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Les g�lules sont les liens. Genre.

Seule
05/10/2002 @ 12:18

Nous sommes samedi. Et je suis encore d�primm�e � propos de ma situation sociale. Je crois que le pire, l�-dedans, c'est que ce n'est probablement qu'une cha�ne de causes � effets. C'est-�-dire, mes noires pens�es parano�aques et anti-sociales me donnent une quelconque attitude qui repousse les gens qui � son tour, induit d'autre noires pens�es parano�aques et de d�tresse et ainsi de suite... Vive la vie. N'emp�che que j'ai recommenc� � pleurer tout le temps et que �a, eh bien, ce n'est pas tr�s bon.

Mais je r�lf�chissais � cela hier, dans mon lit, alors que je ressassais mes malheurs afin de me complaire dedans... Et je suis vraiment entrain d'effectuer le g�chement complet de ma jeunesse. Comme dirait d'autre dans un jargon diff�rent du miens, "je n'ai pas de vie". Non, en effet. Personne ne m'appelle jamais au t�l�phonne et il y a d�j� fort longtemps que je ne suis pas sortie avec quelqu'un m'ayant invit�e � le faire. Je ne vais jamais voir de concert. Mes fin de semaine se passent � lire, faire des devoirs et des t�ches m�nag�res. Oui, c'est profond�mment path�tique.

Mais je n'ose plus appeler mes "amis" car j'ai l'impression que je les exasp�re au plus haut point. J'ai peur du rejet de T et d'�nerver J. Et � part ces dex-l�, je n'ai pas vraiment d'amis. Oh, il y a bien B, mais nous ne sommes pas excessivement proches... Le reste de mes relations se composent de camarades de classes et de connaissances qui se foutent de ma gueule. quoi que la derni�re proposition s'applique aussi � mes amis. Que voulez-vous.

Aussi, ces lugubres lamentations aidant, je me posais des questions sur mes habilet�s sociales, ou plut�t l'absence de celles-ci. De tout temps, j'ai eu de la mis�re avec les gens, � communiquer avec eux et � former des liens avec quelques rares �lus. Je me demande pourquoi? Qu'est-ce que j'ai qui leur d�pla�t tant? Qu'est-ce que je n'ai pas qui me rend si inapte � interragir avec eux... Ce sont des interrogations difficiles, car, pour les satisfaire, il faut remonter aux racines les plus endurcies de mon �tre et aux souvenirs traumatis�s les plus enfouis de mon enfance. Et il y a probablement une bonne part des r�ponses que je ne peux obtenir seulement qu'en m'oscultant moi-m�me, car le probl�me vient aussi de ces choses que je ne per�ois pas mais qu'autrui peut percevoir. Ces chsoes qui me manquent, ou que je ne comprend pas.

J'aimerais bien que quelqu'un m'aide. J'aimerais bien que quelques uns de ces sc�narios r�confortant que je me raconte � moi-m�me, et dont les standarts sont descendus bien bas, m'arrive r�ellement. Ces sc�narios, ce ne sont que T qui m'appellerait par exemple, ou quelqu'un qui m'inviterait � faire quelque chose.

Mais je pr�summe que si ces choses-l� ne m'arrivent pas c'est de ma faute, parce que je ne sais pas comment �tablir des liens solides ou comment me faire d�sirer, et aimer.

On ne peut pas dire que c'est parce que je ne fais rien, tout de m�me. �a fait des ann�es que je fais tous les premiers pas, que j'appelle et organise moi-m�me toutes les sorties auxquelles je prend part... Mais d'une fa�on ou d'une autre, cela n'a pas port� fruit et je me r�veille, � 16 ans, avec une jeunesse perdue et une vie sociale inexistante.

Pour cette raison, depuis quelques jours, je reviens � la maison la mine tr�s sombre et le moral tr�s bas. Parce que malgr� tout, � l'�cole, je fait montre de joie et de gaiet� prodigieuses.

Ce qui m'am�ne � en d�duire que ces satan�s m�dicaments amortisseurs que je prend, Zyprexa, sont peut-�tre � la source de mon pr�sent �tat d'esprit, sont peut-�tre originaires de toutes ces chim�res qui me brouillent l'humeur. �a se pourrait, apr�s tout. Je ne sais pas.

Toujours est-il que je me sens incurablement seule. Seule, ignor�e et m�pris�e. On ne m'aime pas et je n'ai m�me pas la force de faire pareillement.

Et en plus j'ai d�j� fait tous mes devoirs alors je ne peux pas me jeter l�-dedans en pr�textant �tre trop occup�s par eux pour faire autre chose.

Quelle vie...

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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