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Les g�lules sont les liens. Genre.

Froideur
27/11/2002 @ 18:03

Quelle froideure... Mon corps, sans le sien, est une eveloppe vide de toute vie. Et mon esprit, lui, sans conditions particuli�res, est vide de toute substance.

Je ne le verrai pas ce soir, comme les trois soir�es pr�c�dentes. Pas de chaleur follement odorante o� me coller.

J'ai un monstrueux devoir de math � faire.

Et une sensation de morne tristesse et d'inutilit� � �vacuer. Je ne produis rien. Ma vie n'a aucun but � long terme. Je n'ai rien � dire. Je n'ai pas d'ambitions. Mon talent, s'il y en a, est m�diocre. Et j'�tais incapable de jouir hier soir, et toute la promesse sensuelle du sexe semble s'�tre ternie apr�s ces caresses qui ne me rejoignaient pas.

Je reste de plus en plus � l'int�rieur de ma t�te, sans pour autant que cet int�rieur rec�le quoi que ce soit.

La seule chose qui m'int�resse, c'est m'�vader de l'instant pr�sent dans les bras chauds et doux de cet homme que je ne connais pas assez.

Parlons d'autres choses...

En "�thiques et Cultures Religieuses" aujourd'hui, nous avons discut� de la th�orie du behaviorisme, pr�nant que l'homme est une machine infiniment manipulable, et qui est le r�sultat de son environnement. Plusieurs choses sont venues � mon esprit qui tend � �tre cynique, ces temps-ci: de un, il est amusant de voir avec quelle facilit� les gens qui ne r�fl�chissent pas en profoneur gobent n'importe quoi, et croit comprendre quelque chose en appliquant sa d�finition. De deux, rien n'est absolu, d'autant plus une th�orie sur l'humain. Le grand probl�me avec ces th�ories, d'ailleurs, c'est l'absence des contre-preuves et l'ommission des d�veloppements ult�rieurs de ces th�ories. Les esprits na�fs assimilent les fondements et �teignent la lumi�re, et ils n'y pensent plus. Triste.

M-A m'a certifi� ne pas avoir de MTS. Je lui fais confiance, mais qui sait?

Hier soir, malgr� la douleur, et les cris d�chirants que je poussaient, je trouvait infiniment agr�able la sensation de ce membre point si dur et mena�ant qu'on le fait, mais plut�t chaud, humain, un peu �lastique � la texture, fait pour ces antres humides et ti�des que sont les miennes. Et le mouvement de cet acte qui, de loin, semble si disgracieux et d�risoire, vulgaire et presque sordide, mais qui, ressenti, est d�licat, dansant, �mouvant m�me.

Il a mon num�ro, mais il ne m'appelera pas. Non seulement il a du travail, mais, malgr� ses touchantes d�claration d'amour, qui m'�tonne venant de lui... Je... Ne sais pas...

Il m'a invit� � venir avec lui � Sorel,la ville du futur, en fin de semaine. L'Unit� Parentale va contrecarrer mes plans si s�rement que je lui ai dit que ce ne serait pas possible.

Ooooooh, je me sens comme une si abjecte tarre... Un �chec, sur les plans les plus basiques de l'humanit�. Une incapable, m�me pour simplement agir avec autrui. Une retard�e, pour simplement occuper le n�ant cossu de ma vie. Une sans-avenir, trop mollusque pour se forger une carri�re, un couple, une vie.

Et seule...

Mais! R m'a laiss� un message. Elle pensait � moi. Elle vit chez son amoureux, maintenant. J'ose pas appeller, premi�rement parce que d'instinct, je n'aime pas cet homme qui ne la vaut pas avec son infantilisme et son manque d'intelligence, et aussi, je ne veux pas les d�ranger...

Vous savez, les pens�es noires �volues. Les miennes sont maitnenant beaucoup plus pernicieuses qu'elles ne l'�taient avant. C'est-�-dire, d'antan, c'�tait la mort qui me r�clammait de droit, telle une int�griste. Maintenant, je me fonde sur mon apathie et ma nature peu sociale pour me d�clarer finie et perdue d'avance. C'est un cercle vicieux, absurde tel un cirque de malheur, dans ma pens�e.

Confiance en soi, quand reviendras-tu dans ma vie? Rayon de soleil dont j'ai perdu le go�t, que je n'ai peut-�tre jamais eu, feras-tu fondre la neige sale de ma prostration? J'aurais bien besoin de toi, ton absence m'emp�che d'�tre heureuse, je me sens indigne de tout et me d�fie d'autant, ne croyant pas mon amoureux quand il dit m'aimer, ne croyant pas mes amis dans leurs gestes d'affections, ne croyant pas les �trangers quand ils me disent quelque chose de positif, croyant toujours d�celer la malveillance et l'ironie. Bah! Je vais appeller R.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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