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Les g�lules sont les liens. Genre.

Lettre � T
09/12/2002 @ 18:07

Je crois que lorsqu'on travesti son propre langage dans ses �crits afin de "rejoindre le plus de monde possible", il y a un probl�me avec vos motivations. Enfin, on �crit pour s'exprimmer, pour mettre de l'ordre dans sa pens�e, ou pour tout autre motif ayant une certainne profondeur. C'est une perte d'�nergie d'�crire seulement pour se faire lire. �a manque, comment dire, de nobles raisons. Mais bon. Je ne suis qu'une puriste de la langue, apr�s tout.

Pour ne pas d�roger� l'habitude, je vais vous parler de M-A. Il m'a assur� aujourd'hui, apr�s avoir lu une lette que je lui avais gribouill�e, que oui, il me d�sirait et m'aimait. La parano�a ainsi bouch�e, j'ai �t� de bonne humeur toute la journ�e. J'ai son odeur � la m�moire, au moment o� on se parle. �a me donne faim. Faim de sexe. Sinon, que pourrais-je dire � son propos... Je me sens attendrie pour lui. Je ne sais pas pour l'amour... Je vois encore clair et je ne l'id�alise pas, et je ne me sens pas de passion pour lui. C'est triste � dire, mais vrai. Il m'int�resse et il m'attire, mais je ne me sens pas transport�e par aucune magie avec lui... J'aime qu'il m'aime, et je suis contente que ce soit � lui que je donne mon affection. De plus, j'ai envie de percer son myst�re. Mais ce n'est pas les gros d�chirements �motionnels comme avec T.

Ah, T!.. Tu t'es fait paria de ma vie. Tu as tr�s bien r�ussi � couper nos liens. Maintenant quand je te vois, ce qui surface dans mon �tat d'�me n'est qu'une grosse part d'indiff�rence, une pointe de m�pris et un soup�on de victoire vengeresse, quand tu es devant le fait accompli... M�me si �a ne te fait rien, T, que moi et M-A soyons un couple, cela me donne l'impression de t'avoir vaincu, au m�me tire que lorsque j'ai d�couvert que ton m�pris de moi n'avait aucune assise. Et j'avais besoin de te vaincre, T. Je ne pouvais pas te laisser guillotiner notre amiti� en me laissant le bl�me. J'avais trop investi en toi, il n'aurais tout de m�me pas fallu qu'en plus je te laisse tout d�vaster. Non, mais... Tu m'as fait pleurer pour la derni�re fois samedi le 23 novembre.

Et, m�me si au moindre signe positif je retournerais � tes pieds, m�me si je sais combien ma tendresse � ton endroit est vuln�rable, m�me si je suis consciente que la v�ritable victoire t'appartiens, pour le moment je suis stable, satisfaite et je n'ai aucun besoin de toi. Je peux m�me te grogner sourdement apr�s quand tu me bloque le passage en toute bonne conscience.

Dans le fond, je suis un peu comme Marie face � Benjamin dans "Le Diable en T�te" d'Henri L�vy. Le m�me envo�tement, le m�me d�part, la m�me promptitude � accourir au galop au moindre signe me rappelant � toi; la m�me indiff�rence �gocentrique mais aimante apr�s tout chez toi...

Cependant il y a une nouvelle donn�e en jeu, mon cher T: M-A. Tu vois, je suis � la d�couverte d'un nouveau continent. Je suis � la d�couverte d'un �tre nouveau... Un �tre qui recelle autant de promesses que tu en recelais... Un �tre aussi profond que tu l'as �t�, sinon plus, car cette �poque, mon cher, est momentann�ment close chez toi... Un �tre qui poss�de une fantaisie, une empressement et un enthousiasme que tu n'as jamais eu... Un �tre peut-�tre plus talentueux que toi... Et, finalement, ce qui �tabli sans aucun doute sa sup�riorit� sur ta carcasse prostitu�e, sur ton �tre vendu � tous sauf � moi, cet �tre me reconnais et m'appr�cie justement, pour ce que je suis. Toi, mon cher, tu m'as accabl� d'un d�dain outrageux, nullement m�rit�, offensant pour toute l'affabilit� que j'avais � ton �gard.

Et il y a aussi que je pressens, que je doute d'une jalousie de ta part, sans trop oser en �tre convaincue � cause de la pr�tention de la chose... Que je sens que cette haine na�t d'un amour, dont la mutation reste un myst�re... Et cela d�pose sur mes l�vres, comme un complice baiser, le sourire d'une conqu�rante.

Ah!... Mais tu as au moins le m�rite de g�n�rer beaucoup de pixel. Petit gallopin, va. Je me suis presque enti�rement d�barass� de toi, je paris que �a te fait plaisir.

Bon... Sinon ce soir je vais aller aider M-A dans son travail, le pauvre chou. De plus, cet apr�s-midi, en quatre � six, moi, J et L-G qu'il faut appeller G, �tions r�unis avec V T, ancien professeur de g�o, pour oeuvrer sur notre projet de d�bat de la citoyennet�. De nobmreux absents brillaient par leur �tat, aussi la rencontre fut-elle abr�g�e. Moi et L-G, par la suite, en attendant le gracieux lift de son p�re, avons beaucoup �chang�. Nous parlions de nous. De notre �tat, socialement. De comment je ne rentre dans aucune cat�gorie, �tant ce qu'on appelle une "Freak", mais une freak d�cat�goris�e. C'est vrai. Enfin.

Voil�-tout pour ce soir.

-L


N'importe quoi.

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