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Les g�lules sont les liens. Genre.

lugubres consid�rations
06/11/2003 @ 18:06

Arr�tez donc, d'essayer de justifier l'ind�niable valeur de ce que vous faite. Je n'y crois pas de toute fa�on, car je ne crois plus que quoi que ce soit aie de la valeur. On profite plus ou moins bien, et encore l� c'est fort douteux qu'on puisse jamais achever quoi que ce soit. La perfection est innateignable, si on consid�re la perfection comme �tant le rendu exact de ce qui se trouvait ans note esprit avant qu'on essaie de le rendre concr�te ou qu'on le cherche de par le monde. On obtient jamais ce qu'on veut. il y a toujours un b�mol. Je suis une constante insatisfaite.

Depuis quelques jours, je suis plut�t sombre, et triste. Je vis un �pisode d'auto-d�ppr�ciation. Je me sens petite, moche, laide, rat�e, insignifiante. Je me sens contr�l�e et m�pris�e, incomprise. Je sens que tout � �t� fait, que je n'ai pas l'intelligence d'aller plus loin qu'on n'aie d�j� tent� de le faire. Je sens mes espoirs d��us. Mon talent m'a trahi dans le sens qu'il s'est fait croire plus grand qu'il �tait, qaund il est en fait m�diocre. Mes r�ves cr�vent sur le pav�, parce que mes moyens sont ba�llon�s et amput�s.

J'ai eu la fantaisie tr�s intense, mercredi matin, de m'enfuir vers l'am�rique du sud, de n'importe quel moyen que ce soit, d'y vivre, de m'y fondre, d'y rester, loin de tout ce qui a d�j� �t� un chez-moi absolument non r�confortant, o� je me sens traqu�e et contrainte. Fuir la froideur et l'humidit� harassante de ce pays de d�faitistes, o� l'hypocrisie se dit franche, o� il est mal vu de s'�lever, o� on a peur de grandir, o� on parle tr�s haut de ce que l'on ne sait pas trop vouloir. Fuir ces gens qui ne m'aimeront jamais passion�ment.

Tout est pareil partout, bien s�r, mais l'inconnu a au moins une saveure de neuf, de pur, de compl�tion pour un certain temps. Aucun r�le � jouer et � maintenir. On part quand la puret� se souille. Il n'y a jamais vraiment de puret�, �videmment, peut importe qui vous �tes et o� vous allez, il y aura toujours une pr�conception, un pr�jug�, un jugement d'embl�e qui g�chera vos tentatives de renaissances. Pensons-y en termes de degr�s. C'est mieux presque pas que beaucoup trop.

Je ne sais plus ce que je veux depuis longtemps. En fait je ne l'ai jamais su. Les deux derni�res phrases sont d'un st�r�otypisme d�solant. Mais disons que je ne me retrouve plus du tout en rien, que je ne sais pas o� je vais o� m�me si j'ai envie d'aller quelque part, que je n'ai aucjne id�e de ce que je suis capable de faire.

Je sens toujours que les autres ont le dessus sur moi, que je suis � leur mercie, que jamais je ne conqu�rerai ni ne m�nerai.

Et donc j'ai des crises de larmes chroniques, la sensation du mal qui veut sortir et deux trois gouttes sur mes joues, sans plus.

Dans ma chambre o� il fait froid, un m�tre cinquante par trois, 5 dollards la nuit je crois...

Je ne suis pas all�e � la gr�ve � qu�bec contre la hausse des frais de scolarit� aujourd'hui finalement, je me sens mal, j'ai manqu� � ma parole, c'est quelque chose que je d�teste, mais ce matin quand j'ai tent� de me lever, jai eu toutes les mis�res du monde,. je marchais croche et mes yeux restaient ferm�s, et ma m�re a profit� de cet instant de faiblesse pour me convaincre de regagner mon lit. Elle �tait contre que j'aie quelque part. Car elle est contre tout ce qui n'est pas organis� et pr�vu au poil, et tout ce qu'elle ne conna�t pas assez pour avoir une emprise dessus. J'�touffe. Je continue de la ha�r. � 17 ans, presque 18, je suis faible et irresponsable, incapable de me d�brouiller seule, parce que cette esp�ce de ge�li�re psychopate fait toujours tout pour me confiner dans les limites de son contr�le. Je me sens mal dans cette chambre qui lui appartient, manger sa nourriture � elle, vivre de son argent, d�pendre d'elle, �a m'humilie �norm�ment, mais il n'est rien que je puisse faire. Je suis aux �tudes et personne ne veut de moi pour travailler.

...

Et puis, L-p m'a �crit une lettre que je ne comprends aps trop, o� que j'ai peur de comprendre, o� qui oscille trop entre deux extr�mes pour que je puisse vraiment dire ce qu'il en est. �a aussi, �a me d�sesp�re. Je ne crois pas qu'il ne m'aime jamais comme je l'aime, d'un amour qui a tout ravag� dans mon esprit, jusqu'� en faire l'unique pr�occupation de mes jours et mes nuits. Je ne crois pas que je rayonne pour lui comme il rayonne pour moi. Il va m'utiliser pour son plaisir pendant quelques jours, ou quelques semaines, ou quelques mois, puis me laisser tomber, lui aussi. Mais cette fois, �a va me briser, me tuer, m'�clater, m'assassiner. On dirait que tout mon �tre s'est investit dans cet amour contre toute rationnalit�, avec lui je suis sublimement bien, heureuse, en communion, je le d�sire ardement au point que le plus minuscule effleurement fasse bouillir mon sang, j'adule toutes les parties de son �tre, ses expressions, ses id�es, son �me, sa gestuelle, son odeur, son corps, ses talents, ses d�fauts, sa voix, sa fa�on de r�agir, le fond romantique de son �me... Et je ne sais comment tout cela s'est produit.

Mais si cet amour l� n'est pas r�ciproque, et il ne l'est pas, je vais prendre une m�chante plonge dans les bas-fonds de l'existence.

Enfin...

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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