new old contact g-b D-land

| free stats |blogonautistes |
bottleofbluz [arobas] diaryland.com

avant | apr�s |au hasard

Les g�lules sont les liens. Genre.

Seule
08/06/2003 @ 12:05

Alors. Le canot-camping. � part l'�norme coup de soleil, les innombrables piq�res de mouches nories/br�lots/moustiques, et la temp�rature incertaine d'elle-m�me, ce fut... d�cevant.

D�cevant pour plusieurs raisons.

D'abord, il y a le fait que n'�tant pas sportive, apr�s le canottage je n'avais rein � faire. Vous savez, ce n'est pas tant que je d�teste le sport que le fait que je sois absolument incapable de le pratiquer. J'ai une habilet� extr�mement en dessous de la normale pour attraper une balle ou un freesbee le lancer, courir, faire des buts, faire des passes. C'est presque un handicap. S�rieusement. Alors pendant que ma joyeuse classe se d�fon�ait apr�s un Projectile Ludique Quelconque (un PLQ....), je errais de groupuscule en groupuscule, supr�mement ennuy�e.

Ce qui nous emm�ne � la deuxi�me raison de la d�ception que me proura le canot-camping de cette ann�e.

Je suis absolument incapable de fonctionner socialement, et apr�s 5 ans pass�s avec le m�me groupe de personnes, je n'ai toujours pas r�ussi � m'int�grer. Bon, c'est un mensonge, je parle � tout le monde, j'en fais rire certain et la plupart ont une image plus grande que nature d emoi-m�me, d'une certainne fa�on... mais ils ne m'aiment pas, ils ne tiennent pas � moi, je leurs suis indiff�rente, je ne case pas dans leurs relations. On m'�coute 1 fois sur 5, on ne m'approche pas, et on me fuit, m�me, dans certainnes occasions. C'est d'ailleurs l� le troisi�me point.

Car voyez-vous, un des meilleurs amis que j'aie parvennu � me faire dans ce groupe, de la fa�on la plus rapide, la plus naturelle et la moins souffrante, m'a presque flou�e, indirectement. Cet ami, c'est L-G, et peut-�tre ai-je d�j� mentionn� que tout comme C(Emo-Boi) l'�tait, ainsi que C(le chillien du party � M) � moindre �chelle, il faisait partie de ma liste de "possibilit�s m�les". En gros, cette liste est la r�serve mentale des gens pour qui je con�ois une assez grande admriation et tendresse pour que je puisse envisager d'investir mes sentiments en eux un jour. Ce ne sont pas des "kicks", ni m�me les objets de mes soupirs: j'ai d�termin� que, �tat trop souvent bless�e, je n'accepterais de vraiment faire l'effort �motionnel qu'au moment ultime, et on sait � quel point ma technique n'est pas encore au point, l'exp�rience avec C-Emo le d�montre bien assez. En sommes, ce sont donc de bons amis gar�ons, qui pourraient devenir davantage et sur qui je garde l'oeil. Aussi, ce n'est pas ici mes sentiments romantiques qui sont bless�e, mais mes sentiments amicaux. Vous vous demandez sans doutes si je vais enfin en venir au fait... Et bien c'est simple: L-G, cet ami qui pourrait �tre plus, m'a presque fuie et ignor�e pendant ces trois jours. Trois jours o� il m'adressait � peine la parole si je parlais, o� il changeait de place si je venais vers lui, o� il �tit si froid. Je ne comprend pas. Jalousie par rapport � C? C'est douteux, je ne crois pas qu'il tennait � moi � ce point-l�...

Et je crois que c'est ce point qui a terni tout le reste. Ce point qui a obnubil� ma pens�e, qui m'a rendue triste et frustr�e, qui m'a peut-�tre fait percevoir certainnes choses qui n'y �taient pas.

Et c'est en revenant du canot que j'ai r�alis�, gr�ce � la somme des deux derniers �l�ments, cette grande v�rit� � propos de moi-m�me: Je suis seule au monde.

Bon, vous me direz qu'on l'est tous, et je vous approuverai jusqu'� un certain point. Personne ne nous comprend jamais vraiment, et le dialogue entre �tre humains est une chose pratiquement impossible. Nous sommes trop concentr�s sur nous-m�me, nous sommes incapables de percevoir d'une fa�on diff�rente de la n�tre, nous ne donnons m�me pas la m�me signification aux mots que nous employons pour �changer, et nous comprennons ce qu'autrui nous dit comme bon nous semble. Nous somme s�par�s les un des autres de fa�on inconciliables, nous sommes d�chir�s par notre nature mixe d'�tres individuels vivant en soci�t�. Nous avons besoin de la compagnie des autres, mais nous sommes incapables de vraiment l'assimil�e. Nous avons une identit�e, mais nous avons toutes les mis�res du monde � la conserver de fa�on int�gre face aux autres, tandis qyu'il est absolument impossible de faire compl�tement un avec les autres, � cause justement de ce probl�me de perception.

�a, je le savais d�j�. J'ai appris � vivre avec et me console avec le fait qu'il en est de m�me pour le monde entier, certains le r�alisant plus que d'autres.

