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Les g�lules sont les liens. Genre.

�loge des Tattoos
14/04/2003 @ 15:27

Alors, oui, c'est fait. Le tatou (tattou, tattoo...). Je me suis fait faire la chose hier, au superock St-Denis, � Montr�al. La chose en tant que telle, est inspir� de cette cr�ation de moi, que voici:

Le r�sultat, qui est tr�s bon, mais que ma webcam empire beaucoup, ressemble � cela:

Alors, vous voulez que je vous relate mon exp�rience? Et bien soit, voici:

Moi et J (J aux cheveux rouges), il y a une semaine, avons pris spontann�ment la d�cision de nous faire tattouer, alors que nous devisions devant un feu de camps, suite � un espoir d��u de cette charmante et bien turbulente jeune fille. C'est le genre de projet instantann� qu'il m'arrive de fomenter, ainsi. Cela donne beaucoup plus de saveur � l'aventure que de tout minutieusement planifi�. Ce genre de d�cision contient une part de plaisir fort importante � la r�alisation m�me du but, et ce plaisir, c'est justement d'�tre si rapide, si fra�che et si fantasque. Il me semble que de se pr�parer longuement en avance, comme on m'a inculqu� � le faire depuis mon enfance, enl�ve de la saveur �u plaisir des d�cisions. De plus que les reditions, les abandons, les pr�textes pour remettre � plus tard. C'est si d�lectable, de se dire: "Samedi prochain, nous allons � montr�al nous faire tattouer!" sans essayer de pr�dire toutes les difficult�s et possibilit�s. Carpe Diem, n'est-ce pas: il y a quelque chose de fort vrai dans ce dicton. D'accord � la r�flexion, mais la rationnalisation d�guisant l'ambiguit�, la peur, le conformisme; non.

Toujours est-il que, pour en revenir � mon histoire, vendredi dernier, me rappelant de ma volont�e, au lieu de l�cher prise devant la mince difficult�, j'ai ouvert mon botin t�l�phonique et j'ai appel� quelques endroits, que j'ai ensuite tri� au volet. Mon choix s'est port� sur l'�tablissement le plus s�curitaire, et semblant offrir le plus de professionalisme.

Samedi, apr�s l'achat de mes patins avec ma m�re, je saute sur le t�l�phone et apr�s d'infructueux essais, r�ussi � la rejoindre. Je lui rappelle notre projet, et lui demande par le fait m�me si elle a envie de faire du patin avec moi. Nous concilions les deux �l�ments en un syst�me, nous feront du patin l'apr�s-midi, concevront les tattoos le soir, elle ira au travail le lendemain et nous nous rendrons ensuite � Montr�al. Elle accepte et hop, le tout de se faire.

Sachez que je suis une totale d�butante en rollerblades, mais que j'ai quand m�me effectuez un grand parcours de 4 kilom�tres avec J, nous rendant chez S puisque nous passions par l�. La soir�e se passe dans l'�laboration et finition des tattous, puis l'on se couche.

Lendemain matin, on se l�ve, on d�jeune, elle part travailler. Et puis, � trois heures et demie, nous allons la chercher. On revient ici, on se pr�pare et puis on resaute dans l'auto, direction, terminus d'autobus dr Ste-Anne-de-Bellevue. Durant les 55 minutes de notre trajet, J me fait part de sa nervosit�. Je suis �trangement calme. Rendue au terminus Lionel-Groulx, nous embarquons dans le m�tro, direction Berri-Uquam. Dans le m�tro, il y avait une dame �trange, assez ronde, les cheveux javellis�s, les l�vres peitnes en majeinta, qui parlait seule. Une petite conne est rentr�e dans notre wagon, et appercevant l'�trange personnage, qui ne d�rangeait personne, d�clare haut et fort que "y'a quelqu'un qui a des probl�mes ici". Je ne sais pas pourquoi, mais cela m'a irrit�e au plus haut point. Voil� cette eptite imb�cile, v�tue � la mode, hautaine mais conformiste, attaquante mais l�che, m�prisant la diff�rence, incapable d'empathie, qui s'en prend � quelqu'un de plus faible qu'elle, avec cruaut�. J'�tais vraiment �poustoufl�e. Auntant d'�go�sme existe? Se pouvait-il que cette petite tarte pleines de pr�conceptions puisse �tre aussi insensible au malheur d'autrui? J'ai vraiment eu le go�t de dire tout haut pour son b�n�fice qu'elle n'�tais pas la seule � avoir des probl�mes... Enfin, nous d�barquons J'ai un petit plan qui m'indique le chemin jusqu'� la shop de tattoo. Malheureusement, nous nous trompons de c�t�, et le r�alisons comme les num�ros descendent au lieu d'ascendre. On se tourne de bord, et entendons l'�trange exclamation de deux automobilistes dans la trentaine, qui parlent de "touristes en manque de sexe". S'adressait-il � nous? � quoi a-t-il vu que nous pourrions r�pondre � cette d�nomination? Peu importe. Cela m'a laiss�e assez insensible. Les gens qui invectivent les inconnus ainsi m'ont toujours sembl� bien path�tiques, bien mis�rables.

