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Les g�lules sont les liens. Genre.

He drives me crazy
23/11/2002 @ 11:23

La chanson th�me est: She drives me Crazy de Fine Young Cannibal. Oui, je suis sur un trip de musique des ann�es 80. Il y a quelque chose dans les drums �lectroniques, le clavier volubile et la guitare minimaliste mais si r�che qui me pla�t.

Il est maintenant temps de vous faire un compte-rendu de ma soir�e. Qui fut, bri�vement, fanatstique et affreuse � la fois. Plus de d�tails suivent, �videmment. Laissez-moi seulement vous (re?)mettre dans le contexte: l'�vennement se d�roulait chez le d�nomm� T, durant la soir�e, et consistait en une sao�lerie g�n�rale. Plusieurs personnes �taient invit�es, dont L-A, et d'autres individus que je connaissaient moins tels que E, gentille jeune femme, H, ami de L-A, tr�s joli et doux musicien (un autre!...), Y, autre ami de L-A et A, surnomm�e la grande folle, �galement ami de L-A.

J'ai donc d�couvert qu'�tre ivre �tait une sensation tr�s agr�able et m�me th�rapeutique � un certain degr�. Mais il n'est pas question que je r�p�te ce genre d'exp�rience fr�quemment. J'ai aussi d�couvert des personnages tr�s charmants, individuels, ouverts, diversifi�s. J'ai aussi appris comme de jouer au monopoly toute une nuit pouvait �tre d'un fun bleu, surtout en jouant � coeur mais de mani�re "l�g�rement" irrationnelle. J'ai eu des conversations relativement profondes et toutes passionantes avec presque tous les gens pr�sents, y compris N, p�re de T, et �tre assez caract�ristique.

De plus, j'ai pass� la nuit dans le m�me lit que L-A � lui parler, et je lui ai fait un massage. Je rectifie, il est arriv� vers quatre heure du matin, une heure apr�s que je me fut mise au lit, tremblant dans la froideur incomparrable de cette cabanne. Il m'a r�chauff�e disons... Oui, je suis encore vierge!.. Reste que, j'ai, au sens propre de l'expression, couch� avec L-A!. Quant � ntore �change, il fut profond�mment b�nifique, allant chercher dans nos sentiments et notre intellectualit�, dans un climat de compr�hension et de recherche du juste milieux... De quoi nous parlions? Oh, de moi et T, de lui, de moi, de sexe, de communication. Je lui ai aussi avou� la grande passion que j'avais v�cu pour lui � un point de ma vie. Je lui ai expliqu� toute la situation de la th�i�re (quelle commique je fais). Il m'a demand�, aussi, si j'�tais nymphomane. Est-ce si apparent? Je crois que nos liens se sont resser�s �troitement gr�ce � cette douce nuit.

Pour �laborer plus en d�tail sur les personnages qui �taient pr�sent... Commen�ons par H: bel homme � la grande bouche fine et expressive, silencieux et de mani�res d�licates avec les gens, riant � mes pitreries, et montrant un fond int�ressant. Vient ensuite E. Fille hippie tr�s ouverte et pleine d'esprit, sympathique de surcro�t, qui inspire une confiance touchante et � qui j'ai d�bit� toute mon histoire concernant T (toujours lui, le s*l**d). Elle m'a � son tour racont� sa situation, non moins compliqu�e, avec L-A. Je crois que je me suis fait une nouvelle amie. Ou peut-�tre esp�rai-je trop?.. Et puis, il y a Y. Int�ressant gar�on, dr�le et aimable, qui vient de commencer sa recherche de sens, et qui comprennait de quoi je parlais. � ce sujet, lui et moi discutions d'individualisme et H, silencieux, nous regardait de ses grands yeux innoffensifs. Pour l'int�grer � notre conversation, je lui demandai son opinion, mais il r�torqua qu'il trouvait tr�s int�ressants de seulement nous �couter, et nous enjoignit � continuer.

Et enfin, on m'a confirm�e que j'�tais v�ritablement une personne sarcastique, et je vous jure que cela m'�tonne. Oui, sans sarcasmes!... Mais une note l�-dessus: mon sarcasme fait surtout surface en situation de groupe, raison pour laquelle je ne m'en rend pas automatiquement compte. Car, en priv�, je me fais douce et sinc�re, ce qui est l� ma vraie nature. Mais ce sarcasme, c'est que c'est une technique de d�fense, de pr�valence de ma fragilit� par d'autres �tres pas n�cessairement bien intentionn�s... Oui, je suis parano�aque. Et, �trangement, c'est une arme assez puissante, peut-�tre un peu trop.

Pour en arriver � la partie n�gative de tout cela, celle qui m'a embu� l'oeil, celle qui me donne cet �tat d'esprit mal en point et d�prim�, celle qui m'enrage, me plonge dans la d�tresse, celle qui me d�sesp�re de moi-m�me, de ma vie, de mon futur, des gens... T.

Il faut d�finitivement que je fasse mon deuil de cet Archange Infernal. C'est fini. Fini! Plus rien n'existe entre nous, sauf un trou b�ant rempli d'humeurs bilieuses et acides.

C'est un saut tr�s dur � faire. J'ai d�j� longtemps discour� sur la trag�die de notre merveilleuse complicit� r�duite en rebus mis�rables de jeu social, � mon statut de favorite pass� � moins-que-rien. Je vous ai relat� par le menu d�tail cette hostilit� abjecte, cette froideure incompr�hensible, ce reproche ind�chiffrable.

Cependant, j'ai eu la confirmation claire que *je* ne peux plus supporter cela. Cela me d�truit. Une personne qui m'a �t� si ch�re et qui me d�molit de sa m�chancet� indiff�rente, sa s�v�rit�, son exclusion et son je-m'en-foutisme ne peut pr�tendre garder une place aussi �lev�e dans mon existence.

Aussi, je rompt avec T le H�ro. Maintenant, ce sera T Sans-Importance. Et je m�le ici des notions d'acceptation du fait que lui et ses priorit�s changent, et un malsain et juv�nil d�sir de vengeance par le reniement de son acc�s au Tr�ne.

Parce que si je persiste � lui vouer cette tendresse profond�mment imm�rit�e, je vais me tuer. Honn�tement. Une personne ne peut supporter autant de coups de poignards et de basse trahison seulement qu'� une certaine limite. Et la limite est depuis longtemps atteinte.

Aussi vais-je tout faire pour l'oublier, comme je l'ai fait avec Ron, sans m�me esp�rer que comme ce dernier, mon ami mort ressucite.

Mais, vous vous demandez comment je vais survire sans un complice? Et bien premi�rement il y a J, vous savez. Vous objectez qu'il y aura toujours cette barri�re � respecter entre elle et moi et que cela ne pourra donc pas me satisfaire.

C'est pourquoi je vais me tourner vers M-A. M-A, sublime all�gorie du renouveau, qui arriva dans les m�mes circonstances que T �tait arriv�. M-A, dont l'�clat de la personnalit� dissumul�e commence � peine � attirer mon oeil, telle une Pie Voleuse magn�tis�e par tout ce qui brille. M-A, qui est aussi bon, sinon davantage que T , car il a une facult� d'empathie que notre blond et boucl� ne poss�de pas. M-A, qui est comme tout un continent vierge � d�couvrir. M-A, qui m'est favorable. M-A, avec qui je commence � d�geler. M-A qui, bien que musicien, est capable de s'int�resser � autre chose qu'� son pr�cieux �go et tout aussi pr�cieuse guitare (erm, erm...). M-A, grandbrunt�n�breux, qui m'a presque offert un baiser...

Cela conclut.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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