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Les g�lules sont les liens. Genre.

Onze Malchances
19/09/2003 @ 17:12

Quelle journ�e de merde.

Comme semaine �a a vraiment pas �t� vargeux... Mais aujourd'hui, c'�tait particuli�rement � chier. Laissez moi vous raconter �a dans le menu.

On va commencer par jeudi soir. J'ai rencontr� Secotine qui vient au m�me c�gep que mouha qui connais le m�me JP que mouha. J'ai presque r�ussi � faire en sorte que Super-J la rencontre du m�me coup, mais quand j'y repense c'est quasiment mieux comme �a. Ouh-la, les �tincelles auraient revol�es. Deux types de personnalit� diam�tralement oppos�e. Donc Secotine... Totalement diff�rente que moi, question perception et relation interpersonnelle (ce qui implique la fa�on de consid�rer et de dealer avec les gens), mais pour une raison ou une aute j'ai l'impression qu'on se rejoint quelque part. Sauf que j'ai de la mis�re � �tre avec quelqu'un d'embl�e aussi m�prisant, parce que je suis contre le jugement selon les hasards du physique et la malveillance de prime abord. Mais bon. J'aime le personnage malgr� tout, je crois. Et je lui dois de l'argent.

On a discut� (on s'est confront�e) au sujet de la musique, des gens, on a parl� de nos aventures, � une brasserie minable dont l'immense avantage est qu'elle est sur St-Denis et qu'ils ne cartent pas. Je flottais dans un �trange et confortable �tat. Flottais est le mot. J'avais fum�e deux-trois biddies achet�e � un immigrant de fa�on plus ou moins ill�gale aussi.

�ventuellement je devais aller rejoindre Ro � son nouvel appartement (eeet oui elle est m�me retourn�e vivre avec cette vague chose psychologiquement instable qu'est son inf�me chum) pour un souper en l'honneur de l'anniversaire de M, son amie que j'aime bien aussi. Je coucherais l� parce que retourner coucher en balieue, pffff...

Tout allait bien. Tout allait vraiment bien. Jeudi avait �t� une bonne journ�e. J'avais fait la rencontre d'un charmant personnage du nom de Mo (pas l'autre M) qui est dans mon cour de philo et dans mon cour de visuelle des cultures, et qui est fort intelligent � mon avis. Et joli. Pas le joli qui m'attire instantann�ment. (Il a aps de cheveux). Enfin.

Le copain de Ro est revenu. Petite ombre au tableau. Il a fait une sc�ne assez violente pour un rien un peu caus� par ma faute.... Mais enfin si de dire qu'une discussion est oiseuse est un tort ou une offense, faite moi le savoir. J'ai eu peur. J'ai eu mal. Mal pour ma meilleure amie depuis que j'ai trois ans de voir qu'elle vit avec un �tre aussi path�tique depuis presque deux ans. J'ai pas dormi, ou du moins, tr�s mal dormi de la nuit.

La malchance a donc commenc� tr�s pr�cis�ment � 00h06; l'heure � laquelle j'ai regard� � ma montre avec de l'angoisse au coeur, craignant vaguement de me faire attaquer par le vilain-copain.

Lendemain matin. Tout va bien, en apparence. Il fait gris et froid, tout ce que je porte c'est une robe pr�t�e par Ro. Arriv�e � l'�cole, je constate avec tristesse que mon blond n'y est pas. Il est online, l�. J'h�site � lui parler. �a fait 4 jours qu'il ne m'a pas adress�e la parole. Enfin. Cours de perspective, donc, se d�roulant assez platement.

C me demande de recopier quelque chose pendant l,heure du midi. �a ne peut pas attendre � l'apr�s-midi. Deuxi�me malchance.

Je me rend � la bilbioth�que pour donc retranscrire au propre ces notes de malheur. Aucune place disponible aux ordinateurs de l'endroit. Trosi�me malchance. Ah, si, tient, il y en a un: mais une certaine Andr�-Anne Malo avait cru bon de VEROUILLER le poste en laissant celui-ci vacant. L�che pas, ma grosse. Quatri�me malchance.

La pr�pos�e me dit d'aller au local A7.80 pour me servir des rodinateurs. Je fais comme suggr� et me rend audit local. J'ouvre un ordinateur. Et quel ordinateur. L'�trange machine ne me laissait aps ouvrir de programe, faisait altern�e une danse fr�n�tique de cotnacts intermittents sur toutes les options, faisaient d�rouler l'espace dans word sans que je ne puisse rien y faire, �tait compl�tement inutilisable, et ce fut de justesse que je puis m'en servir. Cinqui�me malchance. Je change donc d'ordinateur. Sauf la fr�n�tique alternance d'un curseur imaginaire sur tous les outils, idems. D�coruag�e, je d�cide de recopier le tout � la main. Sixi�me malchance. Je m'assis � une table. La lumi�re, juste au-dessus, fr�tille aussi intol�rablement. Septi�me malchance. Je recopie le tout, finit mon devoir pour "Cr�ativit� dans l'animation". Je n'ai pas le temps de manger. Je n'ai dans le corps que deux petites tranches de pain. Je suis en retard pour le cours. Huiti�me malchance.

