new old contact g-b D-land

| free stats |blogonautistes |
bottleofbluz [arobas] diaryland.com

avant | apr�s |au hasard

Les g�lules sont les liens. Genre.

Party de fin de session
21/12/2003 @ 17:17

Bonjour! Bonsoir. Je suis toute calm�e et toute sereine. La fin de session s'est d�roul�e tel un aterrissage en catastrophe, les dispositifs des survies surmen�s, les ailes br�l�es, la machine surchauff�e. Mais je suis vivante. J'ai finis. Et je me sens tr�s bien. En paix. Les sentiments assaillants de parano�a et de haine n'ont plus raisons d'�tre et vous avez maintenant affaire � une L souriante et rigoleuse, r�torquant mots pour mots, r�agissants aux petites provocations chacune � la fois, jusqu'� la d�faite de cet opposant d'une minute. Opposant qui me caresse les �paules, me prend par la taille et se met au-dessus de moi pour prendre la bouteille d'eau sur la table de chevet, l'air de rien. J'�tais moi-m�me pratiquement nue, il avait d� calculer son coup en me donnant son chandail-kangourou propaghandi, je l'ai enlev� parce que j'avais chaud. Me restait que des ptites bobettes et son drap si vieux qu'il d�chire � la moindre traction. Il y a toujours ces h�sitations parano�aques de mon demi-sommeil, qui n'ose pas caresser la douce nubilit� du dieu endormi par peur du rejet, de la r�action. Et mon coeur se brise parce qu'il ne me touche pas. Mais il dort. C'est bien normal. Quand je le r�veille il est plus... commode. M�me � �a je ne fais pas grand chose. �trange, n'est-ce pas, une intimit�e qui nous fait marcher nu ou presque chez lui mais qui ne me permet pas de le toucher ou de l'embrasser. C'est �trange. Je crois que ce n'est que moi qui bloque. Et je sais qu'il est du genre � attendre que son partenaire agisse de son propre chef par pure malice, il m'a d�j� racont� comment. Mais bon personne n'est press� n'est-ce pas. Surtout pas moi. Depuis ce fameux mardi soir ou il ne s'est rien pass�, ma craintive, flambante passion s'est calm�e un peu. Je me suis tellement convaincue qu'il ne m'aimait pas que, par r�flexe de sauvegarde, et aussi gr�ce � la propagande de mon conseil de fille, mon propre amour a pris des dimensions moins absolues. Et maintenant que je suis moins en �moi je suis plus � m�me de comprendre ses propre sentiments...

Et vous savez c'est fichtrement pas clair. Mais il y a quelque chose, c'est s�r. Assez pour que je sois tout le temps rendue l�, pour qu'il me nourisse, pour que le fait qu'il rencontre mes parents soit important, pour qu'on soit peu habill�s en pr�sence l'un de l'autre, pour qu'on se dise tout, m�me les choses secr�tes qu'on ne dise pas, qu'on inspecte chaque petit d�tail, et qu'on s'achale cosntament sur des d�tails subtils et peu important. On sait qu'on peut le faire. Et quand c'est trop, il y a toujours retraite et demande de pardon. Et quand j'oublie, je me repends toujours. Assez pour la douceur dans son regard quand il me regarde et pour m'offrir d'�conomiser de l'eau en me lavant avec lui (joli pr�texte). Assez pour les petites allusions ici et l�, et la complicit�.

Mais. Mais mais mais...

Il y a S. Vous savez. Qui prend de la place, ou qui commence � en prendre. Quand on se parle, c'est toujours comme si le reste de l'unviers n'existait pas. C'est entre mo iet lui. Nous sommes fig�s dans une esp�ce d'immobilit� o� toute l'�nergie est absorb�e par le regard, si intense et si doux de S. C'est l'homme parfait: il �crit, il dessine, il �coute, il pense, il r�ve, il comprend. Il est doux, doux de toute sa personne, calme. Il n'en est pas moins extaverti, dr�le, impliqu�, plein de passion. C'est lui qui a organis� tout le party de fin de session. Je peux caresser ses cheveux et il m'offre toujours de me prendre dans ses bras quand j'ai l'air � terre. Il remarque, d'ailleurs, quand j'ai l'�me malade. J'ai de l'importance pour lui. Et je suis toujours contente de le voir. "Ah, S, tu es l�!... je voulais te voir". C'est tr�s... soyeux. Et doux. Et...

