Il est arriv� bien des choses aujourd,hui. Je pourrais longuement en discourir, mais je ne me sens pas le coeur de le faire. Voici une corute �num�ration: alors que je marchais pour me rendre dans l'�cole, j'ai vu M, il m'a vu, on se regardait, j'ai continu� � march�, j'ai fonc� dans quelqu'un, je me suis enfuie vers al porte, avec toujours le regard d'une certainne personne braqu�e sur moi: oui j'ai eu l'air conne; ai donn� une lettre � T, chose que je n'aurais peut-�tre pas d�e faire: Il ne m'a pas adress� la parole de la journ�e par la suite: dans ladite lettre, je lui demandais ce qui n'allait pas mais je versais dans l'auto-sentimentalisme, comme � l'habitude: je devrais peut-�tre l'appeller pour voir si tout va bien; J'ai parl� avec la Punk J, qui n'est pas une saloppe apr�s tout sauf dans ma jalouse t�te; Le jeu des regards faufil�s s'est encore produit; un �trange �v�nnement comprennant un gamin de secondaire un, l'outrage que je lui avais fait en prennant sa tr�s personelle place dans l'autobus scholaire alros que les bans ne sont pas assign�s et toute la haine qu'il y avait dans sa peur en m'adressant la parole pour une telle peccadille m'a laiss�e fort perplexe; en revenant d'aller chercher mes nouvelles lunettes chez l'optom�triste avec ma mouman, nous avons crois� nul autre que l'unique M, et j'�tais si d�sempar�e et abasourdie par la chose que je n'ai m�me aps pens� � le saluer, � la palce une s�rie de couinement vaguement neurotique furent �mis par votre tr�s aimable moi.
Et sinon je dois aller manger
aurevoir
-L