Constipation, Conspiration, c'est toute de la merde refoul�.
Effexor et l'alcool �a me va bien: toutes mes lentilles sont align�es, �a pointe directement vers le haut et annule la myopie de mes circonstances contingentes, ou ketch�se.
Ouah j'avais �crit de quoi mais le serveur l'a mang�. L'autre fois. Ici. Avec un pourboire. � Montr�al on a peur, on tippe toujours.
Mini high, la s�rotonine bounce et mes oreilles sont bouch�es. J'avais un b�guin, je me le suis fait souffler par l'incons�quence m�me dudit prospect, mais j'ai tout dig�r� ma bile et je suis, bien.
Les carpes et les poulpes ne flottent pas dans les m�mes eaux; certains pr�f�rent les abysses, d'autre la bourbe et ton f�cus glaiseux. Les strates sont naturellement s�par�es, c'est d'adon, c'est des phases. Huile sur eau sur sirop d'�rable.... Un peu de m�lasse...
Ma job de cubicule est bien. J'ai ma case, j'ai mes outils, j'ai ma veulerie. C'est une guerre: qui gagnera de moi ou du cubicule? Les paris sont ouverts.
Je recommence �.
Je lis des livres sombres et m'y complais. Au son de deadend street des Kinks, de Beauvoir, Handke et C�line se partagent mes r�flexions. Quelques pages parcourues de la force de l'�ge m'en donnent pour 15 minutes de comble intellectuel jouissif.
Quelques fois, rarement, une fois par lune, au moment de l'�clipse, bref �clat mirifique, je me sens dedans plut�t que dehors. Et alors c'est tout une autre histoire. Je vole.
La perspective d'une mouche. Des milliers de reflet d'un trajet vertigineux et bourdonnant. Grand angle sur les pores d�sagr�g�s d'une charogne. Le proboscis se d�roule et se plonge dans les chairs faisand�es. "C'est � moi que tu parles?"
-L