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Les g�lules sont les liens. Genre.

Ghoulument
10/08/2006 @ 22:40

Je ne suis pas encore morte.

Lors de mon p�lerinage, samedi dernier, je suis pass�e par le cimeti�re Notre-Dame des Neiges, sur la montagne.

�.

Glorieux monts et vaux des morts, adorables hameaux engraiss�s par nos chairs, z�phyr d'�t� embaumant la fleur fun�raire, vagues �meraudes de pelouse d�valant la montagne vers le ciel et la ville et le fleuve... Quelque chose en moi se sentait transport� d'all�gresse, touch� de gr�ce, assise sur la pierre tombale de monsieur et madame Rodgers. La cr�ation �tait encens�e de soleil, sa brume de lumi�re dor�e presque un parfum. Un vent frais, marin, soufflait.

Non, dans le cimeti�re, j'�tais infiniment loin de la mort. L'Umana largement accumul�e s'acheminait de toutes ces tombes � travers le sol, s'infiltrait par osmose � travers la corne pourtant dure de mes pieds (Docte-J dit, je dois me les polir � la pierre-ponce, pour avoir des pieds f�minins et accessoirement parce qu'�ventuellement la corne pourrait devenir douloureuse); je revivais de par la substance de tous ces morts.

La preuve que tout �a c'est vrai, c'est qu'apr�s la lente mac�ration de cet fun�bre �lixir, aujourd'hui, jeudi soir, il est 10h30, je ne suis pas encore couch�e et les portes des probables s'entrouvent de nouveau.

Moment embarassant tout � l'heure, je n'avais pas reconnu sa voix; j'ai pass� de L-parle-�-un-inconnu � L-parle-�-FJ en quelques instants, en gardant le m�me individu au bout de la ligne. Deux facettes et la m�me personne; instant d�sagr�able de la r�alisation que je ne suis pas toujours parfaitement int�gre et coh�rente. J'en �tais d�j� au courant, et je sais �tre (presque) aussi changeante, hypocrite, menteuse et abjecte que mon prochain, �a reste quand m�me toujours d�plaisant d'y �tre confront�e.
Mais j'�tais encore plus rebut�e de constater les dissemblances entre l'imago que j'ai de Moi et ce que je constatais de mon attitude, mes idyosincrasies adopt�es envers lui. La diff�rence �tait mise en lumi�re par l'�cart entre notre derni�re conversation et celles d'avant qu'il parte. Comme un malade saugrenu et risible debout sur la st�le, g�n�, dans un amphith��tre garni d'�tudiants cyniques.

Si je tente d'appliquer cette m�me observation sur tous mes autres rapports, je r�alise que chaque individu induit en moi une r�ponse subtilement et pourtant ind�niablement diff�rente. Il n'y a donc pas une L compl�te, absolue, inchangeante de par le temps et les autres.
Et ces autres ne me mettent d�finitivement pas en valeur. On est'y ben tu-seul!

Mais j'aimerais aller marcher avec quelqu'un au cimeti�re demain soir.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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