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Les g�lules sont les liens. Genre.

Grands �panchements philosophiques
06/05/2003 @ 19:29

Me voici � mon clavier avec la ferme intention d'�crire une page � ce journal. Un journal maintenant tout sp�cial, puisqu'il fait partie de l'�lite payante, des privil�gi�s de la soci�t� diarylandienne, des aristocrates des cyber-�crivailleux insipides, des r�celeurs de la technologie bloguienne la plus avanc�e...

Enfin... La fameuse conscience du gaspillage que tout bon Qu�b�cois traditionnel a d'implant� dans le fond de son subconscient me force � faire dsicourir cette plume trop silencieuse depuis quelques mois...

C'est un g�n�ral laissez-aller dans ma vie, les devoris ne se font plus, les histories sont mortes, les dessins survivent de peine et de mis�re, les amiti�s s'effritent... Il n'y a la lecture, que je d�vore telle une v�ritable goresse. Mais je ne r�ussie pas � �tre malheureuse pour autant; ma s�r�nit�, achet�e elle aussi, garde mon moral au beau fixe.

Mes m�dicaments me rendent heureuse. J'en ai encore pour environs 7 mois � les prendre... Ils m'ont fait faire ce bon de g�ant de maturit�, que j'essais tant bien que mal d'assimiler...

Disons que cette petite pouss�e chimique, qui a retir� l'anxi�t� perp�tuelle du circuit, m'a aid� � arr�ter de tourner en rond mentalement, m'a donn� ce qu'il fallait pour progresser.

Je me vois grandir, d�laisser certains vieux pr�jug�s, remettre en questions certainnes de mes attitudes, prendre des r�solutions morales... Et je m'en assure en voyons que ce foss� n'est pas combl� chez mes semblables. M�me chez J.

Nous jugeons les gens tout le temps, absoluement.

Je suis loin de dire qu,il ne faut aps le faire, au cotnraire; il faut savoir critiquer son semblable, l'observer, tenter de le deviner. Mais ne pas uli apposer des �tiquettes fixes. Ne pas le condamener sur la superficie. Je sais, ce que je dis combien de gens l'ont dit avant, et combien peu le mette r�ellement en application! C'est qu'ils ne l'ont pas pleinement assimil�. Ni plus qeu moi. Cependant, je m'en rend compte. J'essaie, de plus en plus, d'�nonc� mes observations des autres sans leurs faire assumer un r�le totalitaire et d�finitif. Par exemple, une jeune fille portant des sandales-plateformes exag�r�ment haut perch�e n'est pas n�cessairement une p�tasse conformiste et superficielle; non, elle trouve simplement que ces souliers sont jolis parce que son sens de l'esth�tique est peu d�velopp�, et donc accepte tout ce que la mode lui donne sans consid�rations personelles, et elle endure le supplice de ces chaussures de fa�on engorudie, sans y r�lf�chir, parce que le plaisir de se savoir belle compense. Peu improte ce qu'il en est vraiment. Cette jeune fille est peut-�tre tr�s intelligente, peut-�tre qu'elle a un potentiel �norme. Peut-�tre qu'elle le laisse en friche. Peut-�tre que non. Peut-�tre qu'elle est m�me profonde et philosophe, mais qu'elle n'a pas encore consid�r� cette question. Ou peut-�tre encore qu'elle a toujours aim� l'esth�tique des plateformes, cela correspondant � certaines pr�f�rences remontant � tr�s loin dans son enfance et que le fait que la mode les ai remis en magasin l'enchente.

Peut-�tre qu'elle a une identi�e. Peut-�tre qu'elle s'est cherch�e, au lieu de se laisser aller dans le grand courant facile et statique de l'ordinaire, de la norme, de la convention, des r�gles.

Ne me prennez pas pour une absolutiste; je ne suis pas pour l'abolition des r�gles, un individu ne peut penser � tout et � ce moment ces r�gles sont autant de bornes qui le guident.

