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Les g�lules sont les liens. Genre.

Histoire d'une profane
15/08/2002 @ 22:18

Ouh-la! Que d'�v�nnements! Que d'excitation! Que d'embarassement! Que de que de!!

Laissez moi vous raconter ces deux derniers jours en moult d�tails, car ils en valent la peine. Je m'en sens encore tout excit�e, comme une petite fille avant No�l.

Tout commence alors que le mercredi, revenant d'une veill�e chez mon grand copain secr�tement aim�, T, j'apprend que j'ai cong� pour les deux prochains jours. Je suis extr�mement satisfaite car je sais que cela signifie quelque chose de tout aprticulier. En effet, cela veut dire que je vais avoir la chance de finalement faire la rencontre de Li de Toronto, et aussi de son fils A. Depuis le temps que m'en parle l'ange T � la caf�t�ria du midi, depuis le temps qu'il me dit d'amener des condoms � la perspective du passage d'A, on peut comprendre mon exultation � l'annonce de ce cong� inesp�r�. De plus, la journ�e d'avant, j'avais nettoy�e � fond la cuisine du foyer de T. Aussi, le soir m�me, j'annonce � mon tr�s cher ami que je d�barque dans son nid familial. Je refais les bagages d�faits le soir pr�c�dent, et enjoint l'unit� parentale m�le � me reconduire � P des C. Je ne me sens pas perticuli�rement enrveuse. Je me pr�pare � �tre d��ue. Je n'en attend pas tant que �a. La route se fait accompagn�e par le blast absolu du BUZZ. Finalement, je p�n�tre la charmante r�sidence de T, croyant que ce dernier est assis au fond, sans chemise, me disant qu'il est particuli�rement sexy ce soir l�. Je salue � la ronde en fran�ais, comme une imb�cile, r�cup�re avec beaucoup d'effusions mon cahier de dessin, par le fait m�me me faisant passer pour une psychotique. Quelqu'un, alors que je m'adressais � celui que je croyais �tre mon boucl�, m'indique charitablement que ce dernier est dans la douche. Je l�ve finalement les yeux sur l'apparition du fond de la salle. Je fais bien attention d'avoir l'air tout � fait nonchalante et de d�tourner le regard rapdiement, comme si la vision de l'inconnu ne me causait pas le moindre trouble... Alors qu'int�rieurement je suffoque, je rougis, je mouille, je saute en l'air... En effet, ma vision vient d'�tre confront�e � un �tre... qui ne peut �tre d�crit que comme.. divin. Ay. Un beau visage grave, aux yeux �normes d�vorant le monde de leur regard bleu-vert-gris-aquatique sombre, � la cheveleure couleur de sable brillant comme l'or, �paisse et au pointes toutes en arabesques sur les �paules... Un nez et un menton volontaire , des l�ves minces mais forte... Un beau visage angulaire. Une expression qui, au premier regard, vous donne le go�t de vous faire toute petite et invisible.
D�crivons le corps, voulez-vous?... C'est une t�che ardue, car la beaut�e et la sensualit� de cette charpente humaine poss�de une perfection discr�te difficile � exprimmer en mots. D'abord la peau... brune, dor�e. Lisse et unie � souhait. Qui donne l'envie de passer une bouche gorg�e de sang par l'excitation sur toute cette soie virile...

Cette merveilleuse enveloppe charnelle, donc, moulant des formes tout � fait parfaites. De belles �apules fortes, des avant-bras d�velopp�s et puissants, des bras nerveux et �galement capables.. Des mains de guitariste, fines, pr�cises mais ac�r�es. La poitrine... La poitrine! �a me donne des frissons rien que d'y penser. Comment, comment rendre ces formes id�ales, si masculines, si bien proportionn�es?... Que dire, de cette taille svelte et souple, de ce ventre dur et muscl�, de ces pectauraux simplement sublimes, nullement exag�r�, de cette forme qui convient id�alement aux seins des gar�ons... Comment vous d�crire pour qu'elle soit visible l'harmonie profond�ment sexuelle que poss�de A... Et le Dos! Le DOS! Je ne puis en rajouter, je vais m'�vanouir... La merveilleuse, superbe courbe de cette taille qui appelle le toucher jusqu'aux omoplates juste assez alrges, avec les inimitables �paules au dessus... Aaah!...

