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Les g�lules sont les liens. Genre.

Cette semaine pass�e...
25/05/2003 @ 20:30

Sp�cial 200 i�me! WOOHOO! sp�cial 4000 visiteurs aussi! YEAH! �a tombe bien, j'ai eutoute une semaine!

Et si je commen�ais par vous la raconter dans l'ordre?

Mardi, je devais aller chez mon m�decin de grand matin, afin d'assurer mon g�nial suivi psychologique. Tout va bien, c'est super, mes m�dicaments sont une b�n�diction (je suis � la veille de leur construire un autel d'adoration).... Mais, petit ennui, ma ch�re m�re � oublier de me donner de l'argent pour le taxi jusqu'� l'�cole (5 km de marche, �a ne me fait pas peur, mais �a fait peur � mon horaire, par exemple). Disons que je suis aussi coupable qu'elle de ne pas avoir pens� � lui demander. J'avais pr�vu marcher jusqu'� la maison pour trouver de l'argent, ou faire du pouce, ou appeler un taxi pour aller jusqu'� la maison, trouver de l'argent et retourner � l'�cole (ce qui aurait �t� plut�t cher) mais C, mon m�decin, m'a pr�t� l'argent n�cessaire... Quelle femme, quand m�me. On dirait ma deuxi�me m�re. Elle m'�coute toujours avec cet air tout �mu et compatissant, et �a a l'air sinc�re. Je ne sais pas si c'est du professionalisme, ou si elle a le coeur tendre, mais disons que �a me rend un peu... Comment dire?... Perplexe? D�balanc�e? Je ne suis pas habitu� � attirer la sympathie. Alors je me rend � l'�cole, et la vie continue.

Mercredi! Ah, quelle journ�e que ce mercredi! C'�tait en effet mon choix de cours au C�gep du Vieux Montr�al. La journ�e d'avant, R, la fameuse R, m'appele du fin fond de T�trauville et apprenant la co�ncidence, m'invite � la rejoindre � son �cole le lendemain. On s'organise donc � grands renforts de tentatives d'esprit pratique, et le lendemain, je me l�ve � 6h30 du mat (gasp) pour me rendre en ville en train. Mon p�re m'accompagne jusqu'� Berri-Uquam, et de l� je tourne � gauche sur Maisonneuve jusqu'� Sanguinet (jolie petite rue tout � fait "�coli�re") pour enfin arriver � mon futur C�gep. La pr�sentation de mon programe est banale et me convient, je spot quelques jolis gar�ons, rep�re Lil Zukkie qui m'ignore souvereinement, paie, fait prendre ma photo de carte �tudiante, et m'esquive. Je m'en vais ensuite jusqu'� la station Cadillac, et de l� tente de suivre les indications que R m'a donn� pour se rendre � son �cole... Quel cafouilli. Elle a oubli� de me dire que la rue de Marseille est parall�le � Sherbrooke. Aussi, j'�rependant � peu pr�s une demi heure � arpenter Sherbrooke sur une quinzaine de coin de rues, jusqu'� deux demoiselles me renseigne aimablement. Je me rend, et cherche le prochain rep�re: un parc. J'ai tourn� du mauvais bord sur Marseille, j'aboutis sur un coin de rue, je me retourne donc et marche de l'autre bord. Finalement j'apper�ois le fameux parc! Il faut ensuite que je trouve une barboteuse s�che... Que dalle. Je fais le tour du parc, purullant de rap-ass et autres jeunes � l'allure patibulaires. Je me rassure au moins quant � ma destination, en voyant l'�cole �dourad Monpetit faisant face � ce nid de d�linquance... Mais fl�te, elle est o�, cette barboteuse?! Je demande finalement � une �tudiante qui m'a l'air sympathique avec son chandail d'anarchie, ses pantalons d'arm�es et ses courts cheveux javellis�s et tress�s en une multitude de petites m�ches et qui me tend la main vers une structure que jamais, au grand jamais, je n'aurais pu reconna�tre comme �tant une barbotteuse.

Je m'assie donc sur le ban, mets mes �cotueurs, et attend jusqu'� ce que ma ch�rie (c'est R, �a, ma ch�rie) me rejoigne. Elle est toujours aussi belle (dans mon coeur o� notre amiti� est ancr� � jamais) et toujours aussi... elle-m�me. On mange (enfin, elle mange, je n'ai rien � bouffer) pui on r�int�gre l'�cole pour que je puisse voir sa classe d'art plastique. J'y rencontre deux de ses amies: F et J.