Mais il ne faut oas exag�rer non plus. Il ne faut pas ob�ir � ces r�gles � outrance, sans plus de r�flexion.

Je d�plore un manque de personnalit� chez mes cong�n�res. Les gens se laissent mener sans plus d'inittiative dans un grand courant d'id�es de pens�es et d'opinions. Plus rien de leurs appartient, il leur est plus facile de faire comme tout le monde. Ils pensent ce qu'il est bien vu de penser, ils portent ce qu'il n'est pas trop ridicule de porter, ils lisent � peine, et seulement des choses distrayantes, ils �coutent ce qui est r�cent et � la mode, ils ne cr�ent pas o� s'ils cr�ent c'est statiques... Enfin, une partie de la population, celle qui est la plus endormie, fait cela. J'aime mieux un vieux r�actionnaire avec ces id�es forg�es par des ann�es de fomentation, m�me si elles sont � courte vue et �troite, parce qu'au moins il y a de al convtiction, dedans.

Donc, la personnalit�... La personnalit�, c'est une r�flexion � chaque choix qui nous est offert de ce qui nous convient le mieux, et le moins cette r�flexion est affect�e par l'ext�rieur, le plus personnel c'est. Concr�tement, cela veut dire que ce que l'on aime, nous l'aimons pour des raisons plus particuli�res qu'un simple effleurement agr�able de l'audition ou de la vision. Nous l'aimons parce que cela nous rappelle quelque chose, parce que nous avons compar� ses m�rites � nos crit�res et nos opinions, lesquels sont � leurs tours choisis selon une rigoureuse inspection morale. Ce qui s'accordent le plus avec nos principes.

Et nos principes? Et bien nous choisissons les plus solides, ceux qui se tiennent le plus entre eux, ceux qui se font le moins jeter � terre par les autres principes.

Ainsi, dans ma t�te, Dieu est mort.

� cause de la r�flexion que j'en ai fait; il ressemble trop � ce d�sir freudien du P�re �terneel (c'est m�me l� l'un de ses noms!), du protecteur tout puissant qui nous surveille. nous guide, et nous rassure sur le fait que nous ne sommes pas tout seul sur cette plan�te, cet univers, et que nous ne sommes donc pas responsables, vraiment. Nous sommes ifniment responsables, et cela donne le vertige! Mais certains trouvent refugent dans lweur id�e d'un Dieu qui prend cela sur ses alrges �paules.

De plus, on met le nom Dieu sur tout ce que nous n'avons pu d�couvrir encore. Ainsi, le soleil �tait Dieu au tout d�but de l'histoire, et donc, avec le progr�s, l'id�e de Dieu s'amenuise. On en vient maintenant jusqu'� dire qu'� la fin de toute science se trouve l'irrationalit� (car toute science ne peut tout prouver absolument, c'est logique, ceci est un monde relatif) et cette irrationalit�, on la nomme Dieu. C'est idiot. C'est peindre notre ignorance avec une fausse humilit�.

Avant le Big Bang, ce serait donc Dieu, car nous ne savons pas ce qu'il y avait avant. Et au lieu de dire "nous ne savons pas", nous disons, "c'est dieu!". Absurde, nno? C'est l'esprit humain.

En retour, je ne peux non plus prouver que Dieu n'existe aps. Il n'y a de preuve ni d'un bord ni de l'autre. Mais puisqu,il n'y a aucune preuve d�finitivement affirmative de l'existence de Dieu, j'assume, � la lumi�re de ce que je peux hypoth�ser de son origine dans le coeur des humains, qu'il n'existe pas...

Ouf! J'ai r�ussi � r�embarquer sur mes dadas.

Une bonne d�blat�ration litt�raire, �a fait du bien.

Ma journ�e a �t� tr�s moche, si vous voulez savoir.

Mais mon potential d'attention est �puis�, je vais aller vaquer � autre chose.

Plus de blabla plus tard, alors.

-L


N'importe quoi.

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