new old contact g-b D-land

| free stats |blogonautistes |
bottleofbluz [arobas] diaryland.com

avant | apr�s |au hasard

Les g�lules sont les liens. Genre.

r�ve d�rangeant et autres malaises
19/08/2003 @ 22:22

Je ne sais plus. C'�tait une dr�le de journ�e. Tortur�e par l'envie d'aller me coucher. Debout sans occupations. L'irritation �tait particuli�re, surtout au niveau auditif. Le son du t�l�phone me faisait mal au tympan. Mal � l'�me. Il m'�nervait, me mettait en boule, je laissais le r�pondeur faire. Maudit t�l�phonne. Un autre son m'irritait. Je ne me souviens plus duquel. Mais c'�tait la m�me sensation de fragilit� �nerv�e et douloureuse, d'exasp�ration spirituelle. La paix! Et la torpeur qui planne... Je trouvais le ciel si beau, luminueux, certes, mais m�me radiant de luminosit�... Et je me suis souvenue de la raison pour laquelle ao�t est mon mois de pr�dilection. Cette lumi�re dor�e, ce vent, cette chaleur a�r�e, cette absence de moustique, cette m�lancolie b�n�fique du retour � l'�cole... Et toujours, la culpabilit� de ne pouvoir profiter de la beaut� du monde, de l'ext�rieur. J'aimerais boir le soleil par la peau.

Et je n'ai plus h�te au C�GEP depuis que j'ai re�u mon horaire. Et j'ai cess� de penser � Ja qui me d�laisse parce que �a n'�corche plus ma sensibilit�, �a ne l'effleure plus qu'� peine. Et je ne suis plus en amour, plus en flirt, plus en amourette; je suis en manque de sexe. Mais R, R, il est un bon gar�on, mais j'ai besoin de quelqu'un qui me donne le change. C'est pas lui. R m'excite. Mais une communication r�elle, cette communication transcendentale que je recherche depuis que j'y ai go�t�, cet �change entre les �mes complet � d�faut d'�tre total ou absolu, avec lui, ce serait impossible. On est sur deux plans qui ne sont pas � la m�me hauteur, ni � la m�me latitude. J'aime ses mains et ses yeux et son torse et ses bras. Je ne d�teste pas son �me. Mais ce n'est pas un fr�re. Nos dialogues restent st�riles et lieux communs. On ne se rejoint pas.

Je m'en fout. Je me fout aussi de tous les p�tards que je vais avoir au c�gep. Je me sens vagument insensibilis�, an�antie, grise, mais sans amertume pr�cise. Juste un peu hors tension.

Tension... Le r�ve inqui�tant de la nuit derni�re. Un r�ve inqui�tant parce qu'il r�v�le encore toute la laideur que contient mon �me. Ce r�ve, donc. J'ai perdu des d�tails. La m�moire de mes voyages oniriques commence � peine � me revenir. Les images sont encore brouill�es, les s�quences r�par�es. Mais �a devient de plus en plus pr�cis jour apr�s jour.

Alors voil�. Il y a ma cousine et une de ses amies. C'est cette cousine que j'ai et que j'appr�cie beaucoup, mais envers laquelle j'ai un peu de rancune et de jalousie parce qu'elle est plus jolie, plus appr�ci�e, plus reconnue, plus choy�e que moi. Reconnue pour ses talents artistiques et encourag�s. Ma jolie cousine qui me donne un pincement au coeur quand je vois une photo d'elle, puisqu'� 14 ans, elle devient de plus en plus une belle demoiselle distingu�e et �l�gante. Et ma m�re qui dit lui trouver un air de dame. Merci, maman. Garde tes reproches pour tes enfants et complimente les �trangers. Enfin. Ce r�ve, donc.

Le d�but du r�ve porte � confusion, je ne sais trop de quoi il s'agit. Toujours est-il qu'une certaine tension s'accumule, contre cette amie de ma cousine. Je ressens beaucoup de jalousie envers cette eptite fille tr�s froide, hautaine et m�prisante envers moi, qui est sportive (on voit ici un flash de la petite en habit de soccer entrain de garden un but le gazon est tr�s vert, humide, et il y a une rang�e de buissons hauts et sombres derri�re elle. journ�e grise. humide.) et que tout le monde aime et admire � mon d�triment. Ce fait n'est pas directement d�montr�, et c'est l� un aspect important du r�ve. J'ai une sensation de rejet et de discrimination au profit de la petite pimb�che. Je me sens austracis�e. C'est une enfant pr�pub�re, mais d�j� belle selon nos standarts actuels, son corps maigre et bronz�, ses cheveux lustr�s, lisses et bruns, ses petits traits juv�niles d'une rigidit� esth�tique toute italienne. C'est une enfant de 10 ou 11 ans. Elle me ridiculise. Elle m'abaisse. Elle m'abaisse en �tant "meileure" que moi avec les gens, en se faisant aimer plus que moi, et en me traitant de haut. Je la hais. Avec passion et impuissance. Maudite petite salope. Avec sa bande de coton lila dans les cheveux, sa camisole � �paules larges blanche et toute droite sur sa poitrine sans protub�rances, sa jube en tissus synth�tique �galement lila ou mauve, et ses grosses sandales laides � la mode.