Enfin, nous arrivons au Superock Caf�. C'est un endroit agr�able, propre, avec des milliers d'�chantillons de boucles pour les divers piercings existants dans des belles vitrines, des cartables remplis de tattoos, des sculptures � saveurs hindou�stes, d'autres plut�t futuristiques, des chaises de dentistes pour les "op�rations", des tables pour prendre le caf�, des divans... De la musique typiquement rock joue, pour mon plus grand plaisir.

Nous demandons � �tre tatou�es. La taille que nous voulions pour nos design �taient impossible � r�aliser, il fallait que ce soit plus gros. J'opte pour une version agrandie de mon tattoo, mais J pr�f�re en choisir un autre.

Je passe en premier.

Mon tattoueur a de longs cheveux bruns et fris�s, attach�s en queue de cheval. Il a les oreilles bard�es de m�tal, et le bra droit tatou�s de flame. Il est calme, attentif, pr�cis, perfectionniste, artiste. Il ne parle pas beaucoup. Il me montre � quelle profondeur l'aiguille va rentrer dans ma peaue. Je d�signe l'emplacement o� je veux ma tribale empreinte, et l'op�ration commence.

Le bourdonnement se fait entendre. L'aiguille se pose sur ma epaue, je ne sens rien, Puis, un l�ger pincement. Puis une douleure plus �nervante, � proprement parler, qui tire, mais qui n'est vraiment pas la mer � boire. La pression ferme, lourde et chaude des bras du tattoueurs sur mon corps, afin d'avoir une prise tr�s pr�cise sur l'endroit o� il travaille, me semble �trangement sensuelle et agr�able.

L'office continua ainsi pendant 45 minutes, pendant lesquelles je n'ai pas g�mit ni crier une fois, et pendant lesquelles je suis rest�e relativement calme. Je me concentrais sur le plafond, le paysage de l'ext�rieur. Un bras en dessous de ma t�te donnait � la main s'y rattachant l'acc�s de mes cheveux, que je pouvais serrer librement lorsque la douleur �tait plus particuli�rement vive.

Et je ne sais pas exactement pourquoi, mais l'exp�rience, en tout, m'a sembl� particuli�rement int�ressante. Quelque chose dans l'atmosph�re de la place, dans l'acte m�me...

Il me semble que cette forme d'art corporelle ai une signification toute particuli�re. C'est une forme d'�preuve du feu, de consacration, de r�sistance � une douleur tenaillante dans un but connu, et escompt�, qui rend la personne plus humaine, si on veut. C'est la transcendance de la nature de notre corps, que nous ornons selon notre propre volont�e. C'est l'appropriation de la chair, la r�clamation de notre humanit� sur cette enveloppe qui nous �chappe si souvent, c'est la marque de notre civilisation, celle de l'art, que nous inscrivons dans la chair. C'est une novuelle compr�hension de la beaut�e. C'est ... c'est quelque chose.

Ceci dit, revenons � ma pauvre J, qui elle, supporte cela bien moins que moi. Elle invoquera la pr�texte que son tattouage �tait plus sur l'os que le miens, en fait, elle s'emparera de cette excuse que je lui ai donn� pour la justifier. Peu importe...

C'�tait bien.

Je compte bien obtenir un deuxi�me tattou.

En autres nouvelles:
Et bien, je suis d�sol�e de me montrer si absente dans mon journal. Je passe mon temps � lire, � dessiner, � parler, � triturer le monde superficiellement, alors que mes pens�es s'�l�vent sans but pr�cis, comme des volutes de fum�es. Je ressens un m�lange de s�r�nit� et d'irritation, de bonheur et de d�sillusion. Les relations des humains entre eux, telles que je les vois � mon �cole, me d�sesp�rent et je d�sesp�re plus encore de me voir happ�e dans ce grand jeu social. Tant d'hypocrisie, d'hostilit�, de pr�conception! Tant de pr�jug�s.. Tant d'int�r�t. Tant de pertes de temps. Il serait tellement plus productif d'entretenir des rapports harmonieux. Tout ce fiel ne m�ne nulle part. � quoi bon m�dire des autres pour des riens, � quoi bon leurs offrire une souriante figure par la suite, � quoi bon se laisser toucher par le venin des personnes malveillantes, qui ne connaissent rien de vous ni du monde, qui perdent leurs temps dans de telles sottises?

J'ai tr�s h�te de changer de milieux, du secondaire au C�GEP: na�vement, j'esp�re ainsi qu'un environnement si neuf me donnerai une feuille de route vierge, o� je pourrai �voluer pacifiquement, en �vitant ces idioties de minauderies sociales. Ceux qui ne m'aimeront pas seront ignor�s, ceux qui voudront me glisser entre les rouages de leurs futiles machines ne recontrerons que l'indiff�rence. Je refuse de juger les gens sur leurs apparences, et je refuse de condamner toute une personne selon un de ses actes. Je ne mord que quand je suis mordue, mais j'esp�re encore plus, c'est de pouvoir mettre des museli�res � tous les mordeurs.

Voil�.

-L


N'importe quoi.

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