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Les g�lules sont les liens. Genre.

Une nuit sans dormir
19/10/2003 @ 18:51

Allez tout de suite au bout sexy, l'entr�e est longue
Ah quelle nuit. Mais quelle nuit. Rien d'extravagament sensuel et pornographique, rassurez-vous. Des petites avances minuscules qui me comblent. C'est tr�s amusant, d'aller lentement. Laiss� le d�sir monter tout doucement comme du vrai bon caf�. Savourer d'infimes petits d�tails � leurs maximum. Avoir des frissons pour des riens infiniment sublimes.

Pourtant, �a augurait mal. J'vais vous raconter �a. D'abord, Lapin en Peluche (.... mais c'est vraiment ridicule comme sobriquet. Pourtant j'peux pas m'emp�cher de l'appeller comme �a.) m'avait donn� , la journ�e pr�c�dente, rendez-vous chez lui... � 13h30. Aussi, deux heurs � l'avance, je br�le pour 15 dollars de taxi pour me rendre � l'autobus, je fais mon heure et demie de transport en commun, je lui pr�vois aimablement une demi-heure de lousse, et... Quand je t�l�phonne, � 14h00, il n'y a que son coloc , C, qui r�pond. Mais comme j'aime bien C je me suis dit que j'�tais aussi bien d'y aller tout de suite... Alors moi et ce fort agr�able compagnon (non vraiment il est bien gentil, tout na�f, �merveill�, ouvert, tr�s mignon, il me trouve belle et me l'a dit et j'�tais toute flatt�e j'ai pas su quoi r�pondre. Eh. Toujours aussi habile, cette L. Et bien moi et ledit coloc, C de son nom, �tions tann�s de bretter dans le petit appartement alors nous sommes all�s prendre un verre. J'ai laiss� cette note � mon petit ange au sourire mirifique: " On est all� boire. -L et C ". Alors on est all� boire. On a parl� litt�rature. On est revenu. Il �tait l�, tout sourire et languissant, fatigu� selon toute �vidence, de l'�norme nuit de trois heures qu'il avait pass�e la veille.

...Il m'a dit des choses un peu dure. Vraiment des toutes petites choses, � peine blessantes, mais �a m'a fait de la peine. Il me reprochait un peu de ne pas avoir persist� pour la job du caf� � pincourt, de me m�l� des affaires de couples de mes amies (ben jsuis un peur suprotectrice, que voulez-vous), des petites choses pas gentilles... J'�tais toute rapetiss�e, je ne disais plus rien, javais presque le go�t de pleurer, je me disais que c'�tait fini, que je voulais rentrer chez moi... Mais �a a pas dur�. Je lui ai montr� que le caract�re de L �tait assez fort pour retourner ses petites pointes. Et �trangement, �a l'adou�i. Je me laisse pas marcher sur les pieds, bon. Je me suis moqu� de sa sensibilit� envers les pauvres vaches qu'on trait, en faisant le parall�le fort sarcastique avec les pauvres plantes qu'on cultivent et qui sait, peut-�tre souffrent-elles? Y as-tu pens�, aux pauvres plantes, comment c'est IMMORAL de les cultiver � la cha�ne??? Le reste de la soir�e a �t� formidable.

Mmmmh... Ben d'abord, ces deux petits gars l�, ils cuisinent bien. Et comme on sait, c'est une des deux ou trois fa�ons de totalement me mettre dans sa poche, de me faire � manger. Et ils me nourissent juste comme �a, spontann�ment.... Aaaah les petits anges �) Une vraie commune, un vrai petit nid douillet, cet appartement. on y partage et offre spontann�ment la bi�re, la nourriture, l,aclool, le pot, les chambres, sans petits chichis mesquin. Je vais leur faire de la belle d�coration en �change. Ou leur repriser leurs v�tements. C'est mes amours. Surtout le lapin. (Il ressemble vraiment pas � un lapin, au fait.) Mais bon.

Alors, on mange... On boit un peu d'alcool... La tension un peu bizzare du d�but entre moi et lui s'estompe et on revient aux termes o� on �tait, riant et l�g�rement cajolant, complices, quoi. Il me demande ce que je veux faire, comme d'habitude j'en ai aucune id�e. J'suis pas un personnage tr�s inspirant c�t� sortie. Je me forcerai la prochaine fois. Il a une carte de montr�al sur son mur avec toutes sortes de choses dr�les �crites dessus, comme une fl�che avec "Sa�rel" (Sorel), "Suburban Hell" pour la Rive Nord, "Reev Ss�d" pour la Rive Sud... J'ai rajout� des flames et des yeux machiav�liques autour de Suburban Hell et j'ai fait une fl�che vers P-Town (Pincourt, ma ville) avec une main faisant le signe des m�talleux (le pouce, l'index et l'auriculaire sortis alors que le majeur et l'annulaire sont abaiss�s) par d�rision. On se fr�lait. Comme d'habitude... Mmmmh... C'est si minime et tellement intense ce jeu-l�. Je suis au comble.