F est plut�t sympathique, et je la sens favorable � mon existence, si on peut dire, mais J... Cette J, je sens qu'elle ne m'aime pas. Elle jette de mauvais regards � ems absurdit�s, et a ce petit regard qu'on les gens qui veulent me signifier qu'ils me m�prisent.

Et c'est alors qu'arrive quelque chose d'int�ressant, que j'ai une r�alisatino tout � fait r�confrotante: je ne pourrais pas m'en sacrer davantage.

Voil�, finis l'angoisse sociale, finie totalement, je ne crains plus autrui, je ne crains plus leurs hostilit�, elle ne me fait plus mal, et je suis compl�te malgr� leurs m�pris, leur incompr�hension, leur m�chancet�... Elle pouvait bien me regarder croche tant qu'elle le voulait, cette idiote, qu'est-ce que �a pouvait bien me faire? Honn�tement?

Bon, elle n'�tait pas enti�rement b�te et d�sagr�able, mais disons que b�te ou pas, �a me passait comme de l'eau sur le dos d'un castor.

J'apprend que F n'est plus la blonde de G, alors que je m'enqu�rait de lui, et que comme c'�tait r�cent, j'avais eu de la chance de poser la question pr�scis�mment comme F se levait pour aller chercher quelque chose.

Passe le prototype id�al de la p�tasse, � la mode et l'air suffisant, qui vient chipper le seul fusil � colle de la classe pour son idiot d�fil� de mode alors que les �l�ves du cours en ont besoin. J et F enragent, je les exhorte � p�ter la gueule � cette aberration (ce qui est un peu dommage vu mes principes pacifistes).

Apr�s un instant, moi et R en avons assez, et nous nous esquivons de la classe. Au passage, r�sultat de l'esp�ce de rage d�linquante qui nous anime moi et R quand nous sommes ensemble, nous d�crochons l'�norme pancarte du d�fil�, la tra�nons dehors, et je crache dessus, en signe de protestation contre leur superficialit�, leur hauteur, et leur ridicule. Mais quelles rebelles nous sommes.

Nous retournons � la abrbotteuse et qui vois-je? G et A, parmis d'autres amis/connaissances de R! Je aprle des Red Hot avec un ami de R dont elle ne se souvient jamais du nom (c'est O), et je contemple mon petit G, tout, tout chang�...

J'ai toujours eu un faible pour ce gar�on, je crois en avoir d�j� parl� d'ailleurs dans ce journal. Et bien G a perdu du poid, � allong� ces cheveux, les a teint, et est devenu un petit punker vraiment vraiment trop adorable. Il a des traits doux, enfantins, presque poupon, mais tellement harmonieux et joli. On a envie de le manger. Moi, en tout cas.

C'�tait dr�le parce que A et G ne me repla�ait pas du tout et je els observais en attendant qu,ils se rappellent. R leur a finalement r�v�l� mon identit�e et ils avaeint l'air presque contents de me revoir. Vraiment des petits mecs gentils. Sympathiques, accueillant, r�volutionnaires... On en vodurait une copie dans on garde-robe.

Bon c'est pas tout �a, R me fait fumer, mais je dois courir pour attraper mon train, car j'ai une entrevue. Entretemps le joint commence � faire effet: horreur! L'effet sensoriel d�cal� se fait sentir, celui que je redoute tant...

Ah, mes amis quel pot! Quel pot merveilleux! Quel excellent cannabis! Car cet effet que je n'aimais pas est devenu soudainnement si agr�able, si d�licieux...

Le meilleur trip de ma vie, et je suis tr�s s�rieuse. J'�tais sur un nuage, je flottais, mes perceptions �taient amplifi�s, am�lior�es, le toucher d�cal� �tait comme un massage pour mes nerfs surmen�s... Toutes sortes de choses lucides se d�ployaient dans ma t�te comme des fractals, si math�matiques et logiques et si psych�d�liques et �clat�s en m�me temps. J'ai courru pour attraper mon train et j'ai tripp� tout le voyage. J'�tais bien. La douleur de mes tendons me semblait une eprception pareille aux autres, et je me demandais pourquoi est-ce qu'on d�cidait que ce type de sensation nous �tait d�sagr�able? Mais j'�tais gel�e, bien s�r. Je ne me rappelle pas vraiment de mes autres id�es du moments, mais elles foisonnaient, dans un d�fil� serein, et je me sentait en harmonie avec tout, heureuse...

