Les vieilles amours, sauf Exceptions, m'irritent: mais les nouvelles amours, sauf Exceptions, me ravissent. C'est l'avanc�e sans qualit� p�jorative; L tragique devient L d�termin�e. Mais c'est lent. Mais �a se fera. Mais les obsessions de reconnaissances, amour, d�shydratation sociale, tout �a s�che, se r�sorbe, ratatine et finira bien par tomber au sol, l�g�rement, avec un petit froissement d'�corce s�che. Quelques remords et envies de r�parations ou d'excuses. Quelques d�dains, agr�ables. (quoique, il faut l'avouer, ceci fut un velour tout aussi agr�able qu'innattendu! Vive la haine f�conde.) La tendre envie de ce petit nouveau, notre trouvaille, la vedette-surprise, la d�couverte fortuite, ses mains sur mon dos, puis ailleurs, bien s�r. J'imagine � loisir la probable douceur/chaleur de sa belle bouche, la l�vre sup�rieure mince, d�coup�e, souriante, la l�vre inf�rieure charnue et d�licieuse. Je replonge en souvenir dans ses grands yeux enthousiastes, �veill�s. L'auralaurapas? (m'a battue aux �checs. Obtiendrai revanche.) ...Une ch�rie m'a surprise en me d�voilant de d�licats tourments que je ne lui aurais pas soup�onn�s. Paradoxalement, notre �change m'a autant attendrie que rassur�e.(C'est une des valeureuses exceptions des vieilles amours...) L'espoir revient. -L
N'importe quoi.
Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.