C'en �tait trop pour l'admiratrice de l'humain que l'on conna�t en moi, je n'osait poser mes yeux devant une si exquise oeuvre d'art, je me sentais comme si j'aurais souiller quelque chose d'infiniment sup�rieur aux visions auxquelles mes yeux sont permis. J'ai honte de le d�clarer, mais sa merveilleuse apparence me faisais sentir moins importante, point qualifi�e assez pour le consid�rer comme un individu ordinaire.

Donc, apr�s une soir�e de ce jeux de cache-cache du regard (la tentation me faisant parfois succomber, pour d�couvrir le beau regard grave pos� sur moi dans une attitude d'impeccable impassibilit�), nous aboutiss�mes tous au lit, � moi �tant d�chu le futon du salon...

Je dois l'admettre, j'ai r�v� de lui. Il faut vraiment le faire. J'ai absolument pas d'allure. Je sais, c'est incroyable, c'est abassourdissant, qu'apr�s un gros trois heures de regards couliss�s, mon subconscient se sente le besoin d'en �tre frustr� et de me l'introduire dans une langoureuse sc�ne onirique. Parce que bien s�re il n'y faisait pas office de simple figurant asexu�... Eh, non. Il fallait �videmment que je subisse la douce torture d'un r�ve o� toutes les sensations semblent v�cues et r�elles, un r�ve o� des l�vres avides m'enbrassait goul�ment � la bouche, � la gorge, entre la poitrine... O� des mains erraient en-dessous de mes l�gers v�tements de nuits... Car �videmment, la sc�ne se d�roulait � l'isntant pr�sent dans la pi�ce o� je me trouvais. � un point tel que je commen�ait � confondre la r�alit� et le r�ve (habituellement, je suis plut�t lucide dans ce genre de sc�ne)... Ensuite, le r�ve a �volu� vers un sc�nario plus complexe, absurde, avec sa chronologie bizarro�de et habituelle de mes r�ves "ordinaires", si je peux me permettre l'emploi d'un tel terme. Heureusement, pour me sauver, le matin arriva et me lib�ra de ces impossibilit�s si profond�ment d�sirables.

Cependant, peut-�tre pour tourner le couteau dans la plaie de ma frustration sexuelle, notre h�ro, A, arriva encore une fois � moiti� nu, me plongeant dans une admiration sacril�ge. Une �trange discussion se d�roula dans la amtin�e � propos d'un certain L qui avait perdu l'usage de sa mobilit�. A d�montrait un sarcasme particulier pour l'incident, au grand effarouchement de sa m�re Li. Cette derni�re, voyant mon regard se relever vers les interlocuteurs, me dit: "Did you just heard what they say?" Et moi de r�ponre: "Yes of coruse I did". "It's incredible how he reacts!" "Well he's just being cynic.. It's a defense against the world, you know". � ce propos, le principal int�ress� tourna son regard incisif et si indiff�rent vers le miens, dont je m'empressai de modifier la trajectoire. Li me r�pond alors "But he means it!". � quoi je r�pond "You can be cynic and mean it!" provoquant quelques rires. La journ�e m�me, nous allions en excursion dans notre jolie ville de Montr�al... Pour all�ger la situation, ma beaut�e fatale enfila un tee-shirt de Metallica, me soulageant d'un spectacle pour lequel je me sentais absolument profannatoire. Durant le trajet, je me concentrai sur T le plus possible, pour oublier l'�tre irr�el dans le si�ge oppos�, et parce que ce dernier me laisse plonger dans le r�ceptacle fantastique du bleu c�leste de ses yeux sans m'en faire sentir coupable.

