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Les g�lules sont les liens. Genre.

Le sentiment est mort
28/10/2004 @ 13:23

Comme mon anxi�t� ne succombe qu'� l'alcool et qu'� long terme l'alcool n'est pas une solution, je suis en ce moment abrutie sur une �norme dose de 25 mg de seroquel par jour, et ce pour une semaine.
Pour ceux que �a choquent, sachez que je pr�f�re �tre abrutie le jour et endormie la nuit que stress�e/agressive le jour et insomniaque/paniqu�e la nuit. J'use pleinement de ma pr�rogative de fille de bourgeoise, qui a un m�decin de famille, des assurances de m�dicaments priv�es (de par la M�re) et une forte paresse mentale face � sa propre psych�e.

Je suis sans doutes injuste avec moi-m�me, et il ya des gens qu'il est mieux de ne pas prendre au s�rieux. Mais je n'ai pas de peine, m�me si je n'ai pas de fiert�.

E est encore ici � me prendre dans ses bras la nuit, pour m'emp�cher d'entendre les bruits �quivoques. �a marche. avec de l'alcool.

L'autre soir nous marchions, elle moi et A-M, adorable jeune fille habitant dans ma r�sidence. Nous revenions de chez F, qui nous avaient donn�s des moulages en pl�tres de dents, trouv� dans le ruisseau. Dans le m�me ruisseau nous avons trouv�s des mots. Sous les lampadaires orang�s, le carton vert et le feutre mauve paraissaient un fond blanc et des lettres noires. Ces grandes bandes plastifi�es �pellaient, en lettres rondes, d�tach�es, des concepts tels "le sport", "La discoth�que", "la maison de cirque", "les patineurs", "une sculpture", "un animal", "le cin�ma"... Nous nous sommes chang�s les mots entre nous quatre, comme des cartes de sports ou de jeux de r�les, j'ai h�rit� de "une sculpture" et "un animal".
Nous sommes revenus vers la r�sidence, arborant fi�rement nos �tiquettes, toutes confites de notre pr�somptuosit� conceptuelle, tout-�-fait modernes dans notre absence de sens.
Les gens se retournaient, demandaient le rapport, ou bien mieux, partait de rire ou s'illuminaient d'un grand sourire.

J'ai crois� un jeune homme, quelque chose en lui me plaisait, son petit nez aux ailes camuses, ses yeux un peu brid�s, sa peaue basan�e, la bataille de ses cheveux ch�tains...
Je lui ai dit "Eh toi! Veux tu, "un animal" ?" "...Euh?... pourquoi?" "Ben pour rien. Parce que je suis gentille, et que je te le donne". "Ah bien, merci.." "non, non! Tu dois le montrer fi�rement! Dis-moi, vers o� tu marches? le Centre-ville?" "(se retournant) je suppose que oui" "viens avec nous, alors."
Nous avons tous aboutis au "caf� nargil�e" qui se trouve sur la rue ste-catherine. Discussion s'en suivit. J'ai parl� de mes vagues id�es politiques � mon petit r�voutionnaire d'animal, il a tent� de me faire un expos� sur la r�volution � la Marx, j'ai suivis, je connaissais �a. Un esp�ce de dude a essay� de me faire croire que le f�minisme de mon professeur de philo �tait extr�miste et sexiste, j'ai trouv� �a r�actionnaire, r�ducteur et plein de mauvaise foi.

Nous sommes partis.

Je ne sais pas si je vais essayer de m'introduire dans les r�sidences de l'uq�m pour le revoir. �a m'int�resse, mais toute possibilit� de romantisme est morte en moi. C'est comme le genre de prince charmant qui a le coup de foudre pour ma personne. Ch� pas. Je ressens rien. Je devrais, c'est un id�al, ce type. Mais. Non. Rien. Ma psych�e ne voit plus tr�s bien comment �a marche. O� s'arr�te le mensonge. Ou commence le profond. O� on trouve ce qu.il faut pour l'exaltation.

Je suis totue suc�e d el'int�rieur et on a revir� ma peaue � vif. On dit, "ah la jolie demoiselle", moi je vous juste un individu dans le mauvais sens qui confond l'int�rieur et l'ext�rieur.

Enfin.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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