Toujours est-il qu'on s'est d�cid� � sortir pour aller explorer un petit bout de toiture de l'h�pital Royal-Victoria. L-P, avec son kangourou et sa tuque noir, avait vraiment l'air d'un petit malfaiteur mignon. Il s'amusait � rendre les "m�tro cops" soup�onneux pour rien, on se faisait du fun � trois comme des gamins. Dommage que ma Ra �tait pas l�! On se rend donc � notre destination, et au passage, une jolie fille, un petit peu ronde, ressemblant un brin � ma cousine, fait un tr�s significatif regard et sourire en coin en la direction de mes deux compagnons qui ont rien vus parce que c'est quand m�me des gar�ons. J'�tais l� "ooooh!, les mecs, le sourire qu'on a re�u l�, ooooh! c'�tait un sourire de fille qui voit un beau gars �a" et nous trois de se lancer la balle. L-P qui sugg�re que c'�tait peut-�tre moi qu'elle regardait, pfff, c'�tait pas la direction de son regard pantoute! Enfin c'est flatteur d'une certainne fa�on. Alors au vu et au su de tous, nous avons pris l'escalier de secours et gravit l'�chelle jusqu'au toit, qui �tait pas si haut que �a. l'h�pital Royal-Victoria, c'est comme un petit ch�teau avec diff�rents corps de logis, et m�me des ailes de l'autre bord de la rue, reli�e par une super jolie porte coch�re. Le tout a beaucoup de classe. Enfin. On �tait sur le toit, � admirer les lumi�res, la perspective, quand je remarque cette porte, entrouverte, qui donne sur une pi�ce enlumin�e. L-P �tait d�j� all� l� mais il avait pas os� entrer, de peur de se faire surprendre. Mais bon, une L accompagn�e est une L t�m�raire, j'hausse les �paules et j'entre... Mignon petit r�duit chauff� et �clair�, avec des chaises, un escalier en cage vers le bas, pleins de babioles et r�p�ration... Il y a une autre porte, pareille � celle par laquelle on vient d'entrer. On y sort. Autre partie non soup�onn�e du toit! On se marre. L-P s'�merveille devant la multiplicit� des fen�tres, et chaque histoire qu'il y a chez chaque personne derri�re chaque fen�tre... On finit par rentrer dans le r�duit, question de faire connaissance avec Andr�, le concierge, comme nos investigations nous l'ont r�v�l�e... L-P a laiss� du pot dans un endroit quelconque, j'ai d�couvert une revue explicite dans son tiroire, C lorgnait l'escalier avec une forte envie de descendre... On s'est assis sur les trois chaises, tout �merveill�s de ce petit nid en hauteur, inconnu, tellement charmant et banal � la fois, ouvert � tous, pratiquement. J'ai laiss� un dessin, L-P a �crit des commentaires sarcastiques dans la revue explicite, C a minutieusement inspect� le contenu de toutes les bo�tes, et puis on est redescendu avec l'intention d'aller sur le mont, de nuit...

Bon, le mont de nuit. C'�tait beau et magique, mais pas si marquant que �a. J'avais la t�te tr�s ailleurs, disons. Devinez o�. On �tait sur la ballustrade surplombant le sud de la ville, et ils se pointaient les quartiers, moi je r�vais� Finalement on est redescendu de par le bois, et on a regagn� l'appartement. Comme il �tait tard (trois heures du matin), on a d�cid� de se coucher.

