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Les g�lules sont les liens. Genre.

Rage contre l'oisivet� mentale, confrontation de deux groupes et r�solutions �motives
20/07/2003 @ 19:33

Les gens me d�go�tent en ce moment. Enfin, les plus communs d'entreeux. Incapables de se lib�rer des conventions sociales parce qu'ils ne pensent jamais, leurs jugements est guid�e par ce qu'ils per�oivent comme l'opinion g�n�rale et approuv�e, alors que le plus simple des raisonnements contredisant cette opinion leurs fait r�aliser l'ineptie de cette derni�re. Ainsi, avant mon intervention, pour eux une fille voulant coucher un moment avec un gar�on puis l'instant d'apr�s serait une pute, mais un gar�on dans la m�me situation est tout-�-fait normal. Contradiction �tant le produit de si�cle de d�pendance et de faiblesse forc�e. Comme si le d�sir sexuel animal se limitait � un seul des deux genres humains...

Ce n'est-l�, bien-s�r, qu'un exemple. Mais � quoi sert donc tous ces grands progr�s id�ologiques? Qui saura mettre � niveau les gens qui ont besoin d'un faux support � leur intelligence parresseuse? Quelle force titanesque ne faut-il pas pour �branler cette glue des conventions sociales, d'autant plus difficile � mouvoir et � d�ranger qu'elle glisse entre les doigts, hypocrites et insaisissable! Comment puis-je vivre sans tourments, en me voyant impuissante devant mes semblables de partager avec eux les lumi�res que m'ont apporter mes raisonnements! Comment peut-on se complaire dans cette stagnation... C'est comme de demander � quelqu'un de boire dans un marais apr�s avoir pass� sa vie � se d�salt�rer � l'eaue vive. Et je suis afflig�e de voir combien ce qui est le pillier m�me de ma vie, cette qu�te incessante et insassiable (�trange paire de mots) de l'exactitude du jugement, occuper si peu de place dans la t�te en friches de mes comp�res, bon vivants certes, mais qui tiennent tant � rester petits!... Et le tort que cela leurs fait. L'initiative coup�e, les perspectives bouch�es. Les petits esprits deviennent rarement grand dans ce monde, � moins d'�tre n� avec une situation. De plus, c'est leur �me m�me, si je puis d�barasser ce mot de ces connotations religieuses, qui en souffrent. Comme leur regard sur le monde est r�duit! Et cela nuit dans leurs actions aussi. Ils comettent sans cesse les m�mes erreures de comportemnts, se font mal � r�p�tition, par simple oisivet� mentale. Prennez C, Emo-boi, par exemple: puisqu'il ne sait pas ce qu'il veut, puisqu'il ne s'est jamais demand� qu'est-ce qui le satisfairait vraiment et compl�tement chez une fille, il souffre de d�sirer une lointaine ic�ne blonde qui jamais ne voudra de lui, et se fourvoie � �tre par intermittence avec une petite idiote tout aussi blonde (remarquez que je n'aie rien contre la couleur des cheveux, dans ce cas-ci c'est une co�ncidence et un malheur, puisque l'attirance de C pour le blond fait qu'il se blesse toujours au m�me endroit) qui ne pourra ajmais comprendre ses �panchements ni comprendre les tr�fonds de sa sensibilit�.

Il fait comme Bart dans les Simpsons, qui essaie sans jamais comprendre son erreure d'atteindre un g�teau (toujorus le m�me) �lectrocut� sans faire l'analogie. Un tableau si �vocateur de notre soci�t�, une m�taphore admirable de la stupidit� comune � l'esp�ce humaine.

Je ne pr�tend pas d'ailleurs en �tre exempte. Ne me trompai-je pas moi non plus � toujours d�sirer des gar�ons qui ne veulent pas de moi de toute fa�on?

Ah!... Si je pouvais �tre un pur esprit �th�r�, sans les soucis du corps et de la vie mat�rielle, perceptible, une conscience absolue dans ce monde relatif, qui n'aurait � souffrir du paradoxe que repr�sente l'humanit�, d�chir�e entre son mat�riel et son spirituel, en arrivant rarement � les concilier. Si seulement il ne fallait pas que je m'occupe de ce corps, divin pour quelques �tranges personnages et peu int�ressant pour les ordinaires autres, si seulement mes hormones ne criaient pas pour un compagnon, t�che si compliqu�e � achever, d�sir si dur � assouvir pour moi... Pourquoi cette recherche impossible du partenaire �quivalent, moi-m�me rarement satisfaite et les quelques appel�s ne voyant pas de quelle �toffe je suis faite... Tous les compromis que je suis pr�te � faire pour ces idiots aux attentes irr�alisables et qui, la plupart du temps, ne valent pas mon attention. Quelle mis�re d'�tre l'esclave de ses instincts!

J'en ai assez.

Mais j'aime la vie en elle-m�me. Et j'aime mes semblables... Mais j'en ai assez d'aider en vain les oisifs.

