new old contact g-b D-land

| free stats |blogonautistes |
bottleofbluz [arobas] diaryland.com

avant | apr�s |au hasard

Les g�lules sont les liens. Genre.

Camping, nage et L-P
31/07/2004 @ 15:22

Je reviens de camper. Je suis bien fatigu�e. Il y avait du bon et du mauvais. J'ai attrapp� le coup de soleil le plus habitant possible. Mes probl�mes de consentement automatique avec L-P sont enfin termin�s apr�s une bonne discussion inattendue sur le sujet, autour du feu. Une chose incroyable, c'est qu'il dit qu'on ne l'a pas fait plus de trois fois. AAAAAH!!!AHAHAHA! erm. Il faudrait compter, dans ce journal, combien de fois j'ai mentionn� "on l'a fait. �a a fait mal", juste pour rire.

Mais bon cette situation malsaine-l� est termin�e et je suis bien contente. Enfin, contente � moiti�. J'ai besoin de toucher quelqu'un. Sauf que c'est sans doute mieux que ce ne soit pas L-P parce que juste de le toucher �tait malais�. Il a une tendance tr�s blessante � refuser ce qu'il ne se g�ne pas de prendre et, � cause de mes anciens sentiments pour lui, son rejet me fait toujours mal,et je lui suis sans cesse soumise. Donc je pars � la recherche d'un nouveau friends with benefits, et j'ai d�j� un excellent candidat en vue.

Reste que je suis entrain de me rendre compte que j'ai vraiment de la mis�re � supporter l'attitude que prend L-P avec moi. Condescendant. Dur. Je crois qu'il ne s'en rend pas compte. Mais en fin de semaine j'ai r�ussi soit � ignorer ces pointes, soit � les retourner avec une vigueure qui le troublait. Mon caract�re s'est d�finitivement aigri, mais je ne crois pas que ce soit une mauvaise chose. Et c'est seulement avec les gens qui m'attaquent.

La fin de semaine en tant que telle, sinon, �tait plut�t r�ussie. En voici un r�cit d�sorganis� et incomplet.

Du tr�s beau temps, un joli coin de pays, malgr� l'envahissement d�primant, enrageant de la propri�t� priv�e autour du lac. Nous �tions � La Minerve, petite ville perdue mais regorgeant de gros Ch�lets, de Gros Chars, de gros b���teaux � moteurs, de gros Seedoooo, de grosses Tondeuses, de gros Wed�bagos...

On se cherchait des petits spots tranquilles, mais ceux qui n'�taient pas juste � c�t� du lac ne faisait pas l'affaire de L-P. Moi, plut�t mollement, j'ai ferm� ma gueule m�me si j'aurais pr�f�r� �tre au beau milieu d'un grand champ odorant plein de fleurs plut�t qu'� c�t� d'un lac, widakor, mais un lac pleins de b�teaux � moteurs, et aussi coll�e contre la PUTAIN de route et de ses Grooooos groos gros bruyants SUV passant en trombes.

L-P nage �norm�ment. Et bien. Et il est endurant. Il a presque travers� le foutu lac et il en est revenu, il �tait � peine un peu �chauff�. Moi, c'est une autre affaire. J'ai vraiment pas la forme physique suffisante pour faire plus de dix m�tres � la nage. Non seulement c'est humiliant, mais en plus, regarder les deux gars s'�battre joyeusement dans le lac me renvoyait � ma m�diocrit� sportive. R disait que j'�tais franchement pas si pire mais bon. Mon probl�me, c'est surtout que quand je sens plus le fond, mon corps "angoisse" et ma respiration devient courte, d�synchronis�e, haletante.

Je peux au moins dire que �a m'a donn� le go�t d'�tre meilleure nageuse. C'est la premi�re fois en plusieurs mois que je suis motiv�e � faire un effort. �a va probablement se perdre, mais je vais au moins appeler � la piscine municipale pour savoir � quelle heure ils ouvrent. Je pourrais aller faire un petit-petit 10 minutes de longueur chaque matin, ou tout les trois jours. J'ai �t� capable de me mettre aux patins (tr�s peu intensivement mais tout de m�me, mon trajet de 6 km ne m'essoufle plus du tout et mes mollets, de plus que mon derri�re, sont bien plus fermes qu'avant), je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas au moins tenter de faire de la nage.

Enfin, toujours est-il qu'�ventuellement les gar�ons ont per�us ma mauvaise humeure (que je taisais comme une nouille soumise; mauvaise habitude de fille qui veut plus le contentement de tout le monde que le sien) et qu'on a chang� de coin.

� ma grande surprise, on �tait juste � c�t� de Labelle et de la magnifique Rivi�re Rouge, au m�me endroit exact o�, il y a tr�s exactement trois ans et deux mois, j'avais efefctu� ma premi�re sortie en canot-camping avec ma classe d'alors.

