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Les g�lules sont les liens. Genre.

Un vendredi particulier
16/11/2002 @ 16:48

Mon vendredi a �t� tr�s sp�cial. Je raconterai le tout en d�tails, mais il m'est plus urgent pr�sentemment de vous d�crire les impressions perceptives que j'en ai retir�es; au diable la chronologie.

Et bien voyez-vous, � parcourir en reine le carrelage du petit local commercial, dirigeant le travail dans une atmosph�re de camaraderie, ouvrant mon coeur � ces compagnons aussi nochalamment que j'aurais parl� de la temp�rature, � grimper pr�cairement sur les minces rebords pour atteindre les hautes fen�tres, � me sentir respect�e, appr�ci�e dans une mesure raisonnable, comp�tente; je me suis sentie libre. Et surtout heureuse. Aucunes de mes anxi�t�s ne venaient semer le doute dans la r�alit�, et j'y go�tait sans peur de me tromper. Il y avait quelque chose de profond�mment inusit� dans tout cela, d'�tre d�partie de toutes mes peurs, de toutes mes inhibitions coutumi�res. La nuit? Le caf�? Le contr�le dans ces domaines appartenant � mon expertise? La gentillesse et le naturel de mes camarades? L'absence rare et pr�cieuse de pr�jug�s et de rancoeurs?

J'avais une impression de nroamlit�, de justice dans mes sensations du monde, pour une fois. Rien ne venait distordre en des desseins plus vils les paroles que j'entendais, les mots que j'interp�tais, les intentions que je devinais telles quelles. C'�tait agr�able.

Mais relatons donc, afin que ces m�morables instincts soient pr�cautionneusement consign�s ici.

Tout a commenc� lorsque ma famille, se rendant au th��tre, me d�pos�rent une heure � l'avance au centre d'achat. Avec un peu plus d'aisance que d'habitude dans ma solitude, je me rendis au petit caf� du centre commercial, commandai un caf� au lait et passai l'heure � lire Lolita, de Vladimir Nabokov. Une note sur ce livre, que j'ai continu� aujourd'hui: il y a quelque chose d'extr�mement fascinant, et m�me d'excitant, dans toute la sensualit� de ce livre, que vient contredir, salir, l'illicit�, la r�pr�hensible attirance que cet homme � pour les toutes jeunes filles, les seules qu'ils trouvent attirantes, entre neuf et 14 ans. On se dit "mais pourquoi si jeune?", cela choque bien plus que la convention sociale, on se rapporte � la mentalit� d'une pauvre enfant d'un si jeune �ge, qui subit tout le lucre, de fa�on pas tout � fait consentante, d'un homme peut �tre trois fois son �ge... On se d�go�te de tous les stratag�mes qu'il a de prendre d'elle que son �ge et son physique de "nymphette". Et pourtant, on ne peut pas ha�r un homme qui a toute sa raison, qui n'utilise pas d'abjecte violence... Mais on ne peut pas consid�rer Humbert Hubmert de quelque fa�on que ce soit dans toutes ses tactiques presque compl�tement d�nu�es de coeur.

Enfin, revennons � nos moutons.

L'heure �coul�e, je me dirige vers la franchise de beigne en question. J'arrive et d�cline mes intentions, on m'introduit � l'arri�re du magasin, je metr mon sarrau, pr�pare mon mat�riel, montre � la co-propri�taire mes esquisses... Cette derni�re me d�signa de quelles fen�tres nous devions nous occuper et disparut � l'arri�re boutique.

Et B et M, son amie, arrive sur ces entrefaites. Nous discutons un peu, nous pr�parons et C arrive.

Introduction de C: grand jeune homme mince, qui poss�de une certaine beaut�e de corbeau, avec ses cheveux noirs en pics, ses traits ac�r�s, son teint p�le et la douceur de ses yeux noirs cr�nel�s de longs cils. Il est singuli�rement sympathique, attentionn� et dr�le. Il poss�de une certaine profondeur d'�me, que l'on peu palper sans mis�res.

