Et voil�, j'aime l'�cole de nouveau. Un tas de petites circonstances heureuses, le prof d'anatomie qui trouve un croquis que j'avais fait exactement comme ce qu'il voulait, une �l�ve qui me dit spontann�ment que je ne dessinne pas mal et le prof de d�cor qui me confirme que non, il n'y a pas de probl�me dans mon d�but de sc�ne, le tout appuy� de beaucoup de "parfait" et de "super", la complicit� de groupe qui se r�installe, la petite routine du quartier latin au quotidien, le temps qui fra�chit: une grand OUI � tout �a. J'aime toutes ces pentes, je ne me lasse pas des gens et de leurs apparences dans les transports en communs, je regarde plus attentivement les multiples corniches, soupentes, mansardes, pignons, briques verniss�es et ornements de pierres caract�risant les maisons du si�cle dernier (et avant). Tr�s excellent. Sauf pour mes habitudes alimentaires qui se d�gradent d�cid�ment, mes besoin de sommeil qui augmentent �trangement (de 21h00 � 11h15 la nuit derni�re...) et une certaine solitude. Cette solitude est agr�able, elle a son c�t� esth�tique. Je me pelotonne dans le fauteuil blanc, un ch�le autour de mes jambes nues, en rajoutant quelques mailles � mon tricot, puis je divague internement, longue travers�e lunatique des possibles et des fantaisies. �a prendrait juste quelqu'un pour me faire un massage.
-L
N'importe quoi.
Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.