C'est franchement un coin ravissant, une descente exclusivement r�serv�e aux canots (donc pas de putain de moteurs) avec une grande langue de sable au milieu de cette boucle de rivi�re peu profonde, aliment�e non-loin de l� par une jolie cascade qui couvre le bruit de l'autoroute qui l'enjambe d'un pont presque discret.

Cette langue de sable est d'acc�s public, non payant, est agr�ablement �tendue et dispos�e. Le fond de l'eau est sablonneux, descend lentement, et laisse beaucoup de place pour s'�battre, courrir, jouer au freesbee, faire deux trois coups de nage sans efforts, attraper un coup de soleil en dormant sur ces grains si doux, si fins, si chauds, si mouvants.

L-P trouvait cela trop "chaotique". Lui pr�f�rait le petit coin tronqu�, le lac pleins de moteurs, la berge algueuse. Moi, j'�tais rassasi�e de sable, d'espace, de beaut� naturelle, du bruit de la chute, de la distance des foutus moteurs.

� un moment donn�, R s'est d�cid� � nager jusqu'aux rochers entourant la cascade; de la langue de sable, c'�tait un trajet d'une facilit� ridicule. Il y est all�, j'ai h�sit�, puis tent� de le rejoindre. Le premier tier au demi du trajet s'est fait sans penser, facilement, avec une certaine joie de me mouvoir dans l'eau. Puis, soudainement, j'ai pris conscience que le fond s'�tait d�rob� de sous mes pieds, que j'�tais entour�e d'eau, que je ne d�pendais que de ma force physique, qui est minime. Mon souffle s'est contract� d'angoisse, dans une r�action qui m'�tait famili�re mais dont je n'avais jamais pris conscience. Je suis revenue � la berge, toute essoufl�e, ma respiration �tant d�traqu�e, et j'ai enfin compris que j'�tais plus angoiss�e que vraiment incapable. C'est presque rassurant.

Le jour pr�c�dent nous avions err� � la recherche d'un site non-payant pour camper. Nous avions pass� tout l'apr�s midi en route en se perdant maintes fois, c'�tait agr�able mais je fatiguais un peu. Nous avons ramass� des pouceux, l'un d'eux nous avait indiqu� un promontoire � St-Adolphe d'o� on avait un panorama absolument magnifique des montagnes de la r�gion. � la fin de notre p�riple nous �tions arriv� au spot abhorr�, que j'avais moi-m�me indiqu�. On s'�tait baign�, il �tait cinq heures, on �tait bien. Mais je ne voulais pas camper l�. Nous sommes repartis � la recherche d'un endroit campable, sommes arr�t�s � La Minerve faire quelqeus achats. Apr�s maintes tribulations sur les petites routes compliqu�es de cette municipalit�, nous sommes tomb�s sur un coin adorable, idyllique, tout de sable et donnant sur le superbe lac D�sert. Il y avait un chalet neuf en construction dessus, inahbit�, nous nous sommes dits que nous ne d�rangerions personne.

Nous avons fait un feu et bu, nous avons parl� de beaucoup de choses de fa�on tr�s intense, la discussion se faisait un peu encol�r�e, mais elle s'est calm�e. J'aurais voulu me baigner l�, j'aurais d�, c'�tait une petite berge charmante et propre, mais je me suis dit que je le ferais le lendemain. Or, le lendemain, � 7 heures et demi, le bonhomme arrive pour nous dire qu'on est chez lui et qu'on "ne peut rester l�". � 7 heures et demi. Criss de crinqu�. Je comprends que nous d�rangions son intimit� (pas encore install�e), mais moi, � sa place, je me serais seulement enqu�ris de ces intrus et je les aurais laiss� tranquilles ensuite.

Durant ce voyage, nous �tions avec une jeune dame charmante, toute timide, une petite japonnaise s'appelant T, ici pour apprendre le fran�ais en 6 mois. Nous avons tent� de ne pas trop la d�laiss�, on lui parlait anglais souvent, mais souvent on s'oubliait � discourir intraduisiblement en fran�ais sur toutes sortes de nuances absurdes et fines. Moi et R, ami de L-P, avons d�fini la diff�rence entre l'habitant et le colon, et avons saisi la d�finition du terme fou�rrer, ce que nous avons fait durant ces deux jours.

Nous sommes revenus hier soir � Montr�al, pour dormir tous chez L-P. T a d�cid� de rentrer chez elle par le m�tro. R et moi sommes rest�. Nous nous entendions bien, nous avons �t� asssez ensemble durant tout le voyage. Je l'aais d�j� rencontr� auparavant. Il me touche tout le temps, mais d'une fa�on amicale, pas du tout agressante. Il m'a tout de m�me propos� de le rejoindre dans la douche, j'ai tout de m�me refus�.

