(L est sur la vodka: les inhibitions sont retir�es)
Id�al: FUCK YOU.
Tu sais tr�s bien qui tu es, sale con-pauvre type (c'est pas toi, Jimmy).
Tu as essay� de me voler la ville de Ron et �a a totaleemnt pas march�; t'as rien vu, ahahah.
Tu n'es qu'illusion et je finirai par me d�barasser de ton sale souvenir insignifiant de type au jugement fauss� par l'id�e d�mesur�e de son ego immense.
Je te chasse et t'excomunies: tu n'es plus.
J'en ai rien � foutre, de tout ton toi.
Si tu es trop vain pour accepter une autre lumi�re que la tienne, alors c'est que ta lumi�re est bien p�le; ma lueur t'a fait peur.
Meurt donc, dans ma t�te du moins.
Je d�cide de ton ent�rement.
La gomine d�gouline sur la terre s�che et ne r�ussis pas � la mouiller.
Je te hais d'avoir usurp� l'id�al. Le vrai id�al, s'entend. Tu n'as pas la hauteur de mon r�el id�al, tu ne fais que persister comme tel, pr�tendant � la chose, le nez haut et ridiculement so.
Ce soir, l'alcool (de patates), ainsi que les Truands, d�cident que tu es mort, bel et bien mort, tu n'as jamais exist�, tu n'es qu'une esp�ce d'aberration d�ambulant parmis d'autre. Si ta mesquinerie et ta mauvaise foi m'ont r�duit au jugement que tu as fait retomber sur mon pauvre et tendre dos, c'est que vraiment tu ne vaux pas le frais que l'on fait � ton sujet.
Meurs donc.
-L