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Les g�lules sont les liens. Genre.

La marche et autre
07/11/2002 @ 22:15

J'ai pris une marche, histoire de fuir mon froid de pied et mon mal d'ut�rus. J'ai pris une marche, aussi pour me furie un peu, fuire ma chambre, mon cocon, et avanc� dans la noriceure compr�hensive. Ma pens�e a tendance � se lib�rer avec le mouvement. C'est comme une grand assainissement de l'esprit, une d�sinfectation des locaux mentaux, de changer de lieux, ne serait-ce qu'infinement, comme je l'ai fait. Je me sens moins lourde, moins accabl�e, moins finie.

Et j'en vienx aux prises avec mon probl�me. Je ne peux pas encore le synth�tiser en quelques termes: mais je peux le circonscrire en quelques phrases.

D'abord, je suis d�faitiste. Je me laisse crouler dans l'inaction, et je baisse les bras trop vite.

Ensuite, je suis trop solitaire. �a entra�ne une anxi�t� sociale chez moi, qui rendent amers � mes yeux tous mes contact avex les gens, et empire chim�riquement ma situation.

En troisi�me lieu, j'ai un m�pris injustifi� de moi-m�me. Je me tiens le proc�s d'une vie g�ch�e � 16 ans, d'une absence de talent douteuse, de tarres irr�parables et ind�celables pour autre que moi, et je me condamne � ne jamais rien r�ussir et � �tre une vermine consomm�e.

Enfin, je suis flemmarde, car je laisse tout aller et ne me force plus pour quoi que ce soit, ne m'implique plus dans rien,ne travaille plus pour aucune cause. La forte, insistante fragrance de la passion a �t� �vent�e dans mon esprit.

Les causes? Le d�part de T, sur qui j'avais trop compt�. Les "hormones".

La solution? Je ne la connais pas encore.

�a sent la d�pression, parcontre. Une d�pression dilu�e, dissoute, nivell�e sans distinctions, par quelques chose qui ne surait pas faire les nuances, ni trouver le milieu v�ritable, et rase donc tout � la m�me hauteur: vous avez bien devein�, c'est Zyprexa.

� ce propos, j'ai vu mon docteur mardi, Mme Anctil. Et �a me faisait du bien de lui parler, j'�tais � l'aise sous son regard un peu tragique, un peu sublime, dans son bureau pleine de dessin d'enfant, avec les douces approbations nonn intrusives qu'elle avait l'air de placer dans mon monologue introspectif. Plus qu'avec mon psychologue, je me sentais comprise, non r�duite � un d�nominateur commun, point banalis�e par une ignorance des faits. Et elle m'a expliquer que je ne pouvais pas prendre d'anti-d�presseurs et que les anti-anxi�t�s �taient ce qu'il y avait de plus s�r pour moi. Les raisons? Je les ai oubli�. Ah! Ce don des m�decins de vous convaincre de quelques chose avec des arguments que jamais vous ne pourrez vous rem�morez, mais qui �taient si lucides � l'instant!...

Parlons de choses moins lourdes. J me fustige � propos de M-A. Selon elle, le tout est rendu � un degr� tr�s pr�t, et c'est lamentable que je n'ose faire un pas en avant. Et c'est vrai. Une cocasse aventure m'est arriv�e aujourd'hui � ce propos, l'anecdote illustrant bien le ridicule de ma stagnation, et je ne sais si je devrais la consigner ici. Oh.. �a pourrait �te �clairant. Moi et ce f�lin personnage discutions donc de choses et d'autre, et la conversation �voluait tant et si bien que j'en arrivai � lui demander de m'expliquer la profondeur du Sens. Et notre inimitable homme-chat de me dire, ing�nument, ou peut-e^tre � dessin, qui sait, que c'�tait-l� "des choses qui s'expliquaient mieux la nuit". Choc. Secousse. Le feu qui part dans les rideau de mon salon c�r�bral et ses locataires foudroy�es. Quelle allusion! Quelle innocente d�claration, si ce n'est pas le cas, �mouvant lapsus tentant de d�crire l'�tat de volubilit� que l'on atteint aux heures tardives... Le trouble se traduisant sur mon visage, mes yeux s'arrondissant, la couleur me montant peut-�tre aux joues, un petit sourire exalt� flottant sur mes l�vres. Lui de protester sur le sens qu'il voit que j'ai saisit. Et moi, qui, comme une conne, cherchant � �viter une confrontation b�n�fique, qui d�clare qu'il faudrait que je m'en aille. Mais quelle MONUMENTALE CONNE je suis.

En ayant discut� avec J, elle s'�touffa dans l'�normit� de la chose. Elle, de toutes �vidences, ne crois pas en ma tentative d'innoncence de l'Accus�. � ses n�gations, elle r�pond, parlant en son nom :"Oui, je me fout de ta gueule!". Elle dit que je dois tenter quelque chose. Tout de suite. Maintenant. L�. Cogner chez lui. Lui t�l�phonner. N'importe quoi. Mais c'est un ordre. � l'imp�ratif, avec un point d'exclamation, comme dit notre protagoniste du moment.

En ferai-je quelque chose? C'est fort douteux. Mais qui sait, je pourrais ressentir une bouff�e d'assurance.

Assez comme cela. �a fait quarante cinq minutes, que j'�cris pour ne rien dire d'important, en fin de compte.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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