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Les g�lules sont les liens. Genre.

nuit
24/11/2003 @ 20:41

Dehors le vent souffle fort, on a eu droit � un tr�s soudain changement de temp�rature. On entend un sourd mugissement, un bruit de fond, une rumeur qui atteste de la furie de l'�ther. Je me sens tr�s bien, dans mon petit habitacle humain, chauff� , veste de laine et chocolat chaud, une esp�ce de tani�re toute en angles droits et en plans g�om�triques, parce qu'on est un animal trop b�te pour se servir des courbes, bien plus naturelles. Nais bon,. �a ajoute � mon humanit�. Des angles droits color�s, avec des objets, des choses, du concret utilitaire ou d�coratif, qui est un peu absurde quand on le regarde en essayant de sortir de son humanit�. Les Qu�b�cois sont confortables. Ils ont un hiver dur et des maisons chaudes. Ils ont une cuisine qui soulage en hiver, faite de th�, de caf�, de chocolat chaud, de cipaille, de tourti�re, de soupe au pois, de soupe tout court, de rago�t, de chaud, de chaud, de chaud. Nos manteaux sont con�us pour le froid, la laine est � la mode.

J'�tais dans un autre habitacle humain, hier. Tout petit et merveilleux, un nid d'amour dans le mois de novembre. Le pr�texte c'�tait de faire nos devoirs et pour moi d'aller chercher un formulaire d'inscription � la r�sidence le lendemain... mais. Mais. J'ai surtout dessin�. J'avais un chat qui dormais sur mon dos. J'�tais tr�s fatigu�e. Je somnolais, toute �tendue sur le ventre que j'�tais. Sa voisine, une homosexuelle que j'ai trouv� plut�t attirante, toute f�minine et forte qu'elle �tait, a fait un petit tour pour se fumer un joint puis est repartie. Apr�s une bouff�e de THC concentr�, aspir�e � m�me un petit objet appell� un vaporisateur, qui ne procure que la dorgue sans le monoxyde de carbonne, je suis carr�ment tomb�e endormie, ou plut�t, dans un demi sommeil qui impliquait tout mon �tre physique mais qui laissait ma pens�e presque r�veill�e. J'entendais tout ce que lui et son copain se disait, en trouvant le tout bien bien �trange et fabuleux, tout aussi intoxiqu�s qu'ils �taient... je ne sais pas combien de temps a pass�, �ventuellement il m'a recouvert avec l'�dredon quand il a ouvert la fen�tre. J'ai ouvert le syeux un peu apr�s pour me moucher et me mettre sur mon s�ant. Il m'annonce, en revenant de la cuisinette, qu'il compte se coucher aussi. Je m'ex�cute donc, me d�shabillant pour enfiler un vieux t-shirt des rolling stones long et �troit que j'ai pens� � amener et ma chemisette bleue, parce que je me sentais frileuse. Je me couche lourdement, en me disant que cette fois-ci je dormirais certainnement, l-p ou pas � c�t� de moi. Il ferme la lumi�re et s'�tend � c�t� de moi. J'ai les mains sur le ventre, �tendue sur le dos, et je dors. Je dors, ou presque...

Quand je sens une main chaude qui se pose sur mon �paule pendant une minute. Puis un doigt qui trace d�licatement mon profil. Mon coeur cesse de battre, s�rement. J'�tais paralys�e. Le doigt se met � tracer les traits de mon visage. On le dirait de feu. On dirait qu'� son passage ma peaue se consumme et se p�me de plaisir. La main descend dans mon cou, puis d�licatement sur mon ventre et danse doucement... La main cherche mes mains, toutes crisp�e et repli�es... Mais lentement je d�tend les doigts, et touche les siens. Et puis le bras s'�tend, � travers mon corps, dans une tendre et d�licate �treinte. Je me retourne sur le c�t�, en pensant qu'on va pouvoir dormir en cuill�re. Dormir.... Mais... La main repart de plus belle et se fait plus insistante... Elle caresse doucement mon flan, puis mon ventre, et mes cuise, et remonte vers ma poitrine, qu'elle trace d�licatement... Et empoigne sans brusquerie, avec savoir-faire. Et la main se refait fluette, s'attarde minutieusement sur la sensible pointe. Je me sens de plus en plus immobilis�e. Comment suis-je cens�e r�agir? En tout cas, �a r�veille. Tout cela prend plusieurs minutes.

La main passe en dessous du t-shirt.. Touche ma peaue qui prend en feu et se carbonnise. Toujours aussi pr�cautionneusement, �veille chaque parcelle de ma chair. Et puis la main se rend sur les seins. Et comme pour compenser cette hardiesse, je sens, enfin, des baisers sur ma nuque.

C'est peut-�tre ce que j'attendais. Quand un gar�on me touche, j'ai tendance � vouloir l'embrasser. Para�t qu'y faut pas. Para�t que si c'est juste pour le sexe, les baisers sur la bouche, c'est non. Or c'est ce qui m'int�resse, moi.

Alors je me retourne, et je le cherche, et nos l�vres se soudent doucement... tr�s tr�s l�g�rement. Et encore. Il me prend dans ses bras et l� je perd un peu le fil parce que j'�tais transcend�e par toute cette sensualit�e. Corps et �me voulait faire un, je ne suis pas encore assez � l'aise avec �a pour que mes geste correspondent exactement � mon d�sir. Je sais que j'ai un peu mordu son lobe de d'oreil, que j'ai un peu l�ch� sa m�choire, son cou et ses trap�zes, je sais que j'ai touch� � l'int�grale douceur de son corps, je sais que j'ai t�t� �a et que �a semblait gros et grand et que �a m'a un peu fait peur. Je sais que je dormais toujours un peu, l�-dedans. Je sais qu'on se tenait tr�s pr�s. Et que sa main a err�e longtemps sur ma croupe. Jamais o� j'en avais envie par exemple. Mais j'avais qu'� le guider. Je sais qu'inconsciement mon bassin avait commenc� � prendre un rythme... Et puis �a s'est calm�... Sans que rien ne soit vraiment arriv�. Je crois qu,il n'�tait plus band�. Quand j'ai v�rifi� c'�tait juste tr�s chaud. Et puis il s'est mis au-dessus de moi et il me regardait et �a m'a intens�ment troubl�e. Il y avait quelque chose dans ses yeux que ma rationnalit� refusait de croire. �a brillait trop. C'�tait trop intense. J'ai tent� de soutenir son regard mais je ne pouvais pas parce que je ne comprennais rien et j'ai encore peur de me faire briser le coeur et je ne voulais pas qu'il sache que ma vie est en orbite autour de la sienne depuis qu'on s'est rencontr� mais... J'ai tenu bon une minute ou deux, fr�missante, effray�e, seulement par la douceur de ses yeux. J'ai finalement rabattu mes paupi�res pendant qu'il recommen�ait � tracer mon visage de son doigts... Puis... Puis il y avait une hisotire qu'il �tait deux heures du matin et as-tu soif, L, non j'ai de l'eau ici, j'ai enelev� ma chemise, il est all� � la salle de bain, c'�tait fini, j'ai rien compris, j'ai fait des cauchemards.

Inondation, gorilles, loups.

Et le lendemain je l'ai laiss� partir avant moi.

Et j'ai laiss� une note parce que j'�tais confuse.

Et c'est un peu triste. Je viens de recevoir un appel. J'�tais confuse pour rien.

Et j'ai mal.

-L


N'importe quoi.

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