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Les g�lules sont les liens. Genre.

Disgressions litt�raires et de retour au c�libat
08/02/2004 @ 19:12

Je viens de lire tout d'une traite ou presque, ayant commenc� hier, "la B�te Humaine" D'�mile Zola. Un livre absolument prennant, authentique, vic�ral, comme le sont tous les r�cits de cet auteur, contrastant avec toute la mi�vrerie des auteurs romantiques, �poque litt�raire encore toute proche de lui. Pas d'histoire de salon et de dame languissante, aux sentiments �th�r�s, raffin�s, tous semblables dans leurs infini d�veloppement de vaines chicaneries de puret�, d'ang�lisme, d'hypocrisie. Non, Zola montre un visage de l'humanit� d�nou� de sensiblerie, celui qui s'adonne � ses instincts et � sa nature sans ses ces fausses r�pugnances des Flaubert, Balzac et autres ennuyeux. Que de passions, que d'authenticit�!

D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi on d�crit Zola comme froid et clinique. Ce qu'il d�montre est toujours profond�ment humain, sans intervention et sans r�duction de sa part: peut-�tre cela choquait-il son �poque et que, devant tout cet exc�s de v�rit� non �dulcor�e, on l'a d�crit comme insensible, d'�tre capable de raconter de telles "atrocit�s", pourtant tellement vraies, encore � notre �poque. Les pr�jug�s de son temps ont peu de prises sur son �criture (m�me si ils en ont quand m�me un tantinet), aussi ses r�cits peuvent-ils rester d'actualit�. Comme Victor Hugo, mais Victor Hugo, pouvant partir sur de lobgues disgressions d'opinions, s'emportant dans sa flamme de profond humanisme, pouvait chercher � excuser des tarres non existantes auxquelles, m�me s'il ne croyaient peut-�tre pas, il devait t�cher de d�montrer comme fausses. Mais Victor Hugo cherchait un id�al, et bien-s�r cet id�al �tait teint� des connotations de son �poque: Zola, lui, d�crivait maniaquement, scientifiquement, avec la passion de la v�rit�, du r�el, de ce que l'on ne montre pas.

J'avais d�j� lu "Germinal" de Zola, mais l'instinct de conformisme qu'il d�peignait, d'aveugle abandon des masses, d'h�b�tude, du statu quo social, m'avait un peu d�sesp�r�, et m�me l�g�rement r�volt�e contre l'oeuvre. La passe de la fin, o� les mineurs furieux, en gr�ve d�truisent tout sur leur passage, sans r�flection pr�alable, m'avait insurg�e. � la toute fin, cependant, quand la m�re (dont j'ai oubli� le nom) dont de tout son m�nage il ne lui reste qu'un fils sournois et malingre, dit, r�sign�e mais esp�rante, quelque chose qui ressemble � "Nous gagnerons un jour", cela m'a quelque peu rassur�e. J'�tais un peu plus jeune � l'�poque aussi, mon individualisme �tait plus cat�gorique, plus enrag�. Maintenant, bien que toujours aussi individualiste, je fais plus la part des choses. Je reconnais bien des choses � la collectivit�, aux mouvements de masse, � la soci�t�, au travail de groupes. Enfin, ce serait un point de vue que j'aurais � d�velopper plus avant.

Ah! que de tort et que de bien a fait ce journal � ma fa�on d'�crire... Bien s�r, cela m'a permis � apprendre � tapper dans un flot ininterrompu, articulant la moindre id�e, le moindre remou synaptique en quelques mots les plus pr�cis possible. Mais en m�me temps, cela a d�sarticul� la structure de mes textes et m'a rendue tr�s paresseuse quant � l'organisation de mes propos, � leurs raffinements, et ma persistance � les �noncer si je sens une difficult� quelconque poindre dans mon cerveau. J'�crirais infiniment mieux si j'en prennais le temps. Si je me relisais. Si je m,e corrigeais. Si je me re-prennais au s�rieux....