Et puis.

Et puis vendredi on s'est embrass�. Plusieurs fois. La premi�re fois, c'�tait apr�s qu'on se soit �chang� nos num�ros. C'�tait la chose � faire. Il me semblait si... r�ceptif. Avec cette lumi�re sp�ciale dans ses yeux, qu'ont les gar�ons quand ils regardent une fille et qu'ils pensent � une chose douce qui les concernent. Je l'ai fait instantann�ement. J'ai juste avanc� la t�te et pos� mes l�vres sur les siennes. Pas tr�s longtemps. Juste pour voir. Pour sentir. Je me suis retir�e, j'ai sourit de mon sourire de fille heureuse et je suis repartie. On s'est recrois� sans probl�mes. Et puis. Je revennais de pisser et il �tait encore l�. Encore une fois nos regards se sont simplement entre-hypnotis�s. Et j'ai dit,un peu sao�le, "embrasse moi encore..." Et encore, donc. De fa�on plus �labor�e et plus longue. Mais toujours aussi douce et d�licate. Et puis, j'ai exprim� de fa�on un peu vague, s�rement, que mon agissement n'�tait pas le fait de l'alcool, sinon que celui si lib�rait mes inhibitions, que je n'�tais pas une de ces filles qui ne savent pas ce qu'elles font quand elles sont ivres, et que bref je ne faisais pas �a pour rien, tu comprends, S. Et bien s�r il comprend.

Le probl�me avec S, cependant, c'est que ce doux et gentil petit gar�on n'est pas bien discriminatoire dans ses choix. Alors la lumi�re dans ses yeux quand il me regarde, je ne sais pas si c'est sp�cifiquement pour moi o� qu'elle est distribu�e assez �galement. Pourtant j'ai comme l'impression... Mais bon.

C'est un peu dommage qu'il n'aime pas ebaucop L-P. C'est de ma faute. C'est toujours lui qui me ramasse quand je reviens de chez lui toute d�molie et les larmes dans les yeux parce que je suis hypersensible.

Ah oui j'ai oubli� de mentionner. Vendredi pass�. C'�tait le party de fin de session du c�gep. De la bi�re � 1 $, de la vodka � 2 $. Groovy Aardvaaq, Bleu et autre jouait. Du trash. Des gens. �a a finit � trois heures du matin, on est rentr� � pied, moi, L-P et V G, que je ne m'attendais pas du tout � voir l�. On a rencontr� en chemin deux tr�s charmants torontois, aussi paquet�s que nous, qu'on a invit� � venir se r�chauffer. Ils �taient l� pour bien faire le party � Montr�al, ils avaient d�cid� � 4 heures du matin de s'en venir ici, et ils aiment beaucoup l'endroit. Avec notre chaleureux accueil, ils ont con�us une tr�s bonne opinion des Qu�b�cois. On s'est finalement couch� �... 6 heures du matin.

Il s'est pass� bien des choses entretemps et apr�s. Ce serait long � raconter. C'est tout dans ma t�te, je vais peut-�tre �crire une autre entr�e apr�s le bain.

� tout � l'heure!

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

Stimulation sodomique-clitoridienne
Co�t non consentant | Zoophilie caract�ris�e | Femme de petite vertue | Sex�ther | Fixation Orale et Bondage | Sexually Explicit Gallery |Exxxtreme Hardcore Sluts 4 U |Grosse Saloppe | Jeune Bite |Hit and Run | Horny Stud | Unwilling Cumguzzler |