C'est dr�le quand m�me, plut�t que de les refroidir, l'histoire de ma frigidit� leur donne un d�fi...

Au bord du feu, j'ai �t� bien proche de leur expliquer la raison finale de cette inhabilit� sexuelle, d'ailleurs.

Mais c'est trop difficile. �a fait mal. �a me met les larmes aux yeux. Et c'est si banal, si path�tique. J'ai vraiment pas envie de m'exposer � leur indiff�rence, � leurs rebuffades, � leurs m�pris de cette petite histoire tellement b�nigne mais ayant �t� si lourde de cons�quences pour moi: j'y suis trop fragile et je ne veux pas d�fendre son importance en face de l'incompr�hension des autres. C'est le seul secret de ma vie, le seul coin d'intimit� que je prot�ge vraiment, je refuse d'en parler pour qu'on me blesse ensuite avec des "ah! rien que �a!". C'est d�j� assez qu'ils pensent que je me victimise et que puisque "c'est dans ma t�te", c'est pas si grave que �a. Ah. Un bobo physique, �a se soigne: un traumatisme subconscient, qui fait se contracter involontairement un sexe autrement parfaitement sain et normal, rendant toute p�n�tration atroce, c'est plus dur � abolir. Ben oui je parle beaucoup de mes probl�mes, mais c'est moins la recherche de la piti� et l'auto-appitoiemnt que le d�sir de m'expliquer. De tout fa�on, n'importe qui qui me conna�t bien sait que je parle �norm�ment de tout, et aussi de moi, que ce soit chiant ou non, de bon go�t ou pas.

M'enfin, j'ai quand m�me �t� dure, tr�s dure, envers L-P. Am�re, agressive, et refusant sa condescendance. �a lui a fait r�alis� des choses. Mais �a ne m'a pas attendrie. Et moi je n'ai pas de talent pour �tre blessante et correcte � la fois, je suis tout d'un bloc. Mes r�pliques �taient cinglantes, c'est qu'elles ne pouvaient pas �tre insensibles. Elles devaient �tre de mesure �gale aux affronts "innocents" que je recevais. Tant pis pour les bonnes moeurs.

Je me fous bien que ce soit moral ou pas, je ne suis pas une sainte.

Vous savez, L-P et moi on s'aime bien, mais on se fait chier quand m�me.

De toute fa�on, je ne veux plus le voir autant. Il est trop blessant. Je lui en ai parl�, il s'en fout. Et c'est dur de le c�toyer avec ma peur de son rejet, mon amertume de notre relation, les souvenirs de mes sentiments, ma jalousie et mon ressentiment inavouable du fait qu'il est si frivole, si volage, qu'il m'a prise et que �a a tellement peu d'importance, et qu'il y en a d�j� trois autres dans son lit. M�me s'il dit qu'il ne m'a jamais prise comme sa poup�e jetable. M�me s'il dit qu'il ne voulait pas profiter de moi. M�me s'il se rend enfin compte que son "pourquoi pas" n'est pas bien correct et que ses tactiques d'approches manquent d'honn�tet�. M�me si c'est un bon ami.

Ses mani�res avec moi m'irritent trop. Le souvenir de mon cadav�risme douloureux avec lui au lit m'est peu agr�able.

Bien s�r j'ai d�j� commenc� � prendre mes distances.

Je vais les prendre encore plus, en louvoyant, en refusant dans le vague, en omettant de lui dire mes raisons.

Tant pis pour la franchise.

Tant pis pour ma sensibilit� bless�e, avec le souvenir de mon amour pour lui, sa destruction brutale par cette premi�re nuit qui �tait vide de sentiment, d'exclusivit� et m�me d'importance pour lui, et l'�ternelle cons�quence de ma soumission et de mon malaise avec lui.

[quelques larmes.]

�a serait plus moral de lui dire tout �a, mais il s'en fout tellement, je n'ai plus envie qu'il traite ainsi ma sensibilit�, larmoyante oui, dramatique, oui, victimisante et fatiguante, d'accord.

Je lui devrais cette discussion, �a pourrait m�me adoucir et am�liorer notre amiti�...

Mais bof, si on s'�nerve, on s'�nerve.

Reste que j'ai un beau h�le tout mal chi�, une belle fatigue agr�able, des beaux souvenirs, des belles discussions sur lesquelels r�fl�chir, des belles images en t�te, des belles photos dans mon appareil.

Vive le camping.

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

Stimulation sodomique-clitoridienne
Co�t non consentant | Zoophilie caract�ris�e | Femme de petite vertue | Sex�ther | Fixation Orale et Bondage | Sexually Explicit Gallery |Exxxtreme Hardcore Sluts 4 U |Grosse Saloppe | Jeune Bite |Hit and Run | Horny Stud | Unwilling Cumguzzler |