Rien de bien � dire. J'ai pass�e la journ�e mollement, dans une torpeure, � rester au lit et � lire. Non, pas simultan�ment. Disons que j'�tais au lit jusqu'� midi et que j'ai lu le reste du temps. Ma m�re croyais que j'�tais � l'�cole. Douce supercherie...
C'�tait une "journ�e blanche" aujourd'hui et moi, toujours aussi friande de sports hivernaux, j'ai d�cid� de rester dans mon petit cocon de confort nord-am�ricain et isol� du reste de la plan�te. Mwa. Ha.
Donc, D�bat de la Citoyennet� demain: le Jour J, l'heure ou sera d�battu devant trois cent personnes et des cam�ras (sans blagues) la meilleur position � adopter sur le statu des jeunes d�linquants. Que de h�te. Que de stress. Honn�tement, je me sens parfaitement indiff�rente.
Je ne suis pas tr�s fi�re de moi en ce moment. Je me laisse aller. Je ronge mes ongles au sang. Je mange trop. Je ne produis plus. Je ne pense qu'au premier degr�. Le bouillon de culture qui mijotait constamment dans mon cerveau est devenu un petit reste de soupe froide et sans int�r�t. Pas cool. Les m�dicaments? L'�coeurement? L'an�antissement d'une passion qui, sous toutes ses formes m'a fait vivre durant 24 mois? Tout cela, conjugu�? Ces divers facteurs dans une cha�ne de causes � effets? Sans doutes. Et �a fait longtemps que �a dure, et je dois faire quelque chose.
Malgr� tout, mes notes de cette �tape-ci sont fracassantes, � part cet horrible 63% en Physique. Avec toute la d�motivation dont j'ai fait preuve, je ne comprends absoluement pas comment j'y suis parvennue. Qui sait.
J'ai � faire.
-L