C'est comme une brique sur le conscient. Un essouflement. Un regard perplexe sur une nu�e de traffic. C'est se changer quatre fois par jours pour remettre ce qu'on avait sur le dos en premier lieu, par pure ind�cision. C'est ne pas �tre capable de choisir son itin�raire. C'est rester au milieu du trottoir, les bras croiser, incapable d'aller � gache, � droite, ou de traverse la rue. C'est d�blat�rer des idioties incons�quentes ici. C'est ce profond malaise face aux gens qui font quelque chose, qui avancent, qui changent un peu. L'�merveillement devant une telle lin�arit�. Comment ils font! Ils �taient l�, ils ont choisis un sens, et on peut les voir bouger � l'horizon... Moi j'ai l'impression de faire du sur-place dans une roue qui tourne, d'�tre prise dans une bulle transparente qui rebondit, oh, le paysage change, je ne sens plus les m�mes choses, je ne connais plus les m�mes personnes et c'est une autre culture. Mais est-ce que c'est ailleurs que pr�c�dement? Est-ce que je progresse vers un but? Est-ce que je sens les choses continuer et se d�velopper? Non, vraiment, non. Les choses se polissent, se d�sencoigne, je ne fais pas mal en me cognant dessus. Mais... Ce n'est pas comme avant, o� j'avais l'impression de comprendre de plus en plus de choses au fur et � mesure que je vivais et que je me buttais contre le ROU (Rest Of Universe). -L
N'importe quoi.
Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.