Et voil� le point culminant de l'histoire.

C'est la nuit. J'ai entendu dire que ma cousine et sa petite salope dormirait dans mon lit, se souciant fort peu de moi et de o� je dormirais. Comprennez bien que c'est un r�ve, que je c�de mon lit avec toute la facilit� du monde quand on me le demande... Mais dans le r�ve cela me semblait tout � fait outrageux. Peut-�tre le fait que les deux enfants n'aie m�me pas demander mon avis, puisqu'on (tout le monde) leur accordait ce privil�ge de toute fa�on. Peut-�tre le fait que mon entourage dans le r�ve trouvait tout naturel que je c�dasse ma couche aux petites merveilles sans qu'on m'en avise d'ailleurs, que j'aurais d� me jeter � leurs genoux pour les supplier de prendre ma place en effet, qu'il n'�tait que normal que moi, personnage de peu de valeur, fasse place aux Reines. Rage meurti�re. Meurti�re. Humiliation profonde. Je monte � ma chambre, il fait noir soudainnement et c'est tr�s tranquille, j'ai une barre � clous dans les mains, ma col�re vibre rouge mais personne ne le voit et je ne m'en rend compte que maintenant. J'entre en temp�te dans la chambre, je crie, je hurle, je rugis "SORTEZ DE L�", et ici il n'est pas clair si on m'a entendu, si j'ai effectivement cri�, si le cris fut re�u avec un m�prisant refus par les petites formes couch�es c�te � c�te dans mon lit. Je deviens violente.

Et ce qui est int�ressant c'est que dans ce r�ve, contrairement � la normale, ma violence porte fruits, mes coups atteignent leurs cibles et que mes efforts sont ressentis.

Avec une force que jamais je n'aurai dans la r�alit�, une force qu'il m'est agr�able de constater, une force rapide et puissante, je prend brusquement la petite pimb�che par la jambe, la projette m�chamment, avec beaucoup de force hors de la chambre, o� elle va s'�tendre par terre, glissant sur le plancher, bless�e, et je lui donne deux tr�s violents coups dans les c�tes avec mon pied-de-biche, de chaque c�t� du corps. Elle est morte. Je crois que je lui donne des coups de pieds dans la t�te aussi mais je n'arrive pas � m'en rappeler. Je rentre dans la chambre, je jette ma barre � clous, et ma petite cousine me regarde avec m�pris, d�dain. Je la prend aussi et je la jette par terre, loin de moi. Elle ne r�agit pas. Je ne veux pas la tuer, elle...

Le d�tail le plus important de tout ce r�ve est que la tuerie, loin d'�tre satisfaisante, n'�tait que plus abaissante. J'�tais abaiss�e. J'avais �t� la plus faible. On m'avait d�nier jusqu'� la tol�rance, j'�tais irrespect�e, mon intelligence �tait baffou�e, et m�me mon administration de la mort avait �t� jug�e de haut. J'�tais la plus faible. C'est ce que je me suis dit dans le r�ve: "je reste la plus faible". Ce n'�tait pas un r�ve o� l'on agit et voit, mais dans lequel on se voit agir.

Et avec ce meurtre me vint l'hostilit� des gens, envers qui je ne pouvais me justifier, malgr� le fait que je me croyais tout-�-fait fond�e. Et viennent les remords face � l'intense, l'immonde jalousie que j'�prouvais. Je me sentais diminu�e face � l'amour qu'on donnait inconditionnellement � cette petite conne et par m�canisme d'auto-d�ppr�ciation j'attribuais le tout � la jalousie que j'avais de sa plus grande qualit�, absente par ailleurs. Il �tait question d'un proc�s (j'avais �cris portrait!!!). On ne me traitait pas avec d�go�t, mais je sentais la col�re et l'imcompr�hension des gens. "Quoi! Cette vaut-rien, � qui l'on avait rien fait d'ailleurs, a tuer sans raison notre petite ch�rie? Mais pourquoi?"...

S'ensuit une s�quence qui n'a que peu de signification authentique parce que j'avais acquis une certainne conscience � l'int�rieur de mon r�ve, et dirigeais les �v�nnements tout en les laissant aller.

Comprennez vous l'inqui�tant message subconscient que ce r�ve me r�v�le? Voyez commme je suis encore rong�e int�rieurement par certains d�mons vicieux? Si affect�e par l'hostilit�e et le m�pris!... Si prompte � se comparer et � s'amenuiser!

aaah... Si quelqu'un a quelques notions de psychologie freudienne ici, faites moi part de vos impressions

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

Stimulation sodomique-clitoridienne
Co�t non consentant | Zoophilie caract�ris�e | Femme de petite vertue | Sex�ther | Fixation Orale et Bondage | Sexually Explicit Gallery |Exxxtreme Hardcore Sluts 4 U |Grosse Saloppe | Jeune Bite |Hit and Run | Horny Stud | Unwilling Cumguzzler |