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Les g�lules sont les liens. Genre.

Une autre journ�e
15/10/2002 @ 17:25

*soupir* Une autre journ�e de classe d'abattue... Encore, cette lancinante sensation de non-sassi�t�, apr�s avoir tant esp�r� retirer de cette journ�e sans y succ�der... Sentiment cr�� par mon obsession de M, mon d�sir intense d'�tre en sa pr�sence, et que de l� certains �v�nnements s'en suivent... Chose qui n'arrive pas, car mes attentes sont un peu irr�elles, ou plut�t, elles ont tellement le go�t, l'intense accent du v�cu dans mon imaginaire que la r�alit�, toute petite � c�t�, est si fade qu'elle me semble malingre et insuffisante. Pourtant, oui, pourtant, cette r�alit� me donne parfois quelques fulgurantes sensations, quand je plonge mon regard dans ses incroyables yeux en amande, pleins d'ombres, chauds et enj�leurs... Que dire de la figure, avec tous ces traits si forts mais si harmonieux, ses l�vres sculpt�es au nanom�tre pr�s, belles, fournies, roses mais m�les et s�ches... Et le tout recouvert de la belle peau dor�e si velout�e qu'elle attire les doigts, et le beau visage entour� de la crini�re brune, volumineuse, toute �m�ch�e de m�ches dont lallure soyeuse attire aussi les doigts...

J'ai vraiment envie de lui sauter dessus. De lui souffler dans le cou. De mettre mes mains endessous de son chandail. De passer le bout de l'index sur la ligne de sa m�choire. De tenir sa taille chaude et dure. De presser contre moi son torse, son ventre, son sexe... De soupirer et de g�mir doucement � son oreille, mes l�vres effleurant suggestivement sa nuque.

De d�chirer ses v�tements, le recouvrir de sauce au chocolat et de tout nettoyer avec ma langue!

Mais c'est un peu violent.

Je ne sais pas.

Je ne crois pas que je lui soit totalement indiff�rente. Il me parle. Il montre ses �motions devant moi. Il dit son opinion. C'est un bon signe. Il me regarde avec des yeux enflamm�s... ou du moins le sont-ils dans ma t�te.

Bon, revenons � une fa�on logique de proc�d�der quant � la r�daction de ce journal. Ce qui fut fait aujourd'hui:

All�e chez le doc. D�cid�e d'une marche � suivre. Un demi comprimm� par jour. Devrait r�guler mon humeur et att�nuer les extr�mes. All�e � l'�cole. T me fait un signe. �tant f�ch�e contre lui, et me sentant bien insolente � son �gard, je lui jette un regard froid, dur, m�chant. Ce dernier ne fit pas d'autres efforts de socialisation avec moi du jour, et me fuya m�me carr�ment. Bon. Je ne courrai pas apr�s. J'en ai eu assez, comme on le sait. Ensuite! Ensuite?... Il y a eu des cours. J'ai crois� M et comme toujours c'�tait un d�lice pour les yeux. Ah oui, une chose � son sujet: j'ai bien peur que l'immense attirance que j'ai pour lui ne mute bient�t en une forme d'obsession plus sentimentale, et finalement en amour. Tout mais pas �a. Parce que "monsieur" ne peut pas s'emp�cher d'�tre autre chose que seulement beau. Noooon! Il faut qu'il soit charmant, et intelligent aussi! Grr... Pronfond�ment en dedans de moi, je saute, tr�pigne de joie � la connaissance de cela mais rationnellement, je sais que �a ne va que me raporter des ennuis et une possible peine de coeur. Que je suis optimiste, je sais.

Toujours est il que malgr� la journ�e merdique � l'horaire, mon humeur ne d�rogeait pas de son �tat olympien. Et le midi vient. R�cup�ration en art plastique pour le projet de murale. On d�cide de certaines choses, qui me conviennent. C'est bien. Je retourne au caf� �tudiant rejoindre J et J-M. Nous parlons. Nous sortons. Nous allons voir notre groupuscule de hippies. T se d�file. Nous parlons religion, discussion lanc�e par mon cam�, qui est une petite croix, et que je porte � l'envers. Je suis ath�e. Il est croyant. Re-grrr. Mais il admet que l'homme g�che la divinit�. Enfin, si divinit� il y a, et une telle chose n'est point. Peu importe. S arrive avec son b�b�. Attroupement de moi, J, L-A et lui. Tout pr�s de moi. Si pr�s de moi. J'aurais pu l'embrasser. Je sentais presque cette sensation un peu �lectrique qui se fait lorsque quelqu'un est � une proximit� �troite de vous. Et nous parlons. Plus personellement. Et ce fut bien. Et toujours, le mouvement si attirant de ces l�vres damnables... Et puis troisi�me p�riode. Il est en �conomie. Je suis en math. J'�tais accot�e contre la porte, en attendant qu'il passe. Il passe. Il me fait un sourire et me regarde. Je le regarde sans broncher, mais je suis s�re que ce si sensible et facile coin de mes l�vres s'est retrouss� sans que je ne m'en rende compte.

Et apr�s le cour! Il est proche, je fais un de ces demi-gloussement, demi-g�missement aigu qui me caract�rise et qui signifie "oh le beau gar�on, je suis �mue!". Et il a entendu et a r�pliqu� d'un son tout aussi aigu. J'ai fait des grand yeux ronds d'enfant prise entrain de dire une menterie. Et il me regardait avec son sourire. Je fondait. J'ai pr�tendu que mon cri �tait une incantation de ... , et moi de prolonger ce "de" sans le pr�ciser. Et il r�pliqu�t sur la question de savoir si j'�tais capable d'envoyer des vagues de feu. Et il m'en envoy�t une. Oh, M-A, si tu savais, tes yeux m�mes sont des gerbes de feu qui m'enfl�me la libido! Erm. Enfin.

Et ce fut la journ�e. Et J rit beaucoup de mes gestes tragiques et compl�temement bidon. Je lui ai expos� le plan de la guerre des tackeuses. Elle se bidonnait.

Sinon c'est � peu pr�s tout.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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