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Les g�lules sont les liens. Genre.

Un peu de Th�
24/09/2002 @ 18:05

Bonjour...

Comment va la vie, me demandez vous? Et bien, pour une question simple, la r�ponse en est fort complexe. C'est-�-dire que je me sens rayonnante d'une bonne heuremeure explosive et illumin�e, alors que dans des circonstances similaires, normalement, je devrais �tre plus ou moins morose. Peut-�tre est-ce le temps radieux. Peut-�tre est-ce le comble du manque visuel dont j'ai souffert hier. Peut-�tre est-ce le sentiment d'�tre belle et attirante, dans ce chandail noir moulant au col en V. Toujours est-il que la vie me semble merveilleuse, splendide, que ma perception du future em semble souriante, pleines d'opportunit�s et d'espoirs assur�ment r�alis�s en temps et lieu.

Pour vous donner un mince r�sum� de la Situation Sociale de L (SSL), j'ai eu toute sorte d'interraction sociale aujourd'hui, et je fais du progr�s par rapport au cas T. Je me suis tenue toute proche de lui et il ne s'est pas offusqu� de la chose. On s'est parl�. Je lui ai montr� mes dessins. Il trouve celui que j'ai achev� hier, qui s'appelle "Les Relations Humaines" et qui repr�sente une silhouette d'homme transperc�e d'objets qu'on ne croiraient pas contondants � prime abord dans la vie courante et qui se fait faire une phellation en m�me temps, et donc je suis assez fi�re, est plut�t "cute". Cher T. Surtout pas montrer un peu d'admiration.

Je trouve que l'attention de M est difficilement obtensible. On lui parle et il ne r�pond pratiquement pas, ou il r�pond de fa�on peu... enrichissante. Tout de m�me pas insignifiante... Mais disons que ma g�ne me paralyse un peu face � lui. Vous essairez, vous, d'�tre � l'aise quand l'incarnation de la Beaut�e M�le se tiens devant vous et vous fait mouiller votre culotte. C'est pas trop facile. Je commence d'ailleurs � avoir une bonne image mentale de son joli visage. J'ai d'ailleurs r�alis� un petit croquis mignon sur le sujet. Tr�s explicite. Me portrayant �galement. Ch�re L. Toujours aussi k�ttaine (mot qui vient en fait de Kitten, l'expression venant donc des petites images de chats dans les magazines pl�b�iens.) (kitsh, for those who uses a translator).

Sinon je n'ai pas grand chose � dire... Le conformisme �colier m'envahie lentement, et c'est � peine si un soubresaut me secoue lorsque j'entend une des �normit�s tenant du raccourci mentale qui sont prof�r�es tous les jours par la grande quantit�e d'ignorants autour de moi. Je ne d�clare pas avoir la science infuse moi-m�me, ou d�tenir la lumi�re de la v�rit�, mais j'affirme sans en rougir que je pousse habituellement mes r�flexions un peu plus � fond que la moyenne des ours. Comme on dit.

Je n'ai pas de devoirs, et le d�seouvrement en r�sultant m'ennuie un peu, je l'avoue. Je dessinne beaucoup, pour compenser. J'�crirais bien aussi, mais je n'ai pas la dose de cr�ativit� n�cessaire � une telle entreprise.

Mais revennons � M. Tout le monde semble me dire que je suis sur la bonne voie et que je m'en viens tr�s bien. C'est vrai que de me d�clarer son aresse de son propre chef et de m'attitrer tous ces enj�lants sourire constituent un bon point de d�part. Mais j'ai des doutes. Tout le monde se fie au peu qu'il sache de la chose. Moi, en tant qu'actrice principale, subconsciemment avertie de toutes les petites nuances des �v�nements, je me pose des questions et je suis plong�e dans le doute jusqu'au cou. Lui plaisai-je? Est-ce qu'il me trouve un rien int�ressante? Comment jamais le savoir?

C'est justement la question que je posais � une coll�gue de classe, A, quand celle-ci me demanda si l'objet de mes d�sirs ne serait pas M. Suffoqu�e, car cette coll�ge me fr�quente moins qu'occasionnellement et ne se trouve g�n�ralement pas dans mes parages, je lui demandai comment ce faisait-il qu'elle soit au courant. Elle me dit quelque chose ressemblant �: "Ben l�, �a se voit dans la mani�re dont du te comportes avec lui! Ts� quand tu le regardes, tes yeux p�tillent..."

... Et moi qui me croyait discr�te, cool, supr�mement d�sinvolte et d�tach�e. Pour la subtilit�, on repassera...

J'ai touch� la main de T aujourd'hui. Je l'ai regard� avec tout l'amour du monde dans mes yeux. La r�ponse de son regard ne semblait pas si hostile que �a, simplement calme, un peu curieuse, un rien attrist�e. Et hier, alors qu'il s'est �tendu dans le gazon, ses paupi�res ferm�e sur l'escalier du ciel qu'est son regard, je me suis �tandue sur le ventre perpendiculairement � lui et je minaudait dans ses cheveux. Prenant une de ses boucles dor�es, les regardant sous diff�rentes lumi�res, les entortillants autour de mes doigts, les lissant avec tendresse... Et l'ennivrante, c�l�bre fragrance de celles-ci me procuraient des d�lices indescriptibles. Pour moi, cette odeur �gale � l'amour, tout bonnement. C'est l'odeur d'une attirance pleine de consid�rations, d'une passion velout�e et c�line, d'un amour pr�t � attendre et � laisser libre. Cette odeur, c'est aussi T, dans toute sa dignit�e assur�e, calme, et magn�tisante. T dans la d�licatesse qu'il montre � qui sait voir, dans le fragile �cheveau de dentelles fines qu'est sa solitude, son talent, sa pens�e, sa personne tous r�unis. Comment d�crire l'intense �moi de respirer ce parfum, qui a beau �tre objectivement le relent artificiel de produits capillaires et sans d�taillement, mais qui symbolise tant de choses �minemment touchantes int�gr�es dans une synth�se parfaite?

T, comment te parler de cet amour, mon amour, qui pourrait �tre pr�c�d� d'un "notre" si seulement je savais comment... Comprends-tu que j'en suis rendue � un point o� je voudrais que tu sois le p�re de mes enfants, alors que j'ai tant de mis�re avec ces derniers? C'est une contradiction, certe, mais ce qui importe c'est que tu r�veilles en moi le profond, fondamental instinct de procr�ation... Comprends-tu que mes sentiments pour toi sont d'une force douloureuse, et que j'en viens � tisser un enchev�trement si complexes de fantasmes que j'en viens � les prendre pour la r�alit�? Si tu savais toute la chaleur qui m'emplie lorsque je te vois, si tu savais le d�sir que j'ai de me coller contre ton corps, de t'embrasser dans mes bras, de sentir tes l�vres sur mon cou... Comme je br�le de te le dire, je t'aime! Et c'est l� mon malheur car toi, je sens que tu ne m'aimes pas, m�me si ce fut d�j� le cas � une �poque o� j'�tais trop imb�cile pour profiter de l'occasion. Oh! je le regrette bien maintenant. Mon amour, j'ai une impression de liaison avec toi dans un futur imminent, ce fol espoir est-il vou� � �tre d�truit, �cras�, d��u? Oh, T...

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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