Non, ce qui m'attire dans mon absolue solitude, c'est justement cela: nous seulement je suis incomprise (comme tout le monde) et non seulement je suis incapable de communiquer avec mon semblable (idem pour tout un chacun), mais en plus, ce semblable ne tente m�me pas de venir � moi, de tenter de me comprendre, de tenter de communiquer. Autrement dit, on se fout de ma gueule. Et je sais que quand on est comme moi, quand on est pas tout � fait normale et que le charisme n'est pas une facette inh�rente � notre personnalit�, il faut toujours faire le premier pas, toujours approcher autrui, toujours tout alimenter dans les relations, pour qu'on nous le retourne.

Mais voil�. Je les faits, toute ces ext�nuantes manoeuvres-l�, et absolument rien ne me revient. Rien. Je dis bonjour, on me r�pond pas; j'appelle au t�l�phonne, on ne me rappelle pas; j'�cris des lettres, on ne m'envoie pas de r�ponses; je d�couvre le fond de mon coeur, on ne me donne que la supperficie; je s�me mon affection � la ronde, le champs de l'amour d'autrui reste st�rile; je parle, on n'�coute pas; je blague et je ris, on reste indiff�rent; je joint les groupes, on m'ignore; j'adresse la parole, elle retentit dans le vide.

Depuis quelques moi, j'ai vraiment r�volutionn� ma mani�re d'agir, j'ai supprim� ma parano�a, j'ai chang� ma perception d'autrui, j'ai adoucit mes propos, j'ai entrepris des milleirs de techniques d'approches, j'ai encourager et j'ai donner... Peine perdue.

Malgr� tous mes efforts, les gens ne s'int�ressent pas � moi, n'ont pas besoin de moi, ne veuleent pas me conna�tre. Le probl�me vient donc de ma nature. Et de toute fa�on, je suis immens�ment fatigu�e de tout cela. J'ai acquis la certitude que j'�tais quelqu'un avec de la personnalit� et des promesses, j'ai tout fait pour aller vers autrui, et rien ne marche. Alors j'enrage.

Sont-ils meilleurs que moi, donc, toutes ces si sup�rieurs et indiff�rents personnages? Non. Ils n'ont pas plus de talents pu de r�sussites de leurs bord que du miens. Sont-ils donc plus intelligents, tellement plus matures et avanc�s que moi? Non plus. La plupart du temps, ils ne peuvent pas suivre ma r�flexion, et s'embrouillent dans les d�tails de bases. Ils tournent en rond, et en sont encore � s'engluer dans des pr�ocuppations vaines et inutiles. Sont-ils plus charmants, donc, plus avenants, plus amusants? � moi, il me semble que je les vaut bien en question de sympathie et de drolatisme, mais il semble que je sois bien mauvais juge, malgr� que la blague que je ferai n'obtiendra aucuns rire, m�me si quelqu'un d'autre la reprennant obtiendra une hyst�rie de rigolades.

Aussi, je ne comprends pas.

Ce que je sais, parcontre, c'est que m�me si j'agis de fa�on au moins �quivalente, on se fout de ma gueule. On se fout de ma gueule! Je n'ai aucun respect de la part des autres, aucjne amiti�. Les amis que j'ai, oh la bonne blague: � part J-Adnesle, ils sont du genre � ne pas �couter, � partirt vers quelqu'un d'autre en plein milieux de ma phrase, � ne pas venir vers moi quand ils me voient, � ne jamais appeler. Et le malheur avec J, c'est que m�me si ielle ne fait pas �a, elle n'a pas besoin de moi.

Bon, je sais que je suis entrain d'exag�rer et de d�mesurer la situation, et que la plupart de mes soit-disant amis on une pr�tendue bonne excuses pour agir ainsi: ils sont introvertis ou "populaire"... Il reste que , lorsqu'on d�duit ces /raisons", ilr este une bonne part d'irrespect, de n�gligeance, et d'indiff�rence.

Et �a me brise le coeur.

En gros, donc: personne ne m'aime, n'a besoin de moi, ne s'int�resse � moi. Cela inclue ma famille... Et quelle famille. Et c'est ma trag�die. Et c'est pourquoi je suis plus seule au monde que la personne moyenne.

Comprennez vous le drame d'aimer sans �tre aimer en retour. Et que ce drame ne s'�tend pas seulement � l'�lu de votre coeur, mais aussi � tous vos amis, camarades, parents sauf quelques exceptions.

Je suis donc seule.

Mais je ne pleure pas: j'ai fait �a hier. Aujourd'hui j'encaisse, et je me sens la passion qu'une hu�tre peut ressentir envers une voiture.

Je vais aller faire du patin.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

Stimulation sodomique-clitoridienne
Co�t non consentant | Zoophilie caract�ris�e | Femme de petite vertue | Sex�ther | Fixation Orale et Bondage | Sexually Explicit Gallery |Exxxtreme Hardcore Sluts 4 U |Grosse Saloppe | Jeune Bite |Hit and Run | Horny Stud | Unwilling Cumguzzler |