On a d�cid� de se coucher�

L'appartement est petit� J'ai partag� le grabat de ce bon l-p. Qui est de dimension restreinte. C'est un futon. Il �tait relev� alors il fallait le baisser. J'ai enlev� le cran et comme je ne suis pas nc�essairement intelligente vis-�-vis ces petits d�tails l�, j'ai omis de le remettre lorsque le futon eut repris sa fonction de lit. J'�tais assise entrain d'enlever mes pantalons (parce que vous ne croyez quand m�me pas que j'allais dormir avec mes jeans�.) quand mon aimable h�te me fit remarquer la chose. Je n'�tais pas confondue ni m�me embarass�e, parce que je connais ma b�tise sur ce point et que l-p n'est pas du genre � m'en tenir rigueur� Aussi j'essayais, dans le noir, de rajuster la maudite pin en relevant le sommier mais j'en �tais incapable, �a voulait juste pas rentrer� L-p qui m'offre de l'aide, moi qui refuse, quand m�me un peu g�n�e de me sentir si nouille et inhabile (j'avais d�j� donn� assez d'exemples de ma gaucherie et de ma maladresse durant toute la soir�e en tr�buchant et tombant en divers endroits, alors�), la lumi�re se ralume, il sort du lit, rev�tu d'une paire de cale�on seulement pour secourir la pauvre femelle en d�tresse que j'�tais... Il s'accroupit par dessus moi, ses deux bras, tout en se faisant une charge de relever le sommier pour que je glisse le cran dans le trou, m'entouraient, nos peaux s'effleuraient�

C'�tait tr�s, tr�s sexy. Une torture de sensualit� r�prim�e. Moi entrain de faire rentrer un b�ton dans une ouverture, ce qui est quand m�me, quand j'y repense, plut�t cochon vu le contexte, en petite culotte et t-shirt ajust�, sans brassi�re, lui en sous-v�tement �galement, pench� au-dessus de moi, sur moi, tenant le somier de part et d'autre de mon dos� Je sentais sa chaleur, son odeur qui me fr�lait. Je me demande encore comment j'ai r�ussi � finalement rentr� la maudite pin sans d�faillir d'�motion.

Et bien on s'est finalement couch�. Kuro �tait avec nous. Il m'aime bien ce petit chat. C'est bon signe. Comme Ra disait, "�coute Kuro!" et c'est ce que je fais et Kuro a l'air compl�tement en amour avec moi� hihihi. Sauf que cette petite boule de poil noir me rend compl�tement allergique. Alors je reniflais all�grement. Pas n�cessairement attirant. Et au d�but, j'ai eu une crise de tremblements incontr�lable de peut-�tre une demi-heure. Avais-je froid? �tait-ce la nervosit�? J'avais un peu peur d'oser me coller contre lui ou de tirer de la couverture� Mais bon �ventuellement je me suis branch�e et je me suis juste serr�e contre son corps chaud et j'ai arr�t� de trembler.

� partir de l�, jusqu'� 6 heures du matin, �a a �t� un esp�ce de jeu �trange, de changements de position anodin, de plus o� moins de fr�lage, de faire semblant de dormir, de subtilement toucher telle ou telle partie de l'autre� � un moment donn�, j'avais la t�te appuy�e contre son bras et je sentais la pulsation de son sang, assez f�brile, j'�tais �tonn�e, je me demandais si c'�tait lui ou moi que je sentais.. j'ai ouvert les yeux, et j'ai vu que j'avais le cr�ne tout contre son bras, et que c'�tait bien le rythme de son c�ur que je sentais� Alors j'ai accentu� le contact, j'ai ferm� les yeux et je me suis concentr�e sur ce divin battement, tout affol�, me demandant si j'�tais ou non la cause de ce trouble chez mon compagnon�

� bien y repenser, pour quelqu'un qui "dormait", il remuait beaucoup...! Et moi donc. Le moindre fr�lement me donnait des frissons extatiques, allumait mon d�sir, �pandait le bien-�tre dans ma poitrine.

Eh-l�.Quelle nuit, je vous disais. Tout ce trop subtil chass�-crois�, "hardcore teasing" comme dirait Ra. Pas tr�s reposant, mais bon�

J'attendais qu'il me prenne dans ses bras. Je voulais faire de m�me, j'osais pas. C'est peut-�tre mieux ainsi. Pourquoi aller vite?

�ventuellement il a commenc� � faire tr�s chaud. Je me suis d�couvert. Je me suis recouvert. Etc.

J'avais finalement r�ussi � m'endormir. Mes allergies venaient de se calmer. Je sombrais doucement, bienheureusement dans la demi-conscience.

Mais un bruit de cataclysme v�nt briser ce d�but de sommeil durement aquis. La porte s'�tait ouverte en trombe, donnant passage � un individu en furie, causant force tapage.Je me rel�ve pour voir si je faisais simplement r�ver et j'ai simplement le temps de voir l'ex de L-P qui, � 6h00 du matin, tout bonnement, entre dans la place comme chez elle sans se soucier du d�rangement qu'elle pourrait possiblement causer aux insignifiants dormeurs que nous somme, traverse la place en prof�rant un grommellement qui ne semble pas tr�s flatteur � mon �gard. � la v�rit� je n'ai pas compris du tout ce qu'elle a dit mais le ton n'�tait pas de tr�s bon(nne?) augure. Mais comme j'�tais assez caguement consciente, je me suis recouch�e, peut-�tre un peu troubl�e. Je dis � l-p: "quelqu'un vient d'entrer!" et je n'ai comme r�action qu'un sourd grognement.