Bien s�r, je devais commettrwe une bourde majeure. C'�tait �crit dans les astres. Sous le pr�texte d'aller rejoindre l'unit� parentale m�le, je suis partie tout droit vers un gros �difice orn� de l'effigie Hydro-Qu�bec. J'�tais trop t�te en l'air (on sait pourquoi) pour me rapeller que mon p�re se trouvait � la palce dupuis. M'en rendant compte, je demande � un brave passant la direction � prendre, la suit, et me rend au bureau du cher papa. �videmment, je redescend Ste-Catherine jusqu'� une interesection me menant sur ren� L�v�sque.. Et fait trois fois tout le trajet � la recherche de mon groupuscule. J'�tais loin de me dotuer que j'�tais descende trop bas. Idiote. Triple imb�cile. Je fais donc la d�duction qu'ilas ont d�camp�s sans m'attendre. Je remotne donc vers Ste-Catherine, � la recherche de la palce probable o� ils pourraient �tre. Quatre fois une portion respectable de la rue parcourue, au comble du d�sepoir, je d.�cide d'aller voir sur Ren� L�v�sque une derni�re fois.. Qui est-ce que j'y retrouve! S, p�re de I, K et A, et ce dernier dans sa calme et secr�te personne. Dans une voix d�form� par le sanglot de rage qui y naissait j'exprimme � la gentille, courtoise personne de S mon incompr�hension quant au ph�nom�ne, s'ils n'ont pas boug�s, en proie � une confusion �vidente. Les autres sont partis � ma recherche. Tr�s honteuse, je vais m'assire sur les marches au lieu d'aller avec A plus loin, trop humili�e pour cela. Je me ramasse en un petit paquet prostr�, essayant de calmer ma tension... D'une fa�on o� d'une autre, S nous enjoignit moi et A � allez rejoindre Li et I � quelques rues de l�. Je m'ex�cutai et durant la courte marche avec A, les quelques mots �chang�s, me rend comptes de toute la douceure que rec�le ce calme et cette impassibilit� apparement si glaciale. Je laisse mes petits yeux bleu vifs, tach�s de quelques points rouille, dans ses grandes iris sombres, graves, couleurs d'une rivi�re � la brunante... M�tabolisme de L de r�agir. Oh, j'affectais la parfaite indiff�rente, et je trouvais ma composition tr�s r�ussie, bien qu'elle ne l'�tait probalement pas. Je devais avoir un peu trop de rose un joue, un peu trop d'inflexion sur mes l�vres, un peu trop d'h�b�titude idol�tresque dans mes yeux �carquill�s. Je me connais.

Le reste de la journ�e s'est dr�oul�e sans encombres. Je dois dire, � leurs �loges, que tout le clan fut merveilleusement compr�hensif et gentil � mon �gard. Ils ne peuvent savoir toute la reconnaissance que je leurs porte pour avoir �viter de rajouter au bl�me que je me donnais d�j�. � quelques reprises le merveilleux regard se posa dans le miens. �videmment, j'ai continu� d'agir comme une conne, posant tous les mauvais gestes, affectant toutes les mauvaise attitudes. L restera L... Je me suis sauv�e pour aller prendre le m�tro Suqare Victoria apr�s leurs avoir donn� les directives de la rue Mont-Royal.

Et cela conclu mon histoire...

Je ne sais pas si jamais je reverrai ce chef d'oeuvre de beaut�e physique. Bien que j'aimerais beaucoup pouvoir le faire, j'admet que �a ne me d�range pas. Je ne le connais pas beaucoup. Il ne semble pas fort intr�ess� � ce que l'on fasse plus ample connaissance.... Je pourrais parier que c'est pas mon genre de mec, en mati�re de personnalit�. De toute fa�on je suis d�j� en amour... Nest-ce pas?

Sinon, j'ai fait l'acquisition de deux t-shirts pour fille, l'un de Led Zeppelin et l'autre de Pink Floyd. Yay pour L.

C'est tout!

-L


N'importe quoi.

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