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Les g�lules sont les liens. Genre.

Destructive comparativit�e
20/11/2003 @ 16:26

Je pensais � comment la vieillesse nous amolit, dans mon cour de fran�ais. Je pensais comme la collision avec autrui nous for�ait � faire des compromis, � faire des euph�mismes, � se rendre plus doux. Je pensais avec un peu de nostalgie au d�but de mon adolecense, si radicale, si enrag�e, et dont la force tennait � la naissance de mon identit�e, de cette individualit�e qui se d�veloppait, farouchement exacerb�e par tous les anicroches sociales de mon enfance. En vieillissant, on se d�couvre un besoin d'acceptation, un �puisement, un d�sarroi face au grand myst�re du monde qui nous font adopter des visions r�duites, faciles.

J'ai des pr�jug�s. Des pr�jug�s raciaux. C'est ma r�ponse facile au grand questionnement social, au pourquoi des agissements d'une telel soci�t�. La r�ponse est ardue, alors je verse dans les associations idiotes et faciles. Les noirs sont des pimps. Les musulmans des violeurs... Ben voyons donc. Ce genre de juxtaposition l� sont des conneries prises hors de leurs contextes sociaux.

C'est vrai que les humains ont tendance � se rassembler � partir de leurs traits ressemblants, et c'est vrai que de ces associations il peut r�sulter des comportements et des fa�ons de faire que les membres du groupes r�p�teront et qui deviendront donc caract�ristique de ce groupe social. (Hey, j'ai feuillet� un livre de sociologie. Je suis hot. (remarquer l'auto-sarcasme ici)).

Alors oui, on peut remarquer une certaine pro�minence des individus afro-am�ricain, selon certains regroupement g�ographiques, qui adoptent des attitudes tout-�-fait territorialistes et mysogynes avec les femmes. Mais merde, tous les noirs que je croisent ne sont pas des pimps, et n'y ressemblent pas non plus!

Je suis cotnente d'avoir �crit cette nuance, �a me donne un bon point de rep�re mental.

Mais. C'est tr�s r�v�lateur de la glue mentale dans laquelle je sombre.

Mon rythme de vie pr�sent est trop effren�. Je me l�ve avant le soleil et me couche au passage d'une journ�e � l'autre, je g�che trois heures de ma vie par jour dans le transport en commun, je mange des cochonneries � n'en plus finir, j '�coute mal et fait mes travaux de fa�on pr�cipit�e, mutil�e.

Je n'ai presque plus envie de dessiner des oeuvres personnelles, expressives; je suis obs�d�e par la qualit�e esth�tique de mon dessin, je me d�courage � voir que mes traits de crayons instantann�s ne sont pas aussi parfaits et beaux que telle, telle personne. Je ne vois plus les qualit�es intrins�ques de mon travail. Je met de c�t� tout ce que mon dessin � de personnel, d'unique, de non copi�, de vrai. Je me compare et ne vois que mes d�fauts compar�s.

Il faut que je fasse tr�s attention, o� il va m'arriver la m�me chose qu'il est arriv� � mon �criture de fiction. Je vais tellement d�ppr�cier mes id�es, mon style personnel, que je vais arr�ter, par d�couragement, d�faite, honte de n'�tre pas aussi bonne que, meilleure que. Alors que c'est des jugemements qui n'ont aucune valeur, qui ne prennent en compte que la comparaison, et qui oublie les fondements premiers de ma cr�ation. Le go�t de l'�criture fictive me revient lentement. Apr�s deux ans de hiatus, pendant lesquels j'ai �crit environs 500 pages de texte word dans divers journaux internet, pendant lesquel j'ai r�d� le lien pens�e-clavier, et pendant lesquels j'ai pu me remettre du choc initial, celui de la comparaison avec J, de sa froideur face � mon travail, de mon d�couragement, je sens une renaissance, le retour des id�es intimid�es. Je promet que je publierai (....dans ce journal) la premi�re des mes oeuvres fictives de la Deuxi�me P�riode de L.

...Suffit que je me secoue et ne laisse pas cette profusion de perfection technique, parachev�e par les ann�es de pr�universitaire artistique et de copiage et de parents artistes, me d�courager de ma flame d'expression, ce besoin rageur de donenr ma perception, de faire profiter de mon don d'analyse et de sensibilit� au reste du monde.

Je vais rester forte.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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