Si je retrouvais la motivation de communiquer mes id�es, de convaincre autrui, de leur montrer une autre voie que celles, trop souvent automatiques, entendue avant et r�p�t�e sans grands changements. Mais c'est si dur, de lutter contre des clich�s. Si dur d'essayer de lutter contre des esprits butt�s aux d�fenses insurmontables, aux barri�res indesctructibles de la limite mentale, � la forteresse du rechignement � penser, les "j'ai le droit de penser comme �a" "tout le monde est diff�rent" "chacun son opinion"... Tous des arguments ibncontestables, qui ne masquent que le d�sir de clore ce qui s'annonce �tre un effort d'intelligence. En effet mesdames et messieurs, vous ne m'apprennez rien quand vous me disez que l'on pense tous diff�rement, que les eprceptions sont infiniment vari�es et que vous avez le droit, le DROIT supr�me, et de plus, j,en ai rien � foutre. Car ceci est unviersellement accept�, on ne peut en discuter, et cela ne fait rien avancer. Ce qui m'int�resse, c'est de conna�tre votre point de vue, les pourquoi de votre point de vue, vous montrer le mien et au besoin, que peut-�tre le v�tre, ou le mien si �a se trouve, n'est en fait b�ti que sur des approxim�s, du r�chauff� de hprase automatiques sans fondements. Mais que d'obstacle pour en arriver jusque l�! Comme on me dira "Je trouve que tu es ferm�e" " Que tu poses pas mal de jugement" " Viens pas m'apprendre �a " "�a fait 23 ans que je pense tout seul comme un grand"... Bref non seulement la personne moyenne ne veut pas discuter, mais de plus elle prend le tout extr�mement affectivement, elle pense que c'est apr�s elle que l'on en a, alors que cela n'a rien � voir. Cessez de craindre pour votre nombril et d�battez, bon dieu.

Ouf... On d�compresse.

Je suis en soutient gorge dans ma chambre trop chaude, s�che et poussi�reuse, essayant de prendre le frais avant de me mettre � mes travaux en retard. J'�coute de la musique. Je ne suis pas malheureuse, m�me pas vaguement m�lancolique, en passant � S, mon doux et triste S, qui ne rappelle pas, que je n'ose rappeller, par fiert� en premier lieu et par d�sir de ne pas l'importuner de deux. Je ne suis pas triste, je sais que je trouve jolis ceux que je trouvent beaux aussi, je sais que je suis forte, que je peux mettre derri�re moi ce tendre, puissant amour jusqu'� ce que je puisse le r�axaminer avec nostalgie quand le temps viendra, je sais qu'il y a d'autre poissons dans la mer, je sais que je suis rendue assez mature pour me faire de S un ami plus intime qu'avant... Je peux m�me encore vaguement esp�rer quelque chose de bon de ce pr�tendu d�lai de r�flexion, comme un r�ve lointain et qu'on sait hors de port�e, comme on se languit de devenir l'amante de sa rock star pr�f�r�e, la contemplant de yeux �toil�s, toute affich�e qu'elle est sur son mur... J'ai tant, tant pleur� en un si court d�lai, tout mon d�sespoir est consom�. C'est dur de s'illusionner longtemps quand on se fait refaire la m�me blague plusieurs fois de suite, � la fin on se lasse, on n'y croit plus � l'amour, au peine d'amour, c'est la m�me chose que les autres la vie va continuer comme pour apr�s les autres. Et alors?.. Je l'ai presque eu, ma belle histoire d'amour. Elle �tait parfaite, cette relation, sans une tache. C'est d�j� �a. Un homme peut m'aimer, il peut m'aimer sans y �tre contraint par sa propre m�diocrit� ou son d�sespoir, il peut m'aimer pour moi, il peut me trouver belle, il peut me d�sirer, et appeler mon nom d'une voix qui me remue les organes. Pas besoin de d�sesp�rer. Et comme ma m�re m'a dit, un jour je serai capable de faire de ma propre personne ma principale source de bonheur. C'�tait beau d'entendre �a dans sa bouche. Le conseil que mon p�re m'a donn� lui, est bien diff�rent mais tout aussi valable, et si moins profond, plus dr�le: "Si y'est trop innocent, L, crisse le l�!"...

Je me suis affich� mes ultimatums sur mon babillard. Une petite �criture fine de crayon m�canique sur un beau feuillet �pais de papier textur� et blanc qui dit, en gros: "si tu ne me donne pas un mot d'explication au plus tard vendredi le 13 f�vrier et si tu ne m'annonces pas ta d�cision au plus tard vendredi le 21 f�vrier, je te crisse l�. Wahla."

Je danse toute seule dans ma chambre depuis dix minutes. Et vous savez quoi? �a fait du bien.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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