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Les g�lules sont les liens. Genre.

Elle est malade
29/10/2002 @ 17:12

Je suis bien gripp�e. J'�ternue � rien, le nez me suinte comme de la tuyauterie mal jointe, mes sinus ainsi que divers points de ma t�te ont des �lancements douloureux et selon J, je suis toute p�lotte. Ma m�re voulait m�me que je prenne une journ�e de cong�. Mais bon, j'ai pr�f�rr� endurer une autre journ�e d'�cole. Pourquoi? � cause de M-A. Et sous cet aspect-l�, j'ai peut-�tre bien fait d'y �tre all�. Pourquoi?... Ah, l'�nergie de la narration me manque. Les choses sont si liquide, je me sens �tourdie. Mentionnons donc les habituels regards enflamm�s, la discussion sexuelle au caf� �tudiant le midi (j'ai maintenant la certitude qu'il ne soit pas gai...) et l'insistance de notre h�ro � ce que j'aille le visiter. Et j'y compte bien. Mais je suis intimid�e.

Un moment d'absence. Un autre. Le temps a agr�ablement perdu ses attribus de mouvement et je restais fich�e dans l'immobile, dans une contemplation abstraite. Int�ressant.

Il faut vraiment que nous ayons une grande confiance en notre corps, ou une grande nonchalance envers lui, pour qu'� chaque soir, en toute qui�tude, nous nous abandonnions � une presque-mort. En effet, nous nous laissons d�partir sans protester de ce seul outil de contact avec la r�alit� et de ce gardien de la vie, celui qui nous informe de notre �tat, nous averti d'une potentielle atteinte � l'existence. Nous abdiquons de l'autorit� de notre �tre � notre corps. Nous laissons la conscience se d�samorc�e.

Comment se fait-il que la crainte affreuse de ne plus jamais se r�veiller ne nous emp�che de dormir? Est-ce par l'exp�rience r�p�t�e du retour au monde � chaque matin? Mais qui nous a assur� que le transfert de pouvoir de l'�tre se fera toujours avec r�gularit� et justice? Et si notre corps refusait de rendre sa place � la conscience? Nous serions alors prisonnier de nous-m�mes, notre volont� incapable de commander � notre corps d'agir, cette �tincelle de la passation jamais rallum�e, notre conscience pour toujours terr�e dans les profondeurs de notre psych�e... ah!

Je suis de plus en plus lasse, une lourdeure me prend aux bras et � la t�te. Je devrais aller me laver. J'ai faim. J'ai envie d'une bonne soupe r�confortante. Je peux toujours r�ver ou me faire une deuxi�me tasse de bouillon bovril.

Ah, ma beaut�, je lui ai touch� les cheveux, et lui aussi, et... Tous ces regards.. C'est si intimidant et j'ai peur que mon attitude ne le d�courage. Mais je ne sais trop comment lui donner des "signes positifs". Ma peur irrationnelle de tout g�cher, de me tromper sur toute la ligne me paralyse.

Et J a fait une allusion tr�s directe � midi. �a me frustre un peu, j'aimerais passer mes messages par moi-m�me. Et c'est ridicule. Je me rend compte de mon path�tisme, avec tout ce petit jeu de d�fil� et de comm�rage. Pourquoi n'agissai-je pas? Du courage, L! Sinon jamais rien n'arrivera... Et pourtant j'essaie.

Mais pas assez.

Au bain.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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