Apr�s quelques d�lib�rations, la peinture commence...

Et ainsi de suite pendant 4 heures de suite. Le tout entrecoup� de pauses-caf�/beigne, de discussion, de blagues, d'absurdit�... Je me sentais � l'aise l�-dedans. C'est dit ce que j'en ai dit, des choses vuln�rables. J'ai crois� C et V, deux camarades d'�cole.

Mais tout de m�me, une chose, dans cette myriade de joie, me revient � l'espirt. Des choses concernant M-A. J'avais essay� d'utilis� mon charme pour le convaincre de m'accompagner � ma session de peinture de vitre. Peine perdue, comme on s'en doute.

Tout juste, une certainne personne d'envergure intellectuelle douteuse, tr�s gloussante et plastifi�e, l'approchais d'une mani�re � laquelle il semblait trop positif � mon go�t. Les crocs aiguis�s de la jalousie mordirent de toutes leurs m�choires dans ma fr�le sensibilit�. De plus qu'� la fin des classes, il sortait accompagn� de cette m�me cruche, t�te-vide, femme de plastique, poule gloussante, personnage qui ne devrait pas l'attir�e. Mon coeur se serrait en des convulsions douloureuse et aterr�e. Quand l'abhorr�e barbie prit le large, notre beau f�lin se d�pla�a vers un autre groupuscule, en m'ignorant totalement de surcro�t. J qui assistait � mes tourments me quitta � ce moment, et je r�solu d'aller aborder l'objet de ma douleur. Il se retourna, et toutes paroles am�res furent retenue sur ma langue bless�e, quoique certainnement elles transfus�rent sur mon expression. Il me demanda s'il y avait longtemps que j'�tais l�. Ne sachant comment prendre la question, je r�pondit quelque chose ressemblant � "Oui, non, peut-�tre, enfin, je ne sais pas." La conversation d�riva sur le froid qu'il faisait. Et � ce moment, peut-�tre pour se faire pardonner de quoi que ce soit qu'il me sentait lui reprocher, peut-�tre par simple flirterie, ou peut-�tre par motifs que j'ignore, il pencha sa t�te vers moi et frotta lentement sa joue sur mon foulard. J'�tait peut-�tre trop bless�e, s�rement trop empot�e, pour r�agir autement qu'en riant un peu. Mais la chose remit les �toiles qui avait quitt� ma pupille, me redonna ce sourire g�n� et rayonnant, et c'est ainsi que je le quittai.

Alors, de cela nous disgressions, fi�re �quipe de peinture sur vitre, et C se r�v�la profond�mment utile. Il me dit d'abord que la petite t�te vide en question n'est sans doutes possible aucunement de son go�t. Il me dit �galement de prendre garde simplement � ce qu'il ne s'amuse de mes sentiments, ce qui arrive parfois, et qu'il ne puisse �tre qu'un "big flirt". � la mention de ceci, je r�pliquai que �a ne me ferait rien puisque je suis dans toute cette affaire seulement pour le sexe, ce qui fit dire � mon partenaire qu'il aimait �a, une fille qui "pense comme un gars". Pas de commentaires, mais bon...

Et c'est l� que �a devient int�ressant: C, qui est un guitariste de punk, a soulev�e la proposition de m'inviter, moi et lui, � un m�ga party en d�cembre pour introduire son band. Il a pens� nous sao�ler et nous embarrer dans une chambre quelconque. Cet avis � re�u mon plein accord! C'est m�me un de mes sc�narios fantaisiste que je ch�rissait le plus: me r�veiller dans ses beaux bras bruns apr�s une folle nuit de f�te. Et puis �a pourrait marcher... Enfin.

Et puis quand nous e�mes finit toutes les fen�tre, mon p�re rapporta ledit C chez lui. Et ensuite moi chez moi.

Et aujourd'hui je n'ai rien fait, et je me sens m�me un peu d�primm�e.

J'�coute Santana et j'ai les mains froides.

C'est tout?

-L


N'importe quoi.

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