Peut-�tre dix minutes plus tard, je le vois ouvrir les yeux et je lui demande, plus trop s�re de mon coup: "Coudonc� y'a quelqu'un qui est entr� tout � l'heure en faisant un vacarme." "Ah ouin? Pourtant je crois pas que Ca (coloc) soit ressortit�" C'�tait une fille." "ah! Ben alors, c'est C (son ex)".

Je trouvais �a fort. Et tr�s vaudevillesque. La pauvre demoiselle est d�j� bien jalouse de moi, la premi�re fois qu'elle m'as vu son chum � par la suite rompu la relation. Elle devait croire que j'en �tais responsable. La deuxi�me fois qu'elle a le malheur de m'apercevoir, je suis dans le m�me lit et m�me assez coll�e contre son ex pour lequel elle �prouve tr�s certainement encore au moins un sentiment de propri�t�, et elle devait �tre convaincu qu'on avait bais�. C'est quand m�me assez compr�hensible. Je suis le bouc-�missaire parfait. La cible id�ale pour son d�pit et sa haine�

Alors que nous parlions revient la pauvre fille en question, qui nous fait alors une belle sc�ne de territorialit�. C'�tait assez hilarant, peut-�tre pas sur le coup, parce que tout embrum�e de soleil j'avais un peu peur pour ma peaue. La dame a des tendances un peu brutales. Je me suis mis le bras sur le visage et j'ai tent� de m'ins�rer dans la conversation malgr� tout, tentatives futiles car la dame m'ignorait compl�tement. L-p non et cela la for�ait � me parler indirectement, ahah.

Et quelle conversation d'ailleurs. Des insinuations pas trop subtiles sur le d�sir de me pousser de l�, auxquelles l-p ne r�agissait pas. La chose se conclut de fa�on assez comique, quoique je n'aie d�duis ce qui s'est pass� qu'incompl�tement, parce que j'avais encore le bras sur les yeux� J'ai entendu un "bonne nuit" �chang� dans une langue �trang�re quelconque, en allemand peut-�tre, et un bruit de baiser� Et environs en m�me temps, le bruit de quelqu'un qui se tourne de bord dans des couvertures. La dame souffrit de me dire "bonne nuit, L", dans un essai louable de gentillesse� Quand je rouvrit les yeux, l-p �tait tourn� contre moi, assez pr�s.

Mais je ne sais pas si vous avez saisit ce qui s'est pass�. Moi, en tout cas, je n'ai assembl� les diff�rents morceaux que plus tard dans la journ�e, et �a reste une extrapolation...

Mais finalement, la dame tenta d'embrasser son ex et celui-ci se retourna et se blottit contre moi�. Pour citer lilzukkie, (et pallier � mon intelligence) "HON". Mh. C'est dur� pour la dame.

Quelques minutes pass�rent. La porte de la chambre de C claqua. Je dis "J'ai faillis me faire assassiner, mais c'est pas arriv�!" "Ben non�" "Moi j'pense que oui� Coudonc c'est ton ex ou pas ton ex l�, c'est confu" "Ben j'lui ai dit avant-hier" "Qu'est-ce que tu lui as dit, avant-hier?" "Que j'�tais �coeur�, que c'�tait finit, que j'voulais plus rien savoir" "Elle a pas l'air d'avoir saisi�" "Ah, elle a saisi� C'�tait juste une d�monstration d'instinct de territoire"

Je devais partir � 10h00 ce matin-l� pour rejoindre G aujourd'hui.

Je me suis pr�par�e, j'ai nourrit le chat et je l'ai secou� un peu pour lui dire que je me tirais. Il m'a sourit de son sourire merveilleux, me demandais ce que je faisais aujourd'hui, souhaitais recommencer le genre de soir�e d'hier, (je lui ai sourit de mon sourire amoureux) me disait qu'il avait �t� pas ma r�veill� toute la nuit aussi�

Je suis partie.

Et dans le m�tro, j'ai r�alis� que:

1) J'avais pas rembours� C (!)

2) J'avais pas embrass� l-p (!!!)

Mais quelle conne. Voyons donc. Un bec "sur la joue" comme je partais, �a aurait tr�s bien pass� sous tous les angles� Sur la joue, plut�t � c�t� des l�vres�

Enfin.

Dites moi que je r�ve.

Et que le r�ve va devenir r�alit�.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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