Les erzast, c'est notre r�ponse � ce qu'on ne comprend pas; on r�duit l'impratique concept jusqu'� ce que l'ingestion soit aussi plaisante que l'excr�tion d'une selle bien compacte.
C'est plus simple.
Tout le monde peut en avoir, donc �a devient une bonne chose. S�datif public. �a donne lieu � des confusions.
On prend de m�diocres adoles haineux qui crachent leurs pauvres imitations am�ricanis�es pour des critiques sociaux; prennez Black Tabou. De l'esth�tique normalis�e et antiseptique pour de l'art; prennez l'anime. Des cr�tins pour des gens intelligents; prennez Maddox. Le d�soeuvrement pour de l'amour; prennez (nom censur�)
Mais comme lorsqu'on met des l�gumes en conserves, quelque chose s'est perdu en chemin.
Avant j'avais une conception tr�s nette, r�elle, �nergisante, m�me, de ce que quelque chose. C'�tait m�me une partie int�grante de mon moi.
Sauf que maintenant je ne pourrais m�me plus tenter de l'expliquer sauf avec les phrases d'avant dont je me souviens; ce ne sont que des vestiges, de la viande d�soss�e. �a se mastique bien mais �a manque de colonne, quoi.
J'enfonce.
Conversations r�elles r�centes:
L "All�?"
Inconnue "Euh... All�?"
L "Ouais, all�."
Inconnue "C'est pas � toi que je voulais parler."
L "Ah ben c'est dommage parce que c'est � moi que tu parles!"
Inconnue (qu'on peut renommer "Bitch" ) "...Bye."
L "Salut!"
L "y'a une �pid�mie de bandaison molle faut croire"
L "jen ai pogn� un de m�me vendredi soir aussi"
M "ah"
M "cest peut-�tre la grippe aviaire qui fait ca"
L "ouan"
L "j, j, je l'ai encore fait !"
J "quoi? coucher avec un gars qui te m�rite pas? "
L "...euh.. ouais "
J "d�sol�e, c'�tait spontan� comme affirmation "
L "mais t'avais devin� juste !"