J'entre dans le cours. J'ai envie de pleurer. Je commence � �tre tr�s, tr�s �puis�e. La prof, au leiu de me laisser tranquille, vient me demander si �a va. Je r�pond "super" am�rement. Elle me fait r�p�ter. C'est un effort, j'ai d�j� envie de pleurer, je retiens mes larmes, je dis plus fort "Super: c'est du sarcsme". Elle me demande d'�tre polie (? pardon? En quoi ai-je bien pu blesser sa magnificience? Y'aurait-il donc des modes d'humour interdits?) et m'humilie vaguement dans le pro�c�d�. Huiti�me malchance et demie, qui sMamende par le fait qu'elle aie saisie que j'avais pelin d'eau dans les yeux et qu'elle m'a dit que j'�tais juste fatigu�e, pas vrai. Neufi�me malchnce, pourtant, car je dois �tancher quelque larme entre mes bras.

Quand je suis tr�s tr�s fatigu�e avec l'estomac vide, mes r�actions �motives sont exac�rb�e: hyst�rique ou d�pressive. (pas d�prim�e: d�-press-ive).

Le reste du cour se passe relativement bien. Je rigole bien avec C, M-E et J (fille de ma classe). On va ensuite acheter nos albums d'anatomie ensemble, sauf pour C, � l'UQU�M, car le super magasin scolaire ne les a pas. On se rend ensutie au m�tro Berri-UQU�M qui est, comme vous vous en doutez, juste � c�t�.

Ma vraie malchance ne faisait que commencer.

Je passe � un guichet. Petit X rouge clignote. Je apsse � un autre guichet. Petite fl�che verte et son encoruageant. Je passe.

Je remet la carte dans mon sac-�-main, � l'endroit habituel. Je. remet. ma. carte. dans. la. pochette. de. mon. sac. �. main.

Je descend els escaliers vers la ligne orange en direction de C�te-Vertu. Il y a des t�l�phonnes juste en face dudit escalier. Je t�l�phonne � mon papa. Il me dit que l'on prend le train de 15h45. Super. Mes copines se sauvent pour attraper le m�tro. Super. Je marche vers le m�tro, jusqu'au fond. Je ne suis pas press�e. Voyons. j'ai tout mon temps. Je me dit m�me que je vais me laisser monter par les escaliers roulants � Lucien L'Allier cette fois, tellement je suis fatigu�e.

Je suis au bout du quai.

Un doute affreux me saisit.

Je regarde dans la pochette de mon sac, � l'endroit habituel.

Pas de carte.

Voyons! Impossible! Je l'ai mis ailleurs dans mon sac � mains. Je fouille. Elle n'y est pas. Je regarde partout. Le m�tro part, peu importe: je n'ai plus ma carte!!! Je retourne au t�l�phone. Je m'accroupit par terre, je regarde dans mon sac, je vide le sac � mains, je refait le trajet dans tous les sens, je vais demander aux gichets... Rien.

Pas de carte.

C'est compl�tement insens�.

Quelqu'un l'aura trouv� et EMPORT� avec lui ou elle, ce con/ne. Pourquoi la laisser la ou la remettre aux gichetiers? Vooooyons dooooonc! Ou mieux, quelqu'un l'aura vol�. Pourquoi voler une carte �TUDIANTE de m�tro/train � la presque fin du mois, je l'ignore. Je ne saurais dire.

D�courag�e, les yeux se mouillant malgr� moi, je prend le m�tro, r�alisant que je vais manquer le train. J'arrive � la gare � la derni�re minute, je suis compl�tement d�courag�e, je veux m'acheter un billet mais il reste deux minutes avant que le train parte.... Pas de billet.

.... Est-ce que j'ai besoin de vous dire que pour me faire plaisir il y avait des inspecteurs dans le train ce jour l� et que je vais avoir une putain de contravention que je ne peux PAS payer et que mon p�re va payer et que �a me fait chier?

Je vais la contester, leur putain de contravention. Avec des arguments qui vont leurs couper le souffle, les frapper au plexus solaire et les laisser tout �trangl�s.

Merde.

Et pour comble d'ironie, il a fait beau pr�cis�ment apr�s que j'ai re�u la contravention, avec force humiliation, car je me suis remise � pleurer, sans hoquet ni sanglot, mais les larmes coulaient et c'�tait honteux.

L'inspecteur �tait bien joli et parfaitement comme il le fallait. Il me croyait en plus, sans compasion d�bile. On ne contrefait pas des larmes de fatigue. On n'accepte pas non plus de recevoir la contravention malgr� l'explication.

Quelle journ�e de merde.

Je suis � terre.

Onze belles malchances.

-L


N'importe quoi.

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