Que de clich�s, d�sol�e.

Cela clos le mercredi.

le jeudi ne recela rien de sp�cial, � part que j'avais un gros travail � remettre le lendemain en FPS, que personne avait rien foutu (enfin, le croyai-jse) et que j'y aie pass� la nuit. J'�tais furax � l'�cole, contre C surtout (Emo Boi). Mais il a fait fondre toute trace d'am�nit� en me prenant doucement dans ses bras avec un regard tendre, spontann�ment. Ah oui, ile st d�finitivement tr�s, tr�s gentil ces temps-ci... ellement que... Mais �a c'est une autre histoire, je raconterai plus tard.

Nous arrivons donc � vendredi. C'est la journ�e que j'attendais depuis si longtemps, la journ�e ou moi et J (Super J, la J, Adnesle, quoi allons voir notre show au Caf� Campus, celui de Johnny Marr + The Healers. Nous nous rendons en train, prennons le m�tro, marchons � travers le carr� St-Louis, nous disant comme nous aimerions habiter l�, aprce que c'est tr�s joli, le carr� st-Louis, longeons la rue Prince-Arthur Est pour rep�rer le caf�. On le trouve, puis on d�cide d'aller manger dans un restaurant. Un vrai restaurant, pas du fast food... On a opt� pour un restaurant Afghan, tentant quelque chose de nouveau... Quel d�lice! Pour un pris quand m�me modique, quand on pense � la qualit� du d�cor et � l'excellence de la cuisine. Nous avons mang� du pain tremp� dans une sauce � la cardamone, bu du th� � une essence florale, et Jeanne avit un plat dont j'ai oubli� le nom, et moi un Ashak, qui consiste en des eptits sachets de p�tes farcis d'une pur�e d'agneau et d'�pinard, le tout napp� d'une sauce auyogourt et aux herbes... Comme c'�tait bon! Un go�t oriental, mais au contraire de la cuisine indienne qui est tr�s intense, extr�mement raffin�, qui nous fait courrir apr�s une certaine saveur sans qu'on puisse ajmais vraiment l'attrapp� en entier... Bon bon, j'ai fait une indigestion, mais c'�tait un r�gal.

On se rend enfin au caf� campus.

J'aodre cet endroit. C'est trop cool. C'est petit, tout noir, pleins d'�clairage, avec un deuxi�me �tage.

Comment vous d�crire le reste de la soir�e? M�me J a dans� tellement c'�tait bon. Il y avait de beaux gar�ons, genre de hippie-rockers sophistiqu�s tout � fait de mon genre. On s'esta chet� de la bi�re. On a cri�. Le band �tait g�nial, jouait du bon rock avec une touche d'intelligence, beaucoup de chimie entre eux et tout un rythme. J'�tais transport�e. Je me souviens � peine des pi�ces, tellement j'�tais emport�e, englob�e dans la musique! Aaaaah c'�tait vraiment un 20$ bien d�pens�.

Et �a c'�tait ma semaine...

Bon, si on revennait � C, Emo Boi?

Alors aujourd'hui on devait tourner notre vid�o pour notre oral en FPS � propos des relations sexuelles. C'�tait tellement ridicule.. On faisait l'histoire d'un couple ayant une relation (tiens donc), le tout tr�s ridiculis�, exag�r�, et entrecoup� d'absurdit�s. Moi et C devions jou� le couple et c'�tait... ah. dur. Parce que on a tout les deux une attirance au moins latente l'un pour l'autre, et on �tait mort de rire et embarass�s en m�me temps. Et il fallait faire toute sorte de choses assez... os�es... alors bon moi j'�tais tellement d�chir�e par mes sentiments que j'�tais pas capable d'en profiter.

En tout cas j'ai vraiment l'air d'une belle conne dans le vid�o.

Et puis il m'a fait toute sorte de eptite chsoe cute, il me tripotait le ventre, il m'a assise sur ses genoux, il m'a mise sur son �paule... je crois que �a s'en vient.

Et puis moi je le fr�lais et le touchais aussi et lui lan�ait mes yeux d�vorants. Para�t qu'ils sont intimidants. Qu'on dit. Bon.

Alors c'es tout!

J'esp�re que �a compense...

Vous risquez de m'entendre plus souvent j'ai comme repis go�t � �crire! Yeepee!

-L


N'importe quoi.

Si vous trouvez que je suce, allez voir comment eux phellationnent.

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