Alors, qu'est-ce qui fait �merger cette col�re, me demandez vous? Probablement la collison de deux groupes de gens que j'ai fr�quent� � un intervalle tr�s rapproch�. Jeudi: rencontre de gens g�n�ralement plus �g�s, plus cultiv�s, aux go�ts musicaux recherch�s et � la subtilit� plus profonde. Petite rencontre paisible dans un appartement, o� j'ai d'ailleurs beaucoup trop bu... La maturit� des propri�taires n'en fut pas offusqu�e et ce fut en bout du compte une compagnie fort charmante, malgr� un malentendu qui risque de brouiller Y avec T, parce que T avec son idiote fiert� ne reconna�tra pas ses torts. T envers qui j'ai, d'ailleurs, encore une fois (je sais, je sais...) modifi� mon jugement... Dans le fond son probl�me, c'est qu'il applique, avec une na�vet� qui fait sourire, son caract�re ind�pendant sur tout le monde. N'�tant jamais bless� par personne � cause de leurs actions, il imagine qu'il en est de m�me de ses actions sur les autres, et se commet des impolitesses blessantes et qui ressemblent � du m�pris et � de l'�ho�sme, mais qui ne tient qu'� la projection de son propre comportement sur autrui. J'ai pu ainsi refroidir mes id�es � son sujet gr�ce au fait que je ne suis plus du tout sentimentalement pr�occupp� de lui: j'imagine que mon propre et r�cent d�dain de lui tennait au soubresaut d'outre tombe de mes sentiments d'hors et d'alors pour lui, cet �trange m�lange d'amour et de haine que j'ai �prouv� pour un petit gar�on qui n'a pas voulu de moi comme compagne... L'histoire se r�p�te.

Pour revenir � ce que je racontais, disons qu'hier, � un deuxi�me party, chez Ben-G celui-l�, j'ai �t� confront�e � un type de personnes totalement diff�rent... Plus jeunes, grivoise, bon vivants, moins profondes, aussi. Je g�n�ralise ebaucoup ici, certains de ces personnages �taient dignes de consid�rations... Mais l'humeur moyenne qui se d�gageait de ce groupe de personne, habill� selon les tendances sans toujours beaucoup de go�t, qui �mettait des �normit�s comme montr� au d�but de cet �p�tre, �tait beaucoup plus commune.

Remarquez qu'il y a quand m�me eu quatre gar�ons qui m'ont port�s de l'attention, ce que je trouve tr�s particulier. Un, gentil et r�veur, me parlait en me regardant avec des yeux tout doux, sans oser rien dire, m'effleurant � peine et timidement lorsque l'occasion s'en pr�sentait. Appel� J. Ce sont g�n�ralement ceux que je pr�f�re, ils sont intelligent bien qu'effarouch�s et n'esaient pas de vous emttre dans leur lits � la premi�re occasion... Mais je trouve particuli�rement dur de me rapprocher d'eux, justement � cause de mes r�actions qui sont tr�s similaires. Un autre, dont le nom m'�chappe puisque je lui ai � peine parl�, m'a dit tout de go "�a va, ma belle?". Mais incapable de comprendre qu'il me parlait � moi, je me suis retourn�e derri�re moi pour voir s'il parlait � quelqu'un dr�le, puis, toujours incr�dule, lui adressai un regard triste en guise de reproche pour ce que je prennais du sarcasme. Mais en y repensant, me rapellant comme ces amis n'ont ni ri m�chamment ni eu de sourires ironiques, et comme ces yeux avait ce regard br�lant des m�les en chaleur, j'ai d� reconna�tre qu'il avait tent� une approche, ce qui me rend encore toute perplexe. Un autre, un peu plus froid � cause de notre genre de fr�quentation, vennait malgr� sa grande occupation me parler, changeait fr�quement de place l'air de rien, et me regardait lui aussi avec quelque chose dans le regard, quelque chose de cependant plus dissimul�. Et un dernier m'a franchement fait la cours, me demandant d'une mani�re � peine dissimul�e si j'avais un amoureux, s'arrangeant toujours pour me toucher en s'asissant � c�t� de moi, en "m'�poussetant" le dos un peu longuement et plut�t sensuellement, en me prenant toute la main et le bras pour regarder l'heure � ma montre (il en avait une si �a se trouve), en touchant de ses doigts chaud les miens pour un oui ou pour un non, en me demandant inocemment � rester l� � coucher, en pr�tendant me trouver int�ressante alors que je n'ai encore rien dit de marquant et en m'embrassant le cou en dessous de la naissance de la m�choire pour me faire une "chaste" bise d'adieu....

Et moi qui reste toute chose et idiote, incapable de r�agir et ayant l'air froide et indiff�rente. Meh. C'est compliqu� la s�duction. Tr�s.

Cela m'emm�ne � vous parler de mes nouvelles dipositions envers C. Il est trop jeune. D�cidemment. En me d�vouant � lui je perds mon temps et je me fait mal sans raisons. S'il est encore � cette phase o� l'on pr�te des vertus � ce qui nous attire et si l'on recherche l' insaisissable et inexistant id�al, s'il est inconstant, revenant sans jamais se d�cider vers ses anciennes blondes, les quittant, les reprennant, si, finalement, il n'�prouve jamais de s�rieux, profond amour, chose que je ne souhaiterais m�me pas qu'il m'accorde, ne ressentant pas un passion exag�r�ment folle pour lui... Et bien tant pis! Qu'il cr�ve! S�rieusement. Q u ' i l c r � v e .

Walk away,
Taste the Pain
come again some other day!

Aren't you glad you weren't afraid
Funny how the price gets paid...

�ventuellement, et je le sais, la signification des paroles de cette chanson prendront toute son ampleur...

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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