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Les g�lules sont les liens. Genre.

Anecdotes impr�cises
29/12/2004 @ 15:40

Pendant que vous essayez vainement de me rejoindre, je r�gne tout doucement dans ma tour d'ivoire sur une �le lointaine. Toi qui laisse d'innombrables messages sur mon r�pondeur, ne sais-tu pas que tu es en hiatus d'une p�riode ind�termin�e? Ne sais-tu pas que tu as commis une offense de trop, et que tu dois payer pour ton incons�quence, pour ta non-s�letivit�, pour mes petites ventricules cardiaques toutes ab�m�es (qui sont comme on le sait le si�ge des �motions)?

Je flotte dans des limbes o� les morts et les torts ne m'atteignent pas. Des gens d�j� pauvres se font engloutir et noyer encore, les jeunes politiciennes reprennent la langue de bois mesquine et pernicieuse de leurs pr�d�cesseurs, le machisme barbare est encore pr�sent dans notre propre gouvernement de propre province pro-socialisme, une chroniqueuse politique d�non�ant toutes les petites laideurs qu'elle a � subir en tant que femme: en effet, (j'ai oubli� son nom, H�l�ne Pr�vost peut-�tre) on ne con�oit point qu'une journaliste femelle puisse avoir une id�e de g�nie en se levant le matin; ses bonnes histoires viendront du fait qu'elle aura couch� avec un contact privil�gi�. On termine les souper d'affaire par une invitation � prendre le dessert dans la chambre. Les party de No�l du PQ de 1988 ne comptait pas beaucoup de femmes qui n'�taient pas en petites culottes assises sur des genoux autre que les siens propres. Et puis en plus Marie-France Bazo me trahit et interview C�line Dion, qui d�blat�re des conneries telles que "souvent on prend le quotidien pour acquis, il faut respecter chaque petit rien de la vie qu'on ne prend pas pour acquis mais oui." Franchement, Madame Bazo.
Et pourtant, je saurais comment me r�veiller et devenir une part active de ce qui m'entoure. C'est pas difficile, lire le journal. C'est pas difficile �crire des lettres. Participer � des tribunes t�l�phoniques. Assister � des conventions. Suffit de le faire, et �a s'encha�ne. C'est un choix � faire.
D'ailleurs, T avec qui j'ai pass� beaucoup de temps, entre autre � regarder ses beaux bras puissants d'homme fait, me trouve existencialiste.
Je ne crois pas l'�tre, mais il est vrai que la notion d'une libert� et donc d'une responsabilit� enti�re est tr�s motivante. Pousse. Vers la vie.
L'�picurisme, apr�s tout, n'est pas un h�donisme; j'ai besoin de discipline.
C'est difficile d'�tre en pr�sence de T. Le frisson de l'impr�vu est mort, mais toute ma vieille et durable admiration quand je suis avec lui resurgit toujours. J'ai envie de lui faire l'amour et en m�me temps vraiment pas. C'est sorti tout seul avant-hier dans la conversation, "tu sais j'ai �t� amoureuse de toi vraiment longtemps, tu me ha�ssais et �a me faisait de la peine." Il ne se souvennait pas, o� il faisait semblant, mais au moins je ne vis plus un mensonge en face de lui, m�me ancien.

Hier soir sur la glace, alors que je cannotais avec de plus en plus d'aisance sur la surface molle, raboteuse, mal aros�e, je le contemplais voltiger dans ses patins comme si pour lui, cette contrainte n'�tait qu'une deuxi�me paire de pieds, qui le rendait plus rapide, plus agile, peut-�tre encore plus beau. Il allait, vif, dans des courbes parfaites, se retournant et acc�l�rant, agile. Je pensais que T, qui est pratiquement parfait, intelligent, dou�, avec une conscience, un fort �lan vers l'avenir, une facilit� � rejoindre les gens, est capable de m'admirer aussi et j'�tais toute humble et reconnaissante.
Avec J, c'est un de mes seuls amis qui donnent aussi, qui ne veulent pas que s'assurer de leurs existences en me suppliant de la leur valider.

Il y a toujours un esp�ce d'inconfort � �tre � Pincourt. Ici mon champs d'action est restreint. Je ne peux d�cider de mes all�es et venues seules. Les d�cisions sont partag�es. Les possibilit�s diminu�es. Et il y a la M�re, l'Autorit�. J'aime sa personne, j'ai de la difficult� avec ses ordres.

J'ai de la difficult�s avec les gens. Vous n'�tes pas un r�confort, vous �tes un adversaire toujours pr�t � la joute. Et je vous aime quand m�me, c'est incroyable.

Quand j'�coute Fugazi, King Missile et Primus, je pense � R. Quand j'�coute Blur, je pense � J. Quand j'�coute Led Zeppelin ou Pink Floyd, je pense � T. Quand j'�coute Jean Leloup, je pense � Ro. Quand j'�coute Nine Inch Nails je pense � K et � Ju. Quand j'�coute les Rolling Stones, je pense � mon p�re, un peu � E.
Y'en a d'autres. Bien s�r.
-L


N'importe quoi.

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