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Les g�lules sont les liens. Genre.

Se d�senglu� de cet autre �chec
17/04/2005 @ 20:58

Je crois que le d�tail le plus d�vastateur, la phrase la plus cruelle, la claque verbale la plus retentissante, �a a �t� quand il a dit � cette minette qui se pelotonnait contre lui comme une petite chatte, innocente, invincible, victorieuse, sa griffe sur sa proie, ronronnant � quel point il �tait chaud: "Yeeeah, my body temperature is 2 or 3 degress higher than the normal.. When the doctors tell me i have a fever, i'll be like �No, that's normal, sorry...� "

Il m'avait dit exactement la m�me chose dans son lit, quelques semaines plus t�t.

J'ai pleur� ce matin aussi. J'ai chass� les id�es noires avec la temp�rature, le ciel, le soleil, le vent, le parc Lafontaine et mon ami Ju.
Je croyais que c'�tait finit, et dans le fond...
C'est dur. La cruaut� se retrouve dans les gens que l'on croit les plus purs, les meilleurs.

Le petit gar�on qui s'�tait lev� au milieux de la nuit parce que je g�missait tr�s bas simplement pour me faire une tasse de lait chaud et me d�sabriller est aussi capable de s�duire une autre fille devant une ancienne amante dont il conna�t la tendresse, et la sensibilit�.

Quelle horreure, que mes histoires sentimentales. Ce que je veux change sans cesse, et mes timides amours ressemblent � du sexe indiff�rent. On dirait que �a encourage mes partenaires � en abuser.
Et c'est sans cesse le m�me sch�ma.
Ou bien je n'envoie pas de signaux clairs. Ou bien je suis attir�e par des gens plus ou moins indiff�rents de leurs amants. Ou bien je ne suis pas aimable. Ou bien j'ai une sacr�e d�veine. Ou bien je vais trop vite en affaire. Ou bien, comme dis ma m�re, je suis amoureuse de l'amour.
Je sais pas.

Mais mon sentiment de solitude en est particuli�rement exacerb�. Je me sens dans une immobilit� m�taphysique, je baisse le front. Impasse. Je m'assis dans la rue. C'est rocailleux, il y a des moteurs en marche, encore et toujours, plus loin. Les r�verb�res salissent la sc�ne de leur peu cr�dible lueur orange. En haut, un rectangle de ciel nocturne, avec les points timides de quelques �toiles pers�v�rantes, malgr� la pollution lumineuse de notre urbanit�. Je pense qu'elles veuleent me dire quelque chose, mais je ne les �coute pas. Personne ne viendra � moi, personne ne courra derri�re moi dans la rue avec un pardonne-moi-ne-soit-pas-f�ch�e et un c�lin. Silhouette fr�le, aux masses molles, je me tiens, la colonne droite, le pas raide, et j'avance seule dans mon existence. Sur la vie, r�clent mon cynisme, mon ins�curit�, mon incapacit�, mon non-faire, �gratigne cette perfection d'absolu. Le havre est loin, et improbable. L'odeur douce de la timide reluisance amoureuse dans la prunelle de Lui, ceLui qui a un L majuscule, et une L, elle en entier, est une chim�re cruelle, un r�ve fou et d�raisonable.
Et de me relever de cette autre coup, rabouter les os bris�s, craquements de toutes parts, �a me semble encore un peu plus lourd, et un peu plus grin�ant. Me d�sacrouppir et regarder de l'avant, �viter la tentation de rester pro-jet�e au milieux de la voie, meurtrie, sans attente, m'enfon�ant dans un d�terminisme de �a-marchera-jamais-personne-m'aime-bon, une flaque de boue chaude qui rampe vers le 6 pied sous terre. Non. Debout. Hors de la vase. Fait-toi-z-en-pas, aie-confiance, c'est-pas-grave, allez-magne-toi.

Je voudrais me cacher sous les pyl�nes aux champs odorants, dans le vacarme des grillons et des abeilles, dans la riche odeur �touffante de la terre qui chauffe et du pollen qui s'�meut, picot�e par le foin et les moustique, terr�e dans une p�nombre verte, transperc�e de feu solaire et blanc. Je voudrais que l'�t� me berce, qu'il me fasse don d'un emploi facile, d'une volont�e de propret�, d'une paix de l'�me, d'une joie renouvel�e. L'�t� doit me laver de ma fr�n�sie, de ma b�tise, de mon obtusit�, de ma tristesse. L'�t� doit me lancer dans les bras de Lui.
Ben Lui c'�tait pas B.
Lui, il est o�?
-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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