi dans ceux de N, alors que nous nous �tions endormis dans les assortiments oppos�s. Je n'aimais vraiment pas N, alors j'ai pouss� un petit cris, puis, dans le m�me �tat confu mais ni perplexe, ni r�volt�, je me suis rendormie.
C'est d�finitivement �trange.
�a et la "voix" que j'ai entendu dans mon cours de philo la session pass�e, durant ma semaine d'angoisse nocturne. Quelqu'un disant demandant tr�s distinctement si le dessin dans mon cahier n'�tait pas J�sus. Je m'�tais tourn�e vers ma voisine et lui avais dit que non, c'�tait pas J�sus. Ma voisine me regardait d'un air d'incompr�hension et apr�s explications, m'a jur� qu'elle n'avait rien dit.

Je suis sans doute un peu schizo�de. Je vais tenter de me tenir encore plus loin de toutes formes de psychotropes.

Et puis devant mon l�ger agacement de toujours me faire s�duire dans mon sommeil, il m'a confirm� le lendemain que je suis suppos�ment tr�es "aphrodisiaque" dans mon sommeil, parce que je bouge un peu, que je me rappoche insensiblement, que je fais tout pour qu'on me serre dans ses bras.
Ben c�����line.
Entre autres nouvelles:
" - Pardon mademoiselle, pourrais-je vous demander un renseignement?
- Mais oui, faites donc.
- Je serais curieux de savoir si je me suis trouv� ici, r�cemment?
- Ce n'est pas impossible, quel est votre nom?
- ___.
- Un instant, je v�rifie... Mmmh, non, je ne vous y voie pas. Avez vous autres affaires ici?
- En fait non, votre personne m'est parfaitement indiff�rente, je ne faisais vraiment que me chercher.
- Ah bien, vous voyez, vous n'y �tes pas.
- Puis-je rester?
- �a d�pend de vos intentions.
- Bien, d'un coup que je m'y verrais par la suite...
- �coutez, �a m'�tonnerait vraiment que �a arrive. Je ne vous met pas dehors, mais votre qu�te, en plus de pr�senter de minces chances de succ�s, manque d�finitivement d'int�r�t.
- Vous m'excuserez, mais c'est bien l� mon probl�me, non?
- En effet, mais je dois avouer que votre pr�sence m'h�risse les poils du bas du dos.
- Des poils, mademoiselle! Dans le bas du dos!
- En effet.
- Dans ce cas, je m'enfuie.
- Sentez-vous en libre, monsieur. "
Extrait tir� de "Les Lubies de L: Conversations fictives.", par L L'Aphaule, aux �ditions ToutPasse

Comme quoi chercher son reflet chez autrui, c'est pertinent seulement quand on a 14 ans. Ensuite on est suppos� avoir trouv� son identit�e et apprendre l'empathie.
Mais �a, c'est juste moi. S'pas.
-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

Stimulation sodomique-clitoridienne
Co�t non consentant | Zoophilie caract�ris�e | Femme de petite vertue | Sex�ther | Fixation Orale et Bondage | Sexually Explicit Gallery |Exxxtreme Hardcore Sluts 4 U |Grosse Saloppe | Jeune Bite |Hit and Run | Horny Stud | Unwilling Cumguzzler |