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Les g�lules sont les liens. Genre.

Oh...
25/09/2004 @ 01:01

Quelle langueur...
Encore une fois je pouvais sortir et je suis rest�e enferm�e, la t�te dans mes chers romans, amis immobiles et empoisonn�s. C'est une sorte d'indiff�rence vaincue face au monde, face aux gens, face � la soci�t�, et face au reste. �a ne me d�range pas. Je n'ai pas d'�nergie. Le gras mou et crevassant de mes jambes me consterne. Les conqu�tes trop faciles me lassent, me d�go�tent, m'emplissent d'une grande sensation de vacuit�, de non-sens. Je flatte �a un peu, j'offre un rien de compr�hension, je me fais un tantinet p�n�trante dans ma curiosit� de l'autre et je n'aurais plus qu'� poussr pour les avoir � moi. Je les veux pas. Je suis de plus en plus lointaine et le son de ma propre voix me semble faux, cass� et si insignifiant. Mes amies sont certaines toutes c�lines, certaines toutes attrist�es, elles croient que je vais mal, je fais juste mourir tr�s lentement, y'a pas beaucoup de mal l�-dedans. Sans blagues. Et sans larmes. Un peu semblent poindre derri�re mes paupi�res, mais c'est ce que j'�cris l� me semble si triste. Toujours la contemplation de mes �motions leurs donnent une autre direction, et peut-�tre devrais=-je arr�ter d'�crire pour cela. Ou bien �crire avec une direction, avec une rigueure, que l'on n'aura jamais vue ici.
J'ai vu un excellent concert hier soir � l'X. Groovy Aardvaaq y jouait ainsi que d'autres groupes de la rel�ve. Les d�buts de la soir�e furent un peu hasardeux, �a sentait la catastrophe, j'�tais tr�s nerveuses et dans un �tat d'esprit f�brile, furieux. �a ne r�pondait aps au t�l�phone, c'�tait compliqu�, 19h00 c'�tait bien trop t�t, j'�tais avec S qui ne me semblait pas l� r�ellement, et qui me faisait du bien malgr� tout avec son beau calme, malgr� mon impatience. On s'est rendues derri�re l'X, avec d'autres punks. Je me sentais tr�s d�plac�e, mes terreurs de petite fille seule renaissait. J'ai dis �a � une jolie jeune punkette, elle me disait, toute �tonn�e, que ce n'�tait que des impressions. Reste qu'on ne r�pondait pas quand je parlais. On s'habitue, je me soucie bien peu des niches. Finalement je suis all�e me mettre en file, mon p�re m'a enfin rejointe. Nous somems rentr�s, L-P aussi est finalement arriv�. � ce moment j'�tais beaucoup plus d�tendue. Le show a commenc�, avec un groupe assez douteux selon moi, nomm� Apostolo�. Ils ont r�ussis, en 15 minutes, a cas� "prol�tariat", "bourgeoisie" et "lutte de classe" sans que tous ces termes ne soient appuy�s par autre chose. J'�tais pas tr�s impressionn�e, je me suis hiss�e avec L-P au deuxi�me �tage, o� je me suis enfil�e un petit verre de vodka qui, ma foi, est fort bien pass�. Il y en a de la meilleure que d'autre, vraiment, et celle-l� �tait fameuse.
Apr�s, ce fut le tour de Fl�au. J'avais d�j� rencontr� le chanteur, ami d'amies d'une amie. Genre de m�tal. Je sentais que c'�tait de la bonne musique, le guitariste surtout semblait habile, mais que voulez-vous je n'aime pas le m�tal. Apr�s, moi, mon p�re et L-P sommes sortis, un peu exc�d�s. L-P, avec son �ternelle irr�v�rence, me disait � quel point la soir�e, malgr� ma excellente compagnie (ce sont ses mots), semblait naze. J'esp�rais encore, anticipant Groovy Aardvaaq. Nous avons fait un petit d�tour, se ch�maillant comme toujours.
Nous sommes rentr�s juste apr�s avoir manqu� la performance d'Anachronysm, qui, il para�t, �taient assez bons. Nous sommes remont�s sur la mezzanine, nous installer sur la rampe. La bande de punks d'Apostolo� m'avaient fait trop peur, moi et mon incapacit� � trasher convenablement, et languissante comme je suis par les temps qui courrent, j'ai laisser ce plaisir � d'autres.
Stockyard Sto�cs est alors entr� en sc�ne...
V�ritable consolation. Nous avons affaire � un excellent groupe, vivaces, plein d'une �nergie qui ne tourne pas au chaos, simple mais talentueux, tout � fait efficace. Un genre de punk-ska intelligent, aux paroles po�tiques mais nuanc�es, originales et pleine d'un beau message gauchiste. Le chanteur et le bassiste de plus, �tait tout � fait de mon go�t. D'une joie authentique, souriant � qui mieux-mieux, s'en donnant � coeur joie sur sa sc�ne, tournant, sautant, haussant sa basse, son regard p�tillant se levant vers moi dans son souci d'entrer en contact avec toute la salle. Le vrai show commen�ait, le show o� il y a un contact entre la salle et le groupe, o� chaque personne fait r�ellement partie du spectacle. Enfin je n'ai pas �t� la seule qui fut sensible � leur charme totu � fait authentique. Les gens sont rentr�s de l'ext�rieur, tous chass�s au fur et � mesure, remis dedans par ces charmants am�ricains qui tranchaient sur la fatuit� et l'arrogance ordinaire � leurs concitoyens.
Et puis, et puis.. l'entracte. Le plat de r�sistance arrivait. Il �tait 23h30, tout ceux qui ne faisaient pas semblant de vivre dans la rue avaient c�d� la place aux amateurs non d�daigneux du succ�s (et de la qualit� sonore.)
Et Groovy qui entre en sc�ne.
Ce ne fut pas une d�ception.
Fid�le � mes souvenirs de mon party de la fin de session Automne 2003, ils donn�rent une performance d�lirante de qualit�, de spontann�it�, d'�nergie et de puissance. � un certain moment, la peau du bass-drum c�da et pendant qu'on cherchait un remplacement, les autres musiciens improvis�rent pendant 20 minutes sur des insanit�s bien sympathiques. Le frontman inventait, quant � moi, le prochain hit pour star-acad�mie, il racontait aussi des blagues douteuses, trouvait mille et uns inventions pour distraire la foule, qui appr�ciait.
Quel frontman, d'ailleurs. Il finit toujours les cheveux, le chandail et tout le crops ruisselant de sueur. Il nous a m�me fait une danse de bacon devant le sourire pas convaincu de son guitariste.
Je les observait de plong�e, tellement pr�s. J'aurais d� aller dans la foule. Mais ma vitalit� est endormie ces temps-ci, et il faisait d�j� si chaud... Para�t qu'ils ne chauffaient pas l'X en hiver. Ils doivent quitter, mais ils nous promettent de se relocaliser. Probl�mes avec la ville, je suppose.
M'enfin, le spectacle fut excellent malgr� ma t�tanisation.
Mes nouveaux amis sympathiques sont arriv�s, et je suis contente de leur avoir fait d�couvrir cet ineffable groupe qui, apr�s 18 ans, quitte la sc�ne � mon grand d�sarroi.
Apr�s je suis retourn�e chez moi, accompagn�e pendant un certain moment par mes nouveaux amis. Je marchais de front avec L-P, qui m'avait retourn� une parole aigre sans raison, comme il le fait souvent. Ensuite il faut lui expliquer qu'il se f�che pour rien et cela le conduit � se justifier, ce qui est encore plus p�nible. Je salue mes amis, moi et L-P se dirigeont vers chez moi. Une querelle �clate, partie d'un fait insignifiant. Je lui dis � quel point je d�teste quand il est inutilement agressif, quand il part d'accrocs minuscules dans la conversation pour me faire de cinglantes remarques. Je ne daigne pas r�pondre � son simulacre de bonne foi, �a me semble inutile, et finalement, sans l'admettre, il s'est fait plus doux.
Il a prit un des CD que nous avons achet�s conjointement, est rest� un peu pendant que je me d�shabillait sans g�ne, et est parti.
Aujourd'hui, je me suis br�l� le poignet s�rieusement avec ma po�le, alors que je tentais de coordoner mes mouvements pour �conomiser du temps. De la main droite je tentais de faire glisser la cr�pe dans l'assiette qui �tait � ma gauche, et de la main gauche je tentais de repousser la cafeti�re qui �tait � droite. L'in�vitable ne fut pas �vit�, et mon d�licat poignet de princesse entra en contact avec la po�le de fonte br�lante. Je n'ai pas hurl� et je ne comprends pas pourquoi. Le remords appris de faire du bruit et de me plaindre quand j'ai mal, peut-�tre. J'ai tra�n� ma br�lure, qui �tait blanch�tre et un peu fripp�e, avec une petite serviette de table humide nou�e autour. J'ai accept� de tapper le travail de Ro, qui n'avait pas l'air de se pr�occupper de cela. Moi, obligeante, comme toujours, j'ai accept� de faire la dactylo, et m�me de l'aider � le composer, son travail.
J'ai mauvais caract�re ces temps-ci, les gens m'emb�tent. Et m�me si Ro est mon amie depuis 15 ans, je commence � �tre exc�d�e du fait qu'elle n'�coute pas quand je parle et que je sois toujours entrain de rendre service. Je n'exige jamais rien en retour et je commence � peine � lui faire remarquer qu'elle n'�coute pas, et je sais tr�s bien que c'est sa nature de fille passive, �gale, mais �a m'exc�de.
Je devrais �viter les contacts humains